Métis Natif Américain (Notamment Mohawk Catawba Cherokee) des forêts de l'Ontario canadien.
Race
Humain
Âge
25 ans
Naissance
21/11/2337
Groupe
Esclave
Statut
Sauvage
Métier
------
Sexualité
indifférent.
Avatar
Ookurikara - Touken Ranbu
Apparence
Kahja est un jeune sauvage (ou ex-sauvage) de plus d'1m77 à la carrure mince bien qu'athlétique. De prime abord discret, sa voix est calme et douce mais rauque. Une voix qui ferait de lui un très bon chanteur s'il ne se contentait pas de cacher ce talent aux autres et à lui-même.
Sa peau, mettant clairement au jour ses origines amérindiennes, est basanée tandis que d'épais cheveux longs châtains ornent sa tête. Les traditions familiales l'ont également décoré d'un tatouage, certainement gravé à la barbare avec de vieilles méthodes, malgré la beauté de l'agrément qui forme un énorme alligator fantaisiste dont les écailles habillent tout son bras gauche jusque son épaule et son omoplate.
À l'époque de sa liberté, ce cher mustang avait son propre code vestimentaire, hérité et tressé à la main, de la même façon que ses aïeuls. Mais de ses aparats, il ne lui reste que le pendentif que son père lui avait offert et qu'il chérit comme un totem.
Du côté de son visage, l'on reconnaît également la touche yeux fins bridés des natifs alors que ses iris, étrangement, revêtent une expression unique. Une sorte d'hétérochromie partielle avec du noisette créant l'illusion que notre autochtone possède un regard tournant sur le doré selon la luminosité.
Un regard ayant sans doute expliqué l'acharnement de ses détracteurs à en faire un produit rentable. Ou bien son charme exotique et "sauvage". Sa musculature de chasseur/cueilleur. L'odeur des pins qui lui tourne autour. Ou encore celui d'un sang humain très appétissant (aka pur produit bio élevé en plein air si l'on en croit les labels et les témoignages).
Bien malheureux est le métissé puisque son physique, son goût et cette odeur attrayante l'a condamné auprès de cette civilisation superficielle. Avantage ou inconvénient, cela reste à prouver.
Personnalité
Un silence. Un silence face aux trois vampires qui le regardent. Un silence où son regard fixe transperce ses ravisseurs. Un silence insolent et fier qui fait poindre un agacement certain avant que l'un d'eux ne perde patience face à cet être vulgaire. Un sauvage d'une race inférieure à la sous-race humaine. Et qui se permet l'affront de les dévisager avec mépris.
D'un coup de pied à l'estomac, le basané s'étouffe et crache au sol plusieurs minutes, tentant tant bien que mal de reprendre sa respiration avant de rester silencieux lorsqu'il regarde de nouveau ces sang-froids.
Depuis son arrivée il y a 3 jours, ce Kajah n'a pas arrêté avec cette attitude. De quoi clairement annoncer la couleur.
Car certaines choses ne changeront jamais, peu importe le temps qu'il passera dans cet enfer. Ces créatures, il ne les aime pas. Il n'en éprouve que du mépris.
Une colère sourde qui ne trouvera pas d'apaisement car il n'a pas oublié. Il n'oubliera jamais ce qu'il a vu. Qui peut oublier ?
Entre les flammes et les tirs, une seule chose se rappelle à lui lorsqu'il regarde ces êtres abjects, une chose qui se rappelle à lui en boucle, telle une bobine de film : le souvenir de cette attaque sur les siens. De cette armée venant fondre sur eux comme le souffle d'un ouragan sur les roseaux. Et enfin, de toutes ces femmes au regard aussi vide que celui de ses sœurs.
L'instant d'après, un autre coup vient percer son abdomen, suivi de jurons et d'insultes, mais son comportement restera le même. Il ne compte absolument pas leur donner ce qu'ils veulent.
Que ce soit de la peur, de la tristesse ou que sait-il de sordides intentions, son esprit reste indomptable face à ces monstres.
Entêté, c'est le mot. En tout cas, c'est ce qu'un certain grand-père feuillage aurait cité en parlant de son premier petit-fils. Oh qu'il était de caractère difficile avec ses frères et soeurs. En plus d'être particulièrement susceptible, enfin, à l'époque tout du moins, car en grandissant, il avait pris l'habitude de tout garder pour lui et de s'éloigner des autres pour les préserver, quitte à ne s'adresser qu'en catimini et à l'insu de tous, aux animaux sauvages ou non qu'il chérissait. C'était un peu sa façon à lui de prendre soin de sa famille : prendre toutes les responsabilités sur ses épaules sans jamais se plaindre "parce qu'il le fallait". En bon guerrier et chasseur, il savait se mettre de côté et prendre soin des autres, que ce soit de façon visible en ramenant du gibier avant de nettoyer les peaux de bête de la famille ou non en ramenant discrètement et silencieusement à sa petite sœur de quoi réparer un panier qu'elle avait cassé. (Son côté, je ne sais pas trop parler pour ne rien dire).
Car, il ne l'aurait jamais avoué par honte ou gêne, mais il était profondément loyal et soucieux du bien-être de ceux qui comptaient pour lui. C'était un de ses côtés, cette tendance à ne pas assumer ses réels sentiments. ... Cette tendance lui a coûté cher quand il a tout perdu. Car sa famille compte plus que tout, malgré la séparation. Le basané espère sûrement encore retrouver son petit frère ou l'un de ses aînés.
Enfin, tant qu'il sera prisonnier de ces abbérations de la nature, ce but est compromis. Il n'a d'autre choix que de subir leurs humeurs et leurs caprices.
Bien sûr, le bronzé est loin d'être stupide. Au fil des jours, au fil des semaines, au fil des mois, bien qu'il soit déterminé, il finit par admettre que rester ainsi n'avancerait aucunement sa situation. La solution se révélerait à lui en trouvant une ouverture avec la technique du faire profil bas.
Devenir docile pour autant ? Plutôt mourir.
Histoire
Grands esprits, lumières des temps lointains, montrez-nous le chemin, éclairez-nous de votre savoir, car l'histoire que je vais vous raconter ne se trouve pas dans les livres.
On dit que la légende du continent Américain fut écrite par le sang de nos confrères natifs de ces terres, mais aucun amérindien ne l'avait redécouvert avec autant de douleur depuis la conquête vampirique... Jusqu'à ce jour. Je suis né ici, sur la terre qu'on allait appeler ce bon vieux Canada, mais pour mes semblables, elle était éternelle, sans commencement ni fin, sans frontière entre le sol et le ciel. Comme le vent dans l'herbe à chevreuil, notre place était ici et elle serait toujours ici.
Autrefois, l'on disait que la liberté était l'esprit de l'Amérique, la liberté a-t-elle été effectivement préservée ? Ça, c'est à vous d'en décider.
Là et non pas las, ni avant, ni après, juste un moi. Un sourire, un rire ainsi qu'un bébé emmitouflé dans une peau de bête. Que cela vous amuse ou non de part vos coutumes urbaines, notre peuple a toujours vécu au plus proche de la nature.
Sans se contenter de survivre, nous sommes attachés à nos familles, aux nôtres et au monde qui nous entoure. Certainement un des précepts inculqué très tôt par nos anciens aux plus jeunes dont je faisais partie.
Le monde est rempli de magie.
Nos traditions et croyances se transmettent uniquement à l'oral, alors je n'ai de pourquoi et de comment, que les contes, les chants et les danses déformées de nos lointains ancêtres. Un art que je ne remettai jamais en doute, même encore maintenant.
Enfin, en ce temps jadis, je n'étais qu'un enfant du clan et je découvrais le monde avec curiosité malgré ma timidité. Il faut dire que j'étais fourré en permanence derrière la doyenne Kanata, ma grand-mère. Elle me laissait la coller avec bienveillance, qu'elle soit au-devant d'étrangers lors de trocs ou d'assemblées plus cérémonieuses.
Il y avait bien des exceptions, de rares exceptions où l'on me demandait de filer au loin, mais Kanata et mes parents n'aimaient pas me laisser gambader seul. À raison, car j'avais bien failli disparaître un jour où je me suis aventuré trop près d'un ours noir. D'après les miens, l'animal s'était pris d'affection pour moi, au point d'attaquer ceux m'ayant trouvé tout en essayant de m'emmener avec lui.
Je ne m'en souviens que très peu, simplement que j'avais tendance à m'approcher de trop près des animaux peuplant les terres, en plus de m'éloigner de trop loin pour découvrir le monde.
J'entraînais également ma sœur et mon jeune frère dans ces bêtises avant de m'assagir avec le temps.
De jeune garçon, je devins homme; un guerrier et chasseur pour la tribu; aussi impétueux et téméraire que le tonnerre sur la plaine : chassant avec le cerf, bondissant avec le vent. Est-ce que je volais ? Par moments, je m'en croyais capable.
L'ignorance, belle ignorance qui nous tiens à l'abri de la peur et des angoisses. Encore aujourd'hui, pour certains, je suis ignorant. Nous sommes tous l'ignare d'un autre. Et lorsque l'on se cherche, les limites sont difficiles à définir.
Ce fut mon cas. J'étais seulement bon pour ne pas le montrer. En particulier lorsque les saisons se firent plus rudes. Et les voisins étrangers plus rares.
Les petits deviennent grands, l'hiver laisse place au printemps, tout se transforme et se métamorphose, mais le plus grand changement auquel j'ai assisté, c'est celui-ci.
Le changement est inéluctable. C'est une réalité de ce monde alors qu'une menace planait sur le clan. Si les "sauvages" étrangers disparaissaient, l'inquiétude se répendait, si des alliés à leur tour manquaient, l'angoisse régnait.
Depuis qu'un certain groupe humain ne donnait plus signe de vie, de plus en plus de voix s'élevaient dans la famille pour les retrouver et les aider si nécessaire. Après toutes ces années, nos liens avec eux justifiaient de les traiter presqu'en égales.
La plupart des anciens étaient contre, seulement, les jeunes n'entendaient rien et avec l'appui de la petite-fille de leur cheffe, ils finirent par céder et les laisser partir, malgré leurs craintes.
De là, notre petite troupe quittait pour la première fois les environs de l'Ontario pour rejoindre le sud, traquant et pistant la moindre trace qui pourrait nous mener à un indice. Un voyage de plusieurs jours avant que l'on ne s'arrête non loin de campements suspect.
Nous croyions être suffisamment discrets et préparés, mais nos doyens avaient raison. Et cette réalité nous a rattrapé quand ces créatures ont fondu sur nous.
J'avais peur, et je ne savais pas ce qui allait m'arriver; mais au moins ma mère et le clan étaient là-bas, toujours en sureté.
Du moins j'osais y croire alors que nous étions emmenés vers ces civilisations que nous n'approchions jamais.
Hello, moi c'est Ao, 25 ans au compteur. Ça fait un moment que j'avais arrêté le rp sur fofo, mais je me suis dit hey, j'ai hyper envie, puis je suis tombé sur vous via un top-site et l'ambiance avait l'air sympathique donc go :3
Recensements
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Code:
<b>Touken Ranbu</b> // Ookurikara // @"Kahja"
Situation maîtres/esclaves
Code:
Sans maître @"Kahja"
Toujours en recherche
Famille/foyer Lister ici lien famille, maître/esclave, si compatible utérus/conversion adn/incompatible pour la reproduction (préciser pour les humains/hybrides ne sait-on jamais / Pour rappel, vous pouvez n'avoir que la moitié de vos personnages compatibles aux utérus)
Et j'annonce que tu es officiellement validé ! Hâte que Crown le retrouve et qu'il devienne coupain ami-des-animaux avec Jun et Jess !
Va mon petit, apprends leur la vie à ces vampires !
Avant de te lancer, tu dois :
- Remplir ton profil au maximum (avec des parties obligatoires) - Faire une demande de maître ou d'esclave (ou pas) [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] ou [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] - Pour les vampires, faire une demande de logement/lieu [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] - Faire une demande de RP [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] - Créer ton carnet de bord [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
Nous rejoindre sur le Discord du forum [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] !
Hâte de te voir jouer !
Whisper
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Age : 10 000 ans
Métier : Chieur
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