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Glaciel Valencia - Terminé
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Glaciel Valencia

Valencia Glaciel

Surtout, soyez toujours capables de ressentir au plus profond de votre coeur n'importe quelle injustice commise contre n'importe qui, où que ce soit dans le monde. C'est la plus belle qualité d'un révolutionnaire.

Surnom


Ciel ou Cielo, Diego pour la Résistance

Origine


Argentine

Race


Vampire

Âge


424 ans, transformé à l’âge de 28 ans

Naissance


02 mai 1939, Taureau ascendant Lion et signe lunaire Balance

Groupe


Civil

Statut


Résistant

Métier


Nez

Sexualité


Indifférent mais préférence receveur

Avatar


OC IA - Pinterest

Apparence




Voix : Adam Lambert
Poids 68 kilos
Taille : 1m65

Tu n’es pas bien grand, force est de le reconnaître. Tu en as pourtant mangé de la soupe, petit, mais rien à faire, ainsi la nature en a décidé. Tu pratiquais encore il y a peu du rugby ou du volley sur les belles plages brésiliennes, tu en gardes une musculature marquée et en harmonie avec ta silhouette, ne dénotant pas avec cette aura délicate qui émane de toi. Ta peau est si agréablement halée, satinée, ta pilosité discrète, peu étendue, et tu n’arbores ni piercing ni tatouage. Tes hanches sont marquées, étroites, tes épaules solides pour ton petit gabarit, tes jambes sont longues, ta cuisse gauche ornée de cicatrices d'une morsure d'un animal qui aurait pu t'arracher la jambe, tes petites fesses elles sont fermes et aussi tentatrices que le nectar d'une belle fleur au printemps. Cesses donc d’être à nu et révèles nous donc ton visage.

Là aussi la finesse et la délicatesse sont au rendez-vous, ton nez est si droit, peu large, tes lèvres en-dessous sont plus généreuses en chair apportant une touche de volupté et de charme. Tes sourcils apportent du caractère, assez épais et bien dessinés pour rehausser les amandes d’où s’échappent ton regard marron, ornés de cils noirs longs, un ensemble charmant. Tes mains ébouriffent souvent tes cheveux bruns, mi-longs et volumineux, tu as une préférence pour les repousser principalement sur la droite.
Tu recherches dans tes habits avant tout le confort, et ce même si en public, tu te déguises de cette mode pour faire penser que tu es si bien intégré au moule. Tenue extravagante, originale, moderne, le cuir n’y est pas absent, et tu pourrais si bien prétendre postuler pour être l’égérie de ta parfumerie, si seulement tu étais un peu plus grand. Ton toi, et bien il est dans ton confort, dans ton intimité, des pantalons en tissus, en lin, avec de préférence des pulls cachemires et pourquoi pas une écharpe dans laquelle perdre ton nez et ressentir ton parfum si simple que tu confectionnes toi-même, un seul ingrédient, le lys des incas. Si romantique, n’est-il pas? Ta beauté reflète bien ton tempérament, entre mignonnerie et joliesse.

Il y a une chose que tu collectionnes et que tu arbores peu importe la situation, des boucles d’oreilles, principalement de bois et de perles, et acier. Tu possèdes également un collier en bois, cadeau offrt et auquel tu t’accroches quand ta gêne l’emporte.
Et ton masque, tu en parles? Car oui, il t’arrive sous ton pseudonyme de Diego de poster des vidéos, ta voix est modifiée et ton visage est dissimulé sous une capuche blanche et un casque blanc et or.

Personnalité



Qui es-tu Glaciel ? Peux-tu nous le dire ? Est-ce que tu le sais toi qui vagabondes autant dans ton esprit et ton âme ?

Tu apparais comme quelqu’un de calme de prime abord, tes tournures sont délicates, serais-tu un peu en retrait ? Ce n’est que la première impression qui s’efface rapidement. Tu as le don pour le contact avec les autres, socialement parlant, après tout, tu en as croisé du monde et tu étais souvent celui envoyé en premier dans les villages pour discuter durant les guérillas de ton Comandante.  Après avoir donné l’impression de juger d’un regard, tu mets à l’aise, avec douceur, cette délicatesse ne te quitte toujours pas. Tu respires la bienveillance, l’homme sérieux et dévoué à son travail, avec un goût certain pour la mode et les senteurs n’ont plus aucun secret pour toi. Tu jongles et tu en fais ressortir un portrait des personnes croisant ta route de Nez. Si tu les brosses dans le bon sens des poils? Dans ton intérêt oui. Pour les apparences aussi. Tu es pourtant quelqu’un de caractériel, dans leurs dos, tu plisses le nez en une grimace particulière, exprimant toute la puanteur qu’un vampire immonde peut te faire ressentir. Tu joues de discrétion pour faire comme si tu humais son odeur, confirmant ton impression et tu fais attention à garder tes distances. Tu peux être d’une exigence et t’emporter quand tu es blessé, ou que tes valeurs sont piétinés, tu peux être amené alors à tenir ta langue, tu as développé un penchant pour te mordre l’intérieur de la joue dans ces cas-là. Il faut bien l’avouer, tu n’as que très peu de patience envers les purs américains, les lourdauds de service et alors tu y vas au culot, à une colère sèche où tu n’hésites pas à les renvoyer balader ou à t’en débarrasser d’une manière ou d’une autre.

Culotté, qu’est-ce que tu peux l’être! On peut même s’hasarder à dire que tu as un côté brave, qui continues tout droit même si la tempête gronde au-dessus de ta tête et que tu es aussi faible qu’un écureuil lançant des noix sur la tête d’un ours polaire. Et têtu. Ah ça, pour te faire changer d’avis ou te sortir d’habitudes bien ancrées, il faut s’attaquer férocement à ta caboche. Pourtant, qu’est-ce que tu es cultivé, tu sais te servir de tes neurones, tu as un tempérament cérébral et tu peux te lancer à philosopher sur tout et n’importe quoi. Critique, même auto-critique, tes mots sont comme les senteurs de ce monde, tu leur donnes une vie et un éclat particulier, autant par l’écriture que dans ta voix expressive. Emotif, tu tâches de le cacher mais c’est parfois bien plus fort que toi et tu t’emportes si bien, tu virevoltes et tu peux être aussi imprévisible, bref et intense qu’une tornade. Tes joues s’en colorent aussi si facilement, qu’est-ce que tu détestes ça chez toi, et le pire? C’est que tu peux en perdre tes moyens, devenir d’une maladresse quand on te fait remarquer l’état dans lequel tu te mets toi-même. Et c’est pourtant là tout un premier aspect de ta beauté.

Et si tu as une beauté intérieure? Pour sûr. Tu te révèles loyal, dévoué, sans rien demander en retour à quiconque rejoint certaines de tes valeurs. Tu t’es modelé au fil des livres que tu parcours toujours avec passion dans ton intimité. Ton esprit s’évade et te fait vivre de belles aventures, romantiques à la grande majorité. Si fantasque, tu en deviens attachant, ou étourdissant, au choix. Un esprit qui est bien trop grand au final pour ton être, et que dire de ton coeur que tu as muselé tant d’années, il ne demande qu’à se déployer et s’exprimer au grand jour. Tu rêves de cette figure qui a marqué ton être, dorénavant perdue à jamais, tu rêves de ces hommes qui juste en posant les yeux sur eux t’arrachent un frémissement jusqu’aux creux de tes reins, tu te maudis d’imaginer la cour romantique qu’ils pourraient t’offrir, le goût de leurs lèvres, et parfois une étreinte bien plus osée et inavouable. Alors, tes stylos plumes sont tes amis, attrapant un de ces vieux carnets offerts par Ernesto que tu avais précieusement gardé, où tu apposes tout ton ressenti, toutes ces scènes pour t’en débarrasser, ou prendre plaisir à le relire des années plus tard. Pourquoi te maudire? Ah parce que certains de ces hommes sont ceux que tu peux haïr une fois que tu en sais juste un tant soit peu sur eux. Hommes à pouvoir, esclavagistes, américains, leaders, juste des inconnus si loin de ton idéal. Mais sois en paix, Glaciel, ce ne sont là que des rêves.

Tu apprécies ton chez toi, ces moments de solitude, car tu ne laisses personne entrer dans ton chalet, il est difficile de réellement pouvoir t’approcher et entrer dans ton cercle intime. Tu aimes le bruit de la pluie, l’odeur de l’herbe mouillée, le crépitement de la cheminée, le confort des coussins contre lesquels tu t’adosses avec un bon livre entre les mains. Des plaisirs simples, économes, pour une vie privée paisible où tu peux te ressourcer à l’écart de ce monde que tu combats par tes pensées, tes mots et ta voix, tous aussi libres que l’air.

Histoire



Ta vie ? Dois-tu vraiment la révéler ? A voix haute ? A quelqu’un ? Non, jamais. Tu es seul maître de tes choix, rien n’y changera. Pourtant, si sentimental, tu es, percevant sous tes doigts la texture du papier de ces carnets qui n’attend qu’une seule chose, avoir le plaisir de rencontrer ton écriture. Vas-tu la lui offrir ? Oui, c’est plus fort que toi et hautement plus… vrai, oui c’est le bon mot, que tes écrits fantasques sur les personnalités éveillant tant de vibrations en toi. Alors laisse-toi donc porter par le doux son de la pluie battante agitant le feuillage automnal des arbres autour de ton chez toi, bois une gorgée de cette tasse de sang chaud à tes côtés et que tes doigts guident ta plume.

La fin n’est que le commencement.

Aussi loin que tes souvenirs te portent, tu te rappelles de cette ville qui t’a vu grandir, Rosario en Argentine. Ta mère ? Elle aidait les gens et ils la chérissaient en retour. Etait-ce à cause de cette histoire, serrant ton coeur, qui te revient en mémoire et contée maintes fois pour te prévenir de ne pas abandonner ton coeur à n’importe qui ? Ton père, un anglais voyageant de part le monde, l’a abandonnée, enceinte, sur le parvis de la mairie le jour de leur mariage. Tu as pourtant un souvenir de lui, deux lettres, une pour ta mère, une pour toi,   pour tes 18 ans, tu ne l’as jamais ouverte, ta mère non plus. L’as-tu pourtant brûlé ? Non, elle te suit, les siècles passant, tu la sors parfois de ta cachette pour juste la regarder, la toucher du bout des doigts et la ranger tout aussi vite. La vérité qui y est dissimulée te toucherait-elle après tout ce temps ? L’imagination fantasque t’attire bien plus que tu en hésites encore à lever le voile sur ce personnage lointain que tu t’es imaginé.

Tu n’as que peu de souvenir de Rosario, mais beaucoup plus de Buenos Aires, ta mère avait suivi une amie pour s’y installer. Ce fut là que tu le rencontras pour la première fois à un repas de bienvenue avec les autres familles du quartier. Che Guevara. Ton inspiration. Ta fascination. Tu découvris l’amour de la lecture, assis sur les genoux de l’adolescent. Tu appris les règles des échecs avec lui. Tu le vis devenir jeune adulte, tu t’es si vite laissé bercer par ses paroles, son rêve de révolution par les armes, d’unir totalement l’Amérique latine. Tu t’es cultivé, tu es entré comme lui dans un club de rugby pour devenir demi-mêlée, habile, vif et à avoir l’oeil pour distribuer le ballon. Dire que cela t’aura servi plus tard. Ernesto a fait la médecine ? Tu voulais essayer mais les sciences n’étaient définitivement pas ta tasse de thé. Et tu n’avais pas le temps. Ernesto était parti faire le tour de l’Amérique Latine, le Guatemala, le Mexique, et il était maintenant à Cuba. Tu as du mal à te rappeler ce que ta mère portait ce soir-là où tu l’as quittée pour toujours. C’était un soir d’été, une brise parfumée d’orange et de vie citadine avait chatouillé tes narines si sensibles, et le parfum de ta mère, mélange de rose, jasmin et magnolia, te revient, ancré dans ta mémoire. Ah son parfum et ses larmes, douce et triste senteur au bout de tes doigts parcourant le papier, émus.

Mais du haut de tes 17 ans, tu étais un homme déterminé à rejoindre celui qui habitait tes songes et tes valeurs. Si ce fut facile ? Non. Un accomplissement ? Oh que oui. Il t’a reconnu, ton coeur en avait fait un bond, tu en étais devenu si rouge et tu lui donnas tout. Ta loyauté, ta ferveur, ton esprit. Ton coeur ? Tu aurais aimé. Ton corps ? Encore plus. Des divagations fantasques, voilà ce que tu te disais à cette époque. Au sein de la quatrième colonne du Che, tu reçus encore plus de son éducation, tu en avais passé des nuits à discuter avec lui, où les autres présents disparaissaient pour t’imaginer un moment si intense et intime rien que par des mots. Tu appris les bases de la médecine, à devenir un infirmier assistant le Che soignant les blessés, tu t’occupais de discuter, de propagande, et au besoin, c’était à toi qu’on confiait une grenade à lancer à l’ennemi, ou d’évacuer blessés, femmes et enfants. Te confier une arme à feu ? Très mauvaise idée. Tu n’étais pas un combattant de ce genre, tu étais un combattant de l’esprit veillant sur le meilleur révolutionnaire à tes yeux, ce Staline 2, le Che. Tu devins un confident, un conseiller et tu le poussas à faire entendre sa voix, à se démarquer des autres combattants de la liberté, à aller même à l’étranger pour cela. Quel bonheur de faire partie de son cercle proche, tu le suivais où qu’il aille, tu le vis se marier une seconde fois, tu écrivais pour lui au besoin, tu relisais ses propres inspirations.

Cielo, entends ma petite Celia comme son chant est aussi clair qu’une colombe libre volant de tout son saoul, tes écrits sont identiques, la liberté révolutionnaire, je l’y trouve. Ecris pour moi Cielo.
Cielo, pourquoi n’es tu toujours pas marié ? Isabel serait parfaite pour toi, veux-tu qu’elle te rejoigne ce soir dans ta chambre ?
Cielo, vas voir Masetti, il aimerait que tu t’occupes de quelques pages dans Verde Olivio. Tu as chaud ? Tu es tout rouge, vire cette veste. Bon ? Qui sent bon ? Masetti ?


Révolutionnaire tu as été, célibataire endurci, tu n’as jamais épousé Isabel, tu as juste partagé une nuit avec elle pour faire taire un peu les questions sur ta sexualité. Intouchable était le Che, tu ne pouvais pas souiller son image de ton homosexualité. Peut-être avec Masetti ? Non, tu ne pouvais garder que pour toi ton attrait pour ces deux hommes. Ou encore ces autres hommes, habitant à tour de rôle tes songes fantasques. Tu n’avais pour attache que ce combat incessant, la Révolution. Tu as connu la fin du combat à Cuba, la douleur du Congo. Quand tu fermes les yeux, tu sens la caresse des hautes herbes sèches d’Afrique, l’odeur du soleil sur ta peau, ce qu’elle te manque ! Et vint la Bolivie. La fin douloureuse, La Higuera. La panique et les cris des malades, les guérilleros courant aux armes, le Che était alors venu à toi. Ta plume te semble soudainement aussi lourde qu’était l’arme qu’il avait glissé entre tes mains. Guide-les, protège-les avait-il dit. Le campement était encerclé. Tu te rappelles avoir osé attraper sa main, lui dire de venir avec toi, que tu pouvais le déguiser, le faire passer pour un des malades que tu devais guider. Comment un simple sourire avant de t’abandonner là pouvait tant faire battre ton coeur ? Tu n’appris pas sa capture, ni sa mort. Pendant 5 jours, tu as tenu, poursuivis avec encore trois survivants, la frontière chilienne approchait et tu tombas à terre, une balle en plein ventre. Prisonnier, tu étais ramené par l’armée, en pleine nuit, quand soudain des cris, mais aucun coup de feu. Le sang, cette odeur entêtante et une autre familière, emprunte encore un peu de cigare, tu l’accueillis contre toi, allongé au sol là où tes gardes t’avaient abandonné. Heureusement pour toi, il avait repris son contrôle, une voix à l’accent français à ses côtés, il est encore si présent pour toi, le visage marqué du Che dans sa mort.

Dis-moi comment faire avait réclamé le Che. Tu te concentres, tu replonges dans cette demi-conscience si lointaine, pour juste percevoir enfouis dans ta mémoirele timbre des voix débattant auprès de toi. Tu transmets à travers l’encre cette étrange scène où sous un croissant de lune, tu avais vu ton Comandante, canines saillantes se pencher et t’emporter avec lui dans l’immortalité du haut de tes 28 ans.

Le commencement est sans fin

Une nouvelle page se tourne. Mais ton écriture ne fait que commencer, l’encre n’a pas finit de couler. Les débuts de ta vie vampirique furent difficiles. Le soleil te manquait, boire du sang d’humains ? L’adaptation se fit cependant, et n’étais-tu pas bien entouré ? Ernesto, le Che était toujours avec toi, et que dire de son créateur, Lafy. Ah la première fois que tu l’as vu, tu en étais devenu pivoine, à bégayer bêtement, et à en renverser la lampe se trouvant à côté du lit sur lequel tu t’étais éveillé, immortel. Le français est beau, il parle bien et il sent bon. Les années à le côtoyer te révéleront plus de son caractère, mais qu’est-ce qu’un tempérament particulier, rien du tout quand ton imagination t’a porté maintes fois à entendre une porte de chambre grincer, un accent français à s’enquérir de toi, te charmer, ou était-ce plutôt la voix familière du Che ? Ou encore celle de cet humain dont tu t’étais abreuvé ? Heureusement, les lèvres étaient là pour t’occuper, tu suivais ton créateur où qu’il aille. Te cacher des vivants devint une habitude, tu t’instruisais dans l’ombre, tu aiguisais ta plume, critique de ce qui se passait, rêveur de tes rencontres diverses, philosophe éperdu dans ce qui serait possible de changer.

Et le monde changea...vraiment ? Il était là, vivace encore dans ton esprit, ton regard sceptique partagé avec le Che après cette guerre des races aboutissant à l’asservissement des humains en grande partie de part le monde. C’était pathétique. Après quelques études, ton odorat toujours aussi aiguisé, tu devins un Nez, dans une parfumerie locale du Brésil. Pouvais-tu te permettre de dire que ce monde sentait le pourri dès ses débuts ? Oui ! Tu pris ton envol, tu fis ta vie pendant un temps à Rio, tu appuyas le communisme, Josivaldo, leader charmeur, t’en arracha lui aussi des rêves inavouables, et tu le comptas comme client, il t’invita même à rejoindre ses conseillers. Le refus était de mise pour toi, tu avais mieux à faire que ces simples guerres de pouvoir. La Révolution, la grande, se trouvait-elle à pouvoir prendre naissance avec cette Résistance qui apparut ? Tu en étais convaincu, ton regard brillant et ton visage marqué par les flammes du feu de ta cheminée, si proche du Che venu te rendre visite. Ah tu n’as toujours pas cédé à la tentation, comme ton créateur, tu es quelque peu figé dans ton passé, tu ne laisses nullement court à ta sexualité que dans tes songes. Au moins, tu ne risquais rien dans tes rêves, tout n’était que perfection et d’une volupté romantique si chère à tes yeux. Pour la réalité, tu n’aspirais qu’à pousser à une nouvelle guérilla, mais ce modèle que toi et le Che connaissiez si bien ne s’adaptait en rien à cette époque. Que le sang et que tes coups soient alors dans ce blog que tu créas, El Brazo Libertario. Sur la toile, signant du nom de Diego, tes libres pensées s’y inscrivaient au gré des évènements du monde, tu en développas même une relation épistolaire avec Aedhan Taylor, y intégrant un Che désireux de frapper plus fort, directement le symbole de force et d’autorité de ce qui était la plaie de ce monde. Ces maudits américains. Oui depuis le début, depuis le Guatemala, toujours eux qui faisaient obstacles à la véritable liberté et aux bienfaits du communisme !

Ce que tu gagnais, tu en versais une bonne partie en donateur à la Résistance américaine, toujours sous le nom de Diego. Mais l’ennemi était coriace, et il ne fallut que quelques années pour que tout ne s’effondre. La résistance aux USA, le massacre des femmes, l’Océanie détruite. Que d’ignominies ! La pire de toute ? Elle est encore si vive, t’échappant en une de tes larmes s’écrasant à côté de ton dernier mot, papier souillé de ton sang venant de ton coeur meurtri. Tu l’as senti du Brésil, tu l’aurais senti même de l’autre bout du monde, la fin du Che. L’Ultime. Il avait sacrifié son existence en tentant d’assassiner le monstre à la tête des Etats-Unis, l’Alexander. Ton deuil dura, puis l’étincelle vint avec cet attentat contre le Pentagone, et maintenant, tu le dis, tu le hurles. Assez. Révolution ! Ton tour est venu, tu as quitté l’Amérique latine pour envahir l’ennemi avec l’aide de Smugler. Après quelques semaines dans un hôtel, tes débuts en tant qu’employé nez à la parfumerie d’Hermès à Dornia, tu as enfin ton petit pied à terre, un chalet modeste mais vite transformé en nid douillet, à l’écart de la ville. Si en apparence, tu te fonds, en osmose avec l’époque, tu sillonnes les cybercafé, munis d’une petite beauté de technologie obtenu d’un hacker du marché noir que tu as payé chèrement, permettant de rentre intraçable ta connexion, et de changer par sécurité l’hébergement de ton blog à chaque fois que tu postes. El Brazo Libertario embrasse l’attentat contre le Pentagone, promeut la révolte et la fin de ces injustices répétées ! Diego le pense si fort dans chaque mot, dans chaque phrase. Il est là, à Dornia, et il fait sans aucun contact pour le moment avec la résistance actuelle, sa propagande en toute générosité.  
Soyez libres dans  vos têtes, dans vos coeurs, chers amis, renversons ces gouvernements abusifs !
Soyez la dernière colonne contre l’oppression ! Tendez la main aux opprimés !
Peu importe la souffrance, peu importe le temps, soyons unis et ne laissons aucun répit à l’ennemi.
L’heure de la Révolution est là.
Guettez les écrans, demain, à minuit.
En lettres rouges, son visage si reconnaissable en fond, cette phrase apparaît, prenant la place de tous les programmes diffusés juste pour quelques secondes… Hasta Siempre Comandante.

Ernesto, Che. Tu n’es plus, à jamais, mais tu es l’image de la Révolution, de la guérilla, du combat contre l’oppression. Tu m’as demandé d’écrire pour toi. Je vais changer le monde, je vais réussir pour toi, mon ami.

Derrière l'ordinateur


Vous me connaissez, à apporter une nouvelle petite étincelle, au milieu de la diversité de la troupe Hopper!

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Glaciel Valencia
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Sam 28 Oct 2023 - 20:13
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Whisper
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Sam 28 Oct 2023 - 23:22
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Whisper

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Félicitations!

Je ne sais pas trop si j'ai envie de te valider  Glaciel Valencia - Terminé 1976209511  Après tout, on n'a pas besoin de davantage de terroristes à Dornia !

Mais ça peut être marrant d'imaginer l'armée débarquer chez toi et mettre la main sur tes petits cahiers de fantasmes  Glaciel Valencia - Terminé 3456208852
Allez, ch'te valide juste pour ça ! Rampe, petit vermisseau ! Et je te mets dans le groupe des esclaves direct, ça sera du temps de gagné !

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Mar 31 Oct 2023 - 16:48
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