Contrairement à ce que votre maman vous a dit, la violence résout les problèmes. // William Stanford 1zey
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Contrairement à ce que votre maman vous a dit, la violence résout les problèmes. // William Stanford
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William Stanford

William Stanford

"Ils pourraient te battre, te faire endurer un froid et une douleur indescriptibles, et te tuer... mais ils ne pourraient jamais te faire abandonner." – Walter Diaczenko
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Surnom


Willy par ses progénitures, Al-Shaitan Al-Ramadi (le diable de Ramadi) par les irakiens, "La Légende" par les Seals.

Origine


Texane.

Race


Vampire.

Âge


799 ans, mort à 38 ans.

Naissance


1564, à la louche. Il ne connait plus sa date exacte.

Groupe


Armée.

Statut


Maître (mais il faut lui taper dans l'œil).

Métier


Capitaine des Forces Maritimes des Etats-Unis d'Amérique.

Sexualité


Demandez à ses ex, si vous les retrouvez.

Avatar


Reiner Braun.


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"Ma force ne vient pas de soulever des poids. Ma force vient de me relever à chaque fois que je suis renversé." - William Stanford



1m78, 89 kilos. Beaucoup de muscles bien soulignés, bien tassés, bien sculptés. Aucun médecin n'a jamais eu le culot de lui dire qu'au regard de son IMC il doit perdre du poids. Peut-être à la rigueur, un petit malin qui a moins rigolé quand il a pu constater de plein fouet que non, il n'y a pas de graisse à perdre. Il n'y a que des arguments pour le moins... percutants.

La boxe il en a fait, oui. Durant de longues années. Si certains aujourd'hui s'en souviennent ? Pas spécialement. On lui a proposé de réaliser un film sur sa carrière professionnelle de boxeur, il ne voulait pas être reconnu donc on a choisit un acteur qui ne lui ressemblait pas le moins du monde. Cette excuse est passée comme une lettre à la poste, au moins comme ça on ne se rappellerait pas de lui plus tard. On ne se poserait pas de questions en le croisant dans la rue. On ne remettrait pas en doute son âge, sa nationalité, son existence même. Ca lui convenait. Ca lui convient toujours.

- Allez, on se bouge ! Ventre ! Dos ! Ventre ! Dos ! Pieds ! On recommence !
...
...
- Vous n'êtes pas obligés d'aimer ça, vous avez juste à le faire !
...
...
- Vous ne connaîtrez jamais vos limites tant que vous ne les aurez pas dépassées !

Le corps légèrement bronzé malgré les évidents poils et cheveux blonds est luisant de sueur, mais ça ne l'arrête aucunement. Ces phrases qu'il entend, que ses supérieurs lui ont rabâchées encore et encore, il les connait. C'est lui qui les a prononcées pour la plupart. Mais qui s'en souvient ? Personne, et c'est tant mieux. Le débardeur est trempé, gris au lieu de blanc, mais il continue.

- Nous n'arrêterons pas tant que nous n'aurons pas au moins un lâcheur !

Ouais, cette phrase il pourrait la dire aussi. Il l'a dite souvent. Aucun seal digne de ce nom ne s'arrête en entendant cette phrase. Personne ne veut être le lâcheur, et surtout pas lui. Depuis le temps qu'il est dans la Navy, il n'a plus le droit d'abandonner. Un seal n'abandonne jamais.

Lorsque l'entraînement est terminé, le soldat Stanford est épuisé mais il aime ce genre de fatigue. Ca lui fait gagner encore un peu de poids, encore un peu de muscle, encore un peu de volonté.
- Eh Stanford ! Sexy la transpi ! Tu veux que je t'aide à virer tes fringues ?
- Ca va aller. Je peux encore prendre ma douche tout seul.
- Oh alleeez ! Fais pas ta minette !
Qu'importe que ses muscles soient brûlants, que ses genoux soient tremblants, que son corps menace de s'effondrer au sol et que sa vue soit troublée. Il se dirige vers sa cabine, qui possède une douche individuelle. Ce n'est qu'une fois la porte et la fenêtre bien verrouillées qu'il peut enfin retirer ses vêtements.

Sa peau est étonnamment lisse bien que brûlée par le soleil. Ci et là des blessures de balles, d'explosions aussi, ou de brûlures par explosifs faits maison, embellissent la toile. Une toile qu'il ne découvre pas, ou si peu, et il remercie ses talents de lui permettre de réclamer sa propre douche sans qu'on ne pose trop de questions. Bien sûr, au début les soldats jasaient : on racontait qu'il faisait simplement un caprice, que papa avait dû payer la bonne personne, mais au fur et à mesure qu'on l'a vu se défoncer sur le terrain on en est venu à se dire que le corps sculpté du blondinet devait cacher bien des horreurs. Et on a arrêté de jaser. On a appris aux petits nouveaux à ne pas le faire. Le soldat devenu officier imposait le respect par ses actes, par sa passion, par son abnégation. C'est tout ce qu'il fallait aux hommes pour le suivre.

Son parfum ? Il n'en met que lors de grandes occasions, préférant nettement l'odeur naturelle des hommes. Le nom ? Gentleman, de Givenchy. Bois, cèdre, cacao, iris. Un parfum chaleureux et boisé pour un homme de terrain.

"C'est l'esprit sur la matière : si cela ne vous dérange pas, cela n'a pas d'importance." - Kory Knowles



Il est monté rapidement en grade, bien qu'il ne l'ait jamais souhaité. Il voulait aller sur le terrain, pas rester planqué dans un bureau à envoyer des gars mourir dans la poussière pendant que lui suivrait tout de loin avec un café dans les mains. Il ne voulait pas être ce genre d'officier, et lorsqu'il a été contraint d'accepter ses augmentations il a toujours placé un autre derrière le bureau. Lui, il allait barboter dans la boue avec les copains. Si les choses se seraient moins bien déroulé s'il avait été absent ? Il en est convaincu. Au vu du nombre de morts à son actif, il est certain que ça se serait moins bien déroulé.

- Restez bas, allez vite. Tuez en premier, mourez en dernier. Un tir, un mort. Pas de la chance, toutes les compétences.

C'est ce qu'il rabâchait encore et encore à ses soldats avant chaque intervention. Est-ce que ça en a sauvé certains ? Il en est convaincu. Est-ce que ça en a tué d'autres ? Non. Un seal mort au combat n'est jamais vraiment mort. Il n'a jamais laissé un corps sur place, jamais fuit ce moment fatidique où il doit aller rencontrer la femme et les enfants pour leur annoncer la sombre nouvelle. Il a toujours tout fait pour son pays, pour ses soldats. Pour l'Amérique.

A-t-il pour autant des remords, des doutes ? Oui, parfois. Il lui arrive de douter en écoutant le baratin des hommes politiques. Il lui arrive de douter en voyant tous ces endroits où il pourrait intervenir mais n'en a pas reçu l'ordre. Il lui arrive de douter lorsqu'il s'éveille au milieu de la nuit à cause d'un énième cauchemar dû à son ESPT (état de stress post traumatique), cauchemar dans lequel il revoit des hommes sans visages le fixer de leurs orbites vides et s'insurger par le trou béant qu'ils ont à la place de la bouche.
Tout ça pour quoi ? Un pays qui n'est plus que l'ombre de lui-même ?
Qu'est-ce qu'on t'a fait pour que tu nous tues comme ça ?
On voulait juste notre indépendance...
Vous n'aviez pas le droit de vous mêler de nos affaires...
Vous nous avez tués pour notre pétrole, rien de plus...
Quoi que tu en dises, tu n'es qu'un meurtrier...
Femmes, enfants, malades... Tu as osé tous les tuer...


- Je l'ai fait pour protéger mes hommes, meeerde !!!
Tête dans les mains il halète, trempé de sueur comme s'il venait de refaire le parcours du combattant pour la quinzième fois, il fixe le mur blanc face à lui pour tenter de reprendre ses esprits. Un mur blanc bardé d'impactes de balles, et de traces de lames de couteau depuis que son esclave Maximus l'a convaincu de dormir avec un couteau plutôt qu'un flingue. Esclave qui d'ailleurs a pris l'habitude de ne pas venir de suite frapper à la porte lorsqu'il l'entend crier dans sa chambre.
- Maître ?
Son regard noisette se pose sur la porte close de sa chambre, puis sur ses draps défaits et son torse nu. Il utilise alors sa télékinésie pour attraper une chemise dans son placard, et l'enfile rapidement avant de laisser son petit blond ouvrir.
- Entre.
Maximus est venu s'asseoir sur le bord du lit, apportant sa présence muette mais palpable. Ils n'ont rien dit, comme à chaque fois. Il s'est contenté de fixer ces traces pendant deux longues heures, heures durant lesquelles son esclave a tenu bon malgré la fatigue. Un bon seal, qu'il ferait, le jeune Reed. Sans aucun doute. Après quoi il a posé sa main sur l'avant-bras de Max et, comme un accord silencieux, l'a autorisé à retourner dormir avant de lui-même retirer sa chemise pour se rallonger.

Ces souvenirs, ces cauchemars, ces doutes sont la principale raison pour laquelle il ne veut pas de postes haut placés. Il ne veut pas de médailles, de récompenses, de titres ronronnants. Il veut juste aller sur le terrain, protéger ses hommes, son pays, et rien de plus. S'il doit mourir, que ce soit en combattant plutôt que seul dans son lit.

Est-ce la raison pour laquelle il bouge tout le temps ? Sûrement. Stanford s'asseoit rarement, reste assis encore moins longtemps. Si on lui demande comment il s'envoie en l'air, il répond un simple "debout, contre le mur" désintéressé. Si le sexe l'attire ? Pas vraiment, ou plus exactement il faut qu'il y ait "autre chose". Autre chose comme une confiance mutuelle, comme un respect entre les deux. Une autre chose qui fait qu'il oserait se retrouver nu, lui d'une pudeur extrême, face à un inconnu. Les coups d'un soir ? Il n'en a pas. Ses expériences sexuelles ? Il en a si peu ! Il est vieux jeu, la majorité de ses conquêtes il les appelle "petit copain" et il ne couche pas dès le premier soir. Non. Il attend de voir ce que ça va donner, de voir s'il peut perdre quelque chose. De savoir si ça en vaut le coup. Si vous cherchez ses ex, vous rencontrerez des hommes hétéroclites qui vous diront soit que non, ils n'ont jamais couché avec le Capitaine et c'est bien la principale raison pour laquelle ils ont rompu, soit qu'ils étaient lassés par le fait que le William restait habillé autant que possible durant leurs ébats. La peur de révéler ses blessures ? Sans doute. La peur de s'ouvrir, de prendre le risque de dormir avec quelqu'un ? Aussi. Monsieur ne dort jamais avec quelqu'un, il y met un point d'honneur. Pas de douches communes non plus, faut pas déconner. Ses progénitures ? Il ne les a jamais vues nues, il faut dire qu'il a eu la chance d'avoir des enfants qui ont respecté sa pudeur. Ses limites.

S'il est conscient de son caractère ? Fort, décidé, têtu aussi, introverti. Oui, il le sait. On le juge désagréable, renfermé, facilement agacé. On le trouve cassant, sec dans ses propos, peu curieux des autres, le genre qui fait la gueule. Il le sait. Veut-il changer quelque chose ? Non. Le changement ça fait peur. Il ne se soucie pas de l'avis sur lui des gens lambdas, la seule chose qui lui importe c'est ses soldats, et ils ne critiquent pas leur Capitaine. Ce sont des Seals.

"Les gens dorment paisiblement dans leur lit la nuit uniquement parce que des hommes violents sont prêts à faire violence en leur nom"



Chris Kyle. Héros national, meilleur sniper du monde, capable d'abattre une cible à deux kilomètres. La Légende, le diable de Ramadi. American Sniper, avec Bradley Cooper, vous voyez ? C'était lui. Plus précisément, à l'époque, il a trouvé une famille qui avait accepté de le sustenter et, comme par un heureux hasard, qui avait un fils lui ressemblant beaucoup. La famille voulait de l'argent, de la renommée, et lui voulait manger. Il est donc devenu le fils, acquérant ainsi sa dernière identité connue. La suite, vous pouvez la trouver sur Wikipédia : les histoires des deux hommes se mélangent, la fin diverge. Le véritable Chris a pété les plombs, s'est approprié le texan et a mal fini. Si William en a été touché ? Non. Quand on ne sait pas manier un flingue, quand on n'a jamais fait la guerre, on ne prétend pas soigner ceux qui en sont revenus traumatisés. Pour lui, la mort de Chris était pratiquement méritée. La suite, eh bien il a vite été repéré lorsqu'il a réintégré quelques années plus tard, lorsque les vampires ont pris le pouvoir, la Navy. Pour tout le monde, ses soldats inclus, il est né en 1974 et a donc un peu moins de 4 siècles. Pourtant... Il en a quasiment le double. Qui pourrait attester qu'il est plus vieux qu'il n'en a l'air ? L'un de ses anciens soldats, évidemment, et l'un des seuls encore en vie aujourd'hui : le Commandant William Henry Madison.

Allez, petit retour dans le temps !

William nait en 1564 au Texas. Comment diantre cela est-il possible, me direz-vous ? Le Texas n'existait pas à l'époque ! Et bien si, mais pas sous ce nom. Il appartenait aux Indiens, comme tout le reste, avant d'être colonisé par les espagnols. Bon. Là, vous allez me demander comment un petit blondinet blanc comme un cul a pu naître là-bas alors que potentiellement il n'y a que des marins sur les bateaux ? Très facile : il y a été emmené. Plus précisément, sa mère qui fuyait un époux violent a supplié le capitaine d'un navire de l'emmener avec elle. Le capitaine en question s'avéra être Mathias Corvin Premier, compagnon de Vlad Tepes III connu sous le doux nom de Dracula. Vous voyez la suite ? Traversée de l'Atlantique, des matelots qui servent de bouffe, l'unique femme du bateau qui reste dans la cabine du capitaine et qui constate rapidement qu'elle a interdiction de rejoindre sa couche (déjà occupée par Vlad, évidemment). A l'arrivée, d'autres vaisseaux sont déjà présents mais ça ne gêne aucunement les deux vampires, au contraire. Le couple décide de rester proche de la bouffe.

Quelques semaines après leur arrivée la mère décède en mettant au monde un fils chauve comme ses fesses. Mathias, loin d'être déstabilisé, fait en sorte que le bébé survive en le nourrissant de lait d'ânesse, d'eau fraîche et d'amour. Vlad, lui, a rapidement appris au bébé à tirer la gueule, trait de caractère que William a bien évidemment gardé des siècles plus tard et qui rend Vlad très fier de son rejeton. En conclusion, on peut presque dire que William a grandit dans le premier foyer homosexuel de l'Histoire. La suite est classique : il n'a pas eu d'enfance malheureuse, a fait sa crise d'ado comme tout le monde, est entré dans l'armée dès qu'il a eu l'âge et, le jour où la scarlatine a menacé sa vie, Mathias l'a transformé.

Il n'a pas affronté les Indiens, n'en déplaise. Il a plutôt affronté les français, les russes, les prusses, les autrichiens... La guerre de Sept ans il l'a faite, comme beaucoup d'autres. Il aimait son pays, un pays aussi jeune que lui et qui avait tant d'avenir. Il voulait en faire un pays fort, qui pousserait les autres pays à s'améliorer, mais l'armée manquait de quelque chose à ses yeux : volonté, indépendance. Une indépendance que les Etats-Unis obtiennent quelques siècles plus tard mais ! Il ne participe pas. A ce moment-là il est reconnu hidalgo depuis 1760 et possède sa petite maison avant de tout quitter pour aller... sur l'eau.

Rejoignant la Continental Navy en 1775, il fait ses armes avec le Lieutenant John Paul Jones et embarque sur l'America. Une révélation pour lui, qui voit en le jeune Lieutenant l'incarnation de ses espoirs pour son pays. Comme le dit l'officier déjà reconnu à son âge pour sa participation durant la guerre d'Indépendance des Etats-Unis, « Without a respectable Navy, alas America ! ». William n'y tient pas. Devenu corsaire, son vaisseau est l'un des rares à survivre à la guerre jusqu'à ce que la Continental ne soit dissoute, et avec elle le rêve du blondinet. Il envisage alors de rejoindre les britanniques ou les français mais... Il ne veut pas quitter son pays. Il ne le peut pas. Washington le sauve du désespoir quelques années plus tard en relançant la marine, et le vampire peut monter dans un navire tout beau tout propre : le Constitution. Sous les ordres de Nicholson il apprend, enquête, s'enrichit et surtout s'endurcit. Le capitaine est dans la confidence et lui sert de repas, William est assez vieux pour n'avoir besoin d'une morsure que deux ou trois fois par mois. Les corsaires et les pirates sont ses nouveaux ennemis, des ennemis fourbes qui s'attaquent à son pays en l'empêchant d'être nourrit. Technique de lâche qu'il exècre.

Lorsque vient la bataille de la baie de Manille il est Capitaine de son propre vaisseau et organise l'attaque, permettant à son pays de remporter la victoire sans aucune perte de son côté. Il est acclamé, mais repart rapidement en mer pour éviter toute reconnaissance officielle. Tout au plus il range une médaille par-ci par-là, histoire de. Ca fait des souvenirs. Mais sa vie, elle est sur l'océan.

S'il a eu le temps de trouver femme et enfants ? Bien sûr que non. Que ce soit sur le Constitution ou l'USS Maine, pendant les guerres mondiales ou même celles du Golfe ou de Somalie, Stanford est sur tous les fronts à travers le temps. Il fait une petite pause tout de même pour développer ses talents de sniper, ce qui lui réussi très bien comme on a pu le voir plus haut, avant de retourner fourrer ses pieds sur un bateau. Il a été instructeur un temps, histoire de, date à laquelle il a eu parmi ses élèves celui qui deviendrait le Commandant des Forces Armées Américaines. Qui l'aurait cru ? Leurs cicatrices se parlaient-elles ? Leur réserve, leur timidité émotionnelle, s'attiraient-elles l'une l'autre ? Il faudrait leur demander. L'un dans l'autre, sans mauvais jeu de mot, les deux âmes se sont "reconnues" avant que l'océan n'appelle Stanford. Une dernière fois.

L'avènement des vampires bouleverse un peu sa vie, mais il s'adapte très vite. Il intègre la milice d'Orange Beach et gravit rapidement les échelons pour en prendre finalement la tête quelques années plus tard. Durant ces nombreuses décennies il touche à tout, apprend tout, se performe à tout. Il fait la rencontre de sa première progéniture, une sorte d'essai de clonage, puis un siècle plus tard de la seconde. Aucune des deux n'était prévue mais il ne regrette pas. Enfin, sauf pour Blaidd quand il est trop chiant.

Aujourd'hui il n'a que peu eu l'occasion de remettre les pieds sur un bateau, mais il ne perd pas espoir. Il y pense encore, chaque fois qu'il regarde par une fenêtre en direction de là où il sait trouver la mer. Après tout, qu'est-ce qui le retient sur terre ?
"tes soldats"
Mouais. On va dire ça. En attendant il y a des connards qui les butent, ses soldats, et qui s'amusent à faire sauter le Pentagone donc ! On peut dire sans se tromper qu'il va rester encore un moment histoire de casser des côtes.

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Derrière l'ordinateur


C'est ça qu'est triiiiiii-steeeeeuh !

Recensements


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William Stanford
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Vampires Supérieurs
Race : Vampire
Age : 800 ans. Officiellement, il en a 390.
Statut : Maître
Métier : Capitaine et Instructeur des Forces Maritimes
Don particulier : Bowling, tir à distance (viser, quoi)
Créateur : Mathias Corvin Ier
Progéniture(s) : Blaidd Sullivans et François Athanase Charette De La Contrie (predef)
Âme & Légende : Ma fiche & [url=lien vers tes relations]mes liens[/url]
Mer 8 Nov 2023 - 21:04
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Oh il est là, enfin, tant attendu par Billy la chèvre! Un autre navy! Tous aux abris! Contrairement à ce que votre maman vous a dit, la violence résout les problèmes. // William Stanford 823732230
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Gif : Contrairement à ce que votre maman vous a dit, la violence résout les problèmes. // William Stanford Giphy
Race : Lièvre (de Mars)
Amour(s) : Thé ! **
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Mer 8 Nov 2023 - 21:36
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William Stanford
Ouais bah Billy elle va finir en casse-croute ! Contrairement à ce que votre maman vous a dit, la violence résout les problèmes. // William Stanford 2682717772
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Jeu 9 Nov 2023 - 20:01
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Félicitations !

Résistants, fuyez, il est là! La Légende! Il crie revanche et qu'est-ce que c'est un grand patriote, un père protecteur pour ses soldats! ça donne envie de venir se blottir sous son aile et voir si on peut le faire rougir ce pudique  Contrairement à ce que votre maman vous a dit, la violence résout les problèmes. // William Stanford 333750639
Tu es validé, du travail t'attend! Va donc saluer ton Commandant  Contrairement à ce que votre maman vous a dit, la violence résout les problèmes. // William Stanford 1208725972

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Ven 10 Nov 2023 - 19:10
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