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Yannick De LucaAussi unique qu’un seul esprit peut l’être. Surnom Yan
Origine Américaine
Race vampire
Âge 341 ans en parait 30 ans
Naissance 4 avril 2021
Groupe civil
Statut Civil
Métier Gérant d'un club de boxe française, anglaise et thaïlandaise
Sexualité Indifférent.
Avatar Geto Suguru de Jujutsu Kaisen
ApparenceYannick se distingue par une silhouette robuste, empreinte de virilité, qui attire les regards sans chercher à les captiver. Avec ses 1m80, il n'est ni un colosse imposant ni un athlète exubérant, mais son allure laisse deviner une force contenue. Son corps élancé, sculpté avec soin, évoque une virilité discrète, une harmonie rare où la douceur et la puissance se côtoient sans jamais s'affronter. Ses épaules, larges et bien dessinées, témoignent d'une solidité naturelle, tandis que ses grandes mains, à la fois délicates et fortes, ajoutent à l'ensemble une touche de noblesse brute. Son torse, où l'on perçoit les contours discrets de ses abdominaux, complète cette composition équilibrée où la force brute se mêle à une sérénité apaisante. Son visage, d'une élégance simple mais marquée, est dominé par une mâchoire carrée qui suggère la détermination et la douceur. Il semble être le reflet d'une âme en quête de simplicité raffinée. Ses cheveux, longs et d'un noir d'encre, tombent négligemment autour de son visage, comme une cascade de ténèbres silencieuses. Coiffés avec une nonchalance maîtrisée, ces mèches éparses encadrent ses traits d'une poésie sauvage. Sous les rayons du soleil, ses cheveux révèlent des reflets ébène qui semblent se fondre dans l'ombre de ses yeux mystérieux, des yeux noirs et profonds où brille parfois une étincelle énigmatique. Ses lèvres, fines et d'un rose pâle semblable à des pétales de fleurs délicates, s'intègrent subtilement à ce tableau nuancé, apportant une touche de douceur à cette virilité apparente. Sa peau, d'un ton modérément clair, est marquée par endroits de discrètes cicatrices, souvenirs muets d'aventures passées ou de batailles silencieuses. Ses seuls ornements sont deux piercings aux oreilles, signes d'une sobriété recherchée, loin des excès de la mode ou du besoin de se conformer aux attentes extérieures. Yannick incarne une élégance naturelle, une simplicité dépouillée qui rejette le superflu et les fétiches du matérialisme. Pourtant, derrière cette apparence tranquille et dépourvue d'artifice, se cache une richesse intérieure insoupçonnée. Yannick n'est pas seulement un homme, mais une entité complexe où coexistent plusieurs personnalités : Cédric, Julio et Ben. Chacune de ces facettes, avec ses particularités et ses nuances, contribue à former un tout fascinant . C'est ce maillage intime de caractères, ce jeu subtil de masques et de miroirs, qui fait de Yannick un être à part. Cédric Cédric incarne à la perfection l’archétype du jeune homme branché, celui qui attire les regards sans même essayer. Toujours impeccablement coiffé, il arbore une coupe de cheveux soigneusement travaillée, où chaque mèche semble avoir trouvé sa place, ou bien, lorsqu'il veut adopter un style plus décontracté, il se coiffe d'une casquette stylée qui repose nonchalamment sur sa tête, ajoutant une touche de désinvolture calculée à son allure. Son goût pour la mode se manifeste à travers des vêtements griffés des plus grandes marques, chaque pièce sélectionnée avec une précision presque artistique. Des lunettes aux montures audacieuses, des ceintures élégantes, et des chaînes qui brillent avec subtilité viennent compléter ses tenues, comme autant de détails qui soulignent son sens aigu du style. Sa collection de baskets est impressionnante, un éventail de couleurs et de designs qui témoigne de son penchant pour le raffinement contemporain. Chaque paire raconte une histoire, un choix délibéré qui fait écho à une esthétique recherchée. Ses vestes, également nombreuses, sont choisies avec le même soin, évoquant tour à tour la modernité et une certaine nostalgie d'une époque passée. Ces vêtements ne sont pas simplement des objets de mode pour Cédric, ils sont l’expression d’une identité forte et affirmée. Mais ce qui le distingue vraiment, c’est l’assurance naturelle qui émane de lui, cette aura de confiance qui éclaire chacun de ses mouvements. Lorsqu’il entre dans une pièce, c’est comme si le temps s’arrêtait un instant, attiré par cette présence juvénile et pleine de vie. Il ne se contente pas de suivre les tendances de son époque; il les réinvente à son image, apportant à chaque fois une fraîcheur nouvelle. En Cédric, la mode trouve non seulement un adepte passionné, mais aussi un créateur en devenir, un jeune homme dont l’audace et la vitalité ne cessent d’impressionner. Julio Julio est l’incarnation même de l’élégance, mais avec une touche résolument vintage qui le distingue de ses contemporains. Il porte avec fierté de grandes lunettes noires, dont il prétend qu’elles sont essentielles pour bien voir, alors qu'en réalité, il ne s'agit que de simples verres de repos, un accessoire subtil qui ajoute à son allure un charme mystérieux. Toujours impeccablement coiffé, Julio maintient ses cheveux en arrière avec une précision presque obsessionnelle, chaque mèche bien rangée, éloignée de son visage comme pour mieux révéler ses traits délicats. Cette coiffure soignée est à l’image de son caractère : un souci constant du détail, une recherche de perfection qui ne laisse rien au hasard. Son style vestimentaire est un savant mélange d’élégance d’autrefois et de chic moderne, oscillant avec grâce entre l’allure d’un gentleman d’un autre siècle et celle d’un amateur éclairé de friperies. Il s’entoure de vêtements anciens, des pièces rares et précieuses, qui semblent avoir traversé les époques sans jamais perdre de leur splendeur. Ces vêtements rétro, choisis avec soin, se mêlent habilement à des créations contemporaines, créant un équilibre parfait entre passé et présent. Chaque tenue qu’il compose raconte une histoire, une danse entre le vintage et le moderne, un hommage aux temps révolus et une célébration du style d’aujourd’hui. Le résultat est un mélange dandy unique, qui exhale une mélancolie raffinée. Julio ne se contente pas de suivre les modes; il les transcende, offrant à chaque fois une interprétation personnelle, un clin d'œil aux âmes sensibles et aux nostalgiques du beau. Dans son regard, on perçoit une profondeur, une conscience aiguë du temps qui passe et des modes qui changent, mais qui, entre ses mains habiles, se rejoignent pour former une élégance intemporelle. Ben Ben est l'incarnation de la détermination à l'état brut, une silhouette imposante taillée par des années de discipline inflexible et de combats incessants. Son allure reflète une rigueur militaire, chaque mouvement, chaque geste affirmant une force intérieure inébranlable. Son style est sans concession, résolument utilitaire, arborant des pantalons à larges poches prêts à accueillir tout ce dont il pourrait avoir besoin en mission, des rangers robustes qui ont foulé bien des terrains, et un t-shirt sobre, simple écho de son esprit sans artifices. Par-dessus, une veste sans manches met en valeur la puissance de son torse, comme une armure qui révèle la force contenue de son caractère. Les lunettes Ray-Ban, qu'il porte souvent sur le nez ou qu'il laisse suspendues négligemment à la poche de sa veste, ajoutent une touche de mystère à son regard perçant. Elles sont comme un voile, une barrière discrète entre lui et le monde, rendant ses pensées aussi opaques que ses verres teintés. Ses tenues, toujours choisies dans une palette de beige, marron, vert kaki et noir, contrastent fortement avec la douceur et la subtilité que révèlent parfois les autres aspects de sa personnalité. Chaque couleur qu’il porte, chaque pièce qu’il enfile, est une déclaration silencieuse de sa nature intense et de sa présence implacable. Il ne s'agit pas simplement de vêtements, mais de l'expression même de son être : des tons terreux qui évoquent la rudesse des paysages traversés, des textures robustes qui rappellent la solidité de ses convictions. Ben est un homme qui s'habille comme il vit : avec une intensité palpable, une précision chirurgicale, et une absence totale de compromis. Sous cette apparence austère se cache une âme forgée par l'expérience, une force tranquille qui s’impose sans jamais avoir besoin de hausser la voix. Ainsi, avec cette riche palette de personnalités, Yannick dévoile une garde-robe aussi diverse que les multiples facettes de son âme. Chaque apparence qu’il arbore est une histoire en soi, un chapitre de plus dans le récit fascinant de sa vie intérieure. PersonnalitéQuoi de plus naturel, chers rêveurs, que de confier la chronique de la psyché de Yannick à une voix qui a partagé ses aurores et ses crépuscules, ses chagrins et ses exaltations, celle qui le connaît mieux que quiconque ? Évidemment, moi ! Sa conscience, son ombre lumineuse, son écho éternel. Permettez-moi de vous prévenir, narrer l'épopée de Yannick sera une odyssée complexe, parsemée de méandres et de mirages. Il est une énigme insaisissable, un mystère imprévisible, et même aujourd'hui, il parvient encore à me dérouter. Au fil des ans, j'ai renoncé à toute prétention de déchiffrer les secrets de son âme et les tempêtes de son existence. Yannick possède une capacité singulière à bouleverser le quotidien, à métamorphoser des moments d'exception en tourbillons chaotiques. Pour pénétrer l'essence de ce qui fait de Yannick un être unique, il faut commencer par son mal secret et ténébreux. Yannick est en proie à un trouble dissociatif de l'identité, jadis connu sous le nom de trouble de la personnalité multiple. Imaginez, si vous le pouvez, plusieurs âmes coexistant dans un seul et même corps. Au-delà de sa véritable personnalité, Yannick abrite en son sein trois autres esprits, distincts et étrangers à son être profond. Parfois, ces âmes alternatives prennent le gouvernail, et Yannick se mue, convaincu d'être quelqu'un d'autre. Mais ne vous méprenez pas, il n'est pas schizophrène ; cela n'a rien à voir. Chacune de ces entités porte un prénom : Cédric, Julio, et Ben. Bien qu'ils partagent le même vaisseau charnel, chacun arbore son propre style vestimentaire, sa manière de parler, ses gestes singuliers. Lorsque l'une de ces personnalités émerge, nous ne pouvons qu'attendre son retrait, impuissants. Il n'y a rien d'autre à faire. Ces esprits n'apparaissent pas sans raison. Ils surgissent lorsque Yannick est submergé par des émotions démesurées, lorsque le monde devient trop lourd à porter, lorsque la colère enflamme son cœur. Tout dépend de son état émotionnel, de son niveau de stress, et des tumultes qui le tourmentent. Ces métamorphoses laissent Yannick amnésique quant aux actions de Cédric, Julio ou Ben. Il souffre de vastes pertes de mémoire, créant des zones d'ombre profondes dans le tableau de sa vie. Lorsqu'il change de personnalité, Yannick s'efface. Il quitte son propre corps, incapable de dire où il était, ce qu'il a fait. Cependant, Cédric, Julio et Ben se souviennent parfaitement de leurs faits et gestes, ainsi que de ceux de Yannick. Ils semblent toujours présents, observant en silence. Les médecins disent que cette malédiction trouve son origine dans un traumatisme psychologique intense, enfoui au plus profond de son esprit. En somme, Yannick a vécu un bouleversement si terrible qu'il a fragmenté son être en multiples éclats. Pour mieux saisir l'essence de Yannick, il faut explorer chaque facette de ses personnalités : Yannick, Cédric, Julio, et Ben. Chacune est unique, mais une seule est le véritable maître de ce royaume intérieur... Yannick. Yannick Yannick est un homme de l’ombre, un être qui se faufile silencieusement à travers les méandres de la vie, préférant l’obscurité discrète à la lumière éclatante. Il vit en retrait, à l’abri des regards, oscillant entre le travail et le sommeil, dans une lutte constante pour éviter d'éveiller la bête qui sommeille en lui. Son existence est déjà compliquée par la maladie qui le ronge, mais sa nature vampirique ajoute une couche supplémentaire de complexité. Ce n'est pas qu'il ait honte de ce qu'il est; il préfère simplement se fondre dans le décor, échapper aux regards curieux et aux jugements hâtifs. Yannick a toujours été facile à vivre, malgré tout. Attentionné et serviable, il ne refuse jamais de prêter main-forte, répondant avec douceur et bienveillance aux demandes d'aide. Son esprit est constamment en mouvement, toujours occupé à évacuer ses tensions à travers diverses activités : son travail, ses joggings matinaux, ou encore ses longues séances d'entraînement. Mais ses rares amis se sont peu à peu éloignés, effrayés par une facette plus sombre de sa personnalité. Malgré lui, Yannick est devenu un être solitaire. Dans son métier de gérant d'un club de boxe française, anglaise et thaïlandaise, son caractère posé et patient est un atout inestimable. Passionné depuis toujours par les sports de combat, il adore transmettre les valeurs qui leur sont associées : la force mentale, une philosophie de vie, le respect de l'adversaire, et le renforcement du corps autant que de l'esprit. Il possède un don naturel pour redonner confiance aux gens, les aider à se redécouvrir à travers la discipline du combat. Ce métier lui semblait écrit d'avance. Lorsqu'il est dans son club, il entre dans un univers qui lui est propre, un monde où plus rien d'autre n'existe. Il s’efforce toujours de ressentir une fierté sincère dans son travail, conscient que les progrès accomplis, même marqués par quelques coups portés, sont le fruit de ses propres mains, soutenu par son associé Carl qui est toujours présent en cas de pépins. Pour Yannick, son club est bien plus qu’un simple lieu de sport ou de divertissement ; c’est un sanctuaire, un espace de renaissance pour ceux qui cherchent une seconde chance. C’est une mission personnelle pour lui : embaucher des personnes comme lui, des individus en quête d’un nouveau départ, d’une opportunité de reprendre le contrôle de leur vie. Parmi eux, on trouve principalement d'anciens militaires, des agents de sécurité, et des pompiers – des hommes qui, à un moment donné, ont dévié de leur trajectoire. Il les aide à retrouver leur équilibre à travers la rigueur et la discipline des sports de combat. Yannick parle peu, et sa voix, lorsqu’elle se fait entendre, est empreinte d’une douce mélancolie. Il sait tenir une conversation et aborder une variété de sujets, mais il évite les conflits et les confrontations. Ce n’est pas un orateur. Il préfère laisser le dernier mot à son interlocuteur, même s’il sait qu’il a raison. Il garde une distance prudente, non seulement avec les autres, mais aussi avec ses propres émotions, de peur que l’une de ses autres personnalités ne prenne le dessus. Il lui arrive de sourire, de rire même, mais ces moments sont rares et d’autant plus précieux. Quand il sourit, une lueur éclaire ses yeux, comme une étincelle de bonheur fugace. Pourtant, les regards intrigués ou surpris des autres le poussent souvent à baisser la tête, à effacer ce sourire. Son rire, lorsqu’il éclate, est contagieux, apportant une chaleur bienvenue autour de lui. S'il pouvait être ainsi plus souvent... Mais la frustration ne le quitte jamais vraiment. Les trous noirs dans sa mémoire le perturbent profondément. Il est terrifié par l’idée de ne pas savoir où sa conscience se trouve lorsque ses autres personnalités prennent le dessus. L’impression de ne jamais être totalement maître de lui-même est parfois insupportable, et cela engendre des peurs profondes, tapies en lui : la peur de ne jamais redevenir lui-même, de ne jamais pouvoir construire une vie stable, la peur de disparaître... Son trouble dissociatif de l’identité complique tout, en particulier ses relations. Une vie de couple stable lui semble hors de portée, et trouver quelqu’un qui accepte ses multiples facettes est un exploit rare. Ses expériences amoureuses ont souvent viré au désastre, ses partenaires effrayés par Ben ou fascinés par une autre de ses personnalités. Yannick est suivi par des spécialistes. Il aspire, autant que possible, à rester maître de lui-même. Dans le cadre de sa thérapie, Yannick et ses autres personnalités se filment, apprenant à se connaître à travers ces enregistrements. Il espère qu’un jour, une réponse surgira, une clé vers la guérison, vers une vie où il pourrait enfin être en paix avec lui-même. Cédric Cédric, jeune homme de 18 ans, navigue en plein cœur de la tempête tumultueuse de l’adolescence. Sa grande gueule et son insolence toujours prêtes à exploser répandent des "fuck" comme des pétales dispersés par un vent violent. Quand il est d'humeur maussade, il peut en lancer jusqu’à 300 en une journée, même les jours où il est en petite forme. Provocateur dans l'âme, il fait éclater des bulles de chewing-gum sous votre nez avec un sourire narquois, lève les yeux au ciel à la moindre remarque, et pousse de longs soupirs exaspérés, comme s’il portait tout le poids du monde sur ses épaules. Se remettre en question ? Très peu pour lui. Cédric s’enorgueillit de ses mauvaises fréquentations, et avec ses pétards à la main, il incarne parfaitement l’archétype du rebelle, l’éternel adolescent en quête de frissons et de provocation. Véritable esthète de l’apparence, Cédric a érigé la mode en art de vivre. Il peut passer des heures à peaufiner son look devant le miroir, et les boutiques de vêtements sont pour lui des terrains de chasse, des arènes où il règne en maître. Innombrables sont les fois où il a fait chauffer la carte bleue de Yannick, au point de faire trembler le pauvre compte en banque. Pour lui, le shopping est une forme de poésie, une romance moderne, tout comme les salles de jeux où il s’évade, s’imaginant roi d’un royaume virtuel. Yannick, de plus en plus déconcerté, se perd dans les méandres de ses dépenses labyrinthiques, incapable de suivre son rythme effréné. Comme tout adolescent qui se respecte, Cédric est un virtuose de la mauvaise foi. Un jour, il élève quelque chose au rang de culte, et le lendemain, il le renie avec la même ferveur. Ce qui le rend encore plus redoutable, c’est qu’il est loin d’être stupide. Doté d’une perspicacité aiguë, il rend la tâche de le remettre à sa place particulièrement ardue. Il doit toujours avoir le dernier mot, quitte à piétiner du pied pour l’obtenir. Lorsqu’il n’obtient pas ce qu’il veut, le monde entier semble devenir une immense injustice à ses yeux. Mais laissez passer un peu de temps, et le voilà qui revient, sourire éclatant aux lèvres, comme si de rien n'était, prêt à charmer et à désarmer son entourage avec une désinvolture désarmante. Cédric est une véritable tornade, un tourbillon de vie, un rayon de soleil sauvage qui illumine tout sur son passage. Son énergie effervescente est contagieuse : il est le premier à enflammer l’ambiance, à faire éclater les rires autour de lui comme des feux d’artifice. Lorsqu’il voit ses proches sombrer dans le désespoir, il accourt à leur secours, apportant avec lui une chaleur réconfortante, une lumière capable de dissiper les ténèbres les plus épaisses, de faire renaître un sourire sur les visages les plus fatigués. Son talent pour les mots est aussi acéré que son esprit. Il oscille avec aisance entre des réflexions profondes et des conversations légères, selon ses humeurs changeantes. Il manie la langue avec une dextérité envoûtante, transformant le banal en quelque chose de fascinant, rendant chaque échange unique et imprévisible. Mais l'ordre et la rigueur sont pour lui des contrées inconnues. L'école ? Une prison sans murs, un endroit qu'il déteste avec une passion farouche. Il raconte souvent, avec un brin de fierté dans la voix, qu'il a été expulsé de la dernière école publique du quartier, comme si c’était une vérité incontestable. Pourtant, cette version des faits est loin de la réalité, mais il s’en accommode, préférant se bercer de cette fiction plutôt que de se plier aux contraintes scolaires. Il préfère errer librement, la musique comme unique compagne, plutôt que de subir les diktats de l'éducation. Et comme il aime à le dire avec un sourire provocateur : "Plutôt en crever !". Cédric, en véritable épicurien des passions masculines, embrasse pleinement les désirs qui l’animent. Sa vie est un tourbillon vibrant d’activités sensuelles, où chaque moment est empreint d’une énergie indomptable. Les hormones, complices de ses émotions ardentes, dessinent sur lui les contours d’une vitalité éclatante et irrésistible. iIl est un passionné de l’art subtil de la séduction, un maître des soirées où les éclats de rire et les murmures d’étoiles se mêlent dans une danse envoûtante. Sa nature audacieuse n’a d’égale que la profondeur de ses regards, et sa timidité n’est qu’un lointain souvenir dans l’univers scintillant de ses soirées nocturnes. Cependant, il y a une question majeure à cela... Est-ce que ces hommes avec qui il a des relations sexuelles le font avec un jeune homme de 18 ans ou plus ? Finalement, Cédric est une âme totalement différente de celle de Yannick. Le rencontrer, c’est comme s’aventurer en terrain inconnu, se perdre dans des eaux troubles et déstabilisantes. Il n’hésite pas à lancer des remarques acerbes sur la vie de Yannick, avec une insolence déconcertante. Quel culot incroyable ! Il s’installe dans le corps de Yannick comme un locataire indésirable, prenant ses aises dans ce foyer étranger et trouvant sans cesse des raisons de se plaindre. Avec son audace flamboyante, Cédric se fraye un chemin dans cette existence partagée, perturbant l'équilibre fragile établi par Yannick. Il déploie ses ailes d’arrogance, envahit l’espace comme un roi déchu, rejetant avec une désinvolture blessante les inquiétudes et les doléances de Yannick. Son intrusion ressemble à une tempête éclatant dans un ciel serein, un tourbillon imprévu qui ébranle les fondations mêmes de l'identité. Et pourtant, malgré le chaos qu'il provoque, il fascine par son assurance insolente, un contraste saisissant avec la douceur réservée de Yannick. Julio Julio est un homme d'âge mûr, enveloppé d'une timidité presque palpable qui lui confère un charme délicat et discret. Son visage s'empourpre facilement, comme celui d'un adolescent dont le cœur bat encore au rythme des tourments de la jeunesse. Toujours impeccablement vêtu, il arbore des tenues soigneusement choisies, alliant élégance et raffinement avec une douceur nostalgique. Dans l’appartement et l’atelier de Yannick, Julio est une véritable fée du logis, maniant balai et chiffon avec la grâce d’une danseuse, transformant chaque espace en un sanctuaire de propreté. L’ordre et la netteté sont ses commandements sacrés, et il impose à chaque pièce une discipline qui frôle la perfection. Mais ce n’est pas seulement dans l’entretien ménager que Julio excelle. Ses talents culinaires sont tout aussi impressionnants. Les plats qu'il concocte sont de véritables chefs-d'œuvre gastronomiques, chaque bouchée offrant une explosion de saveurs qui émerveille les papilles. On pourrait le comparer à une héroïne de "Desperate Housewives", alliant habilement grâce, compétence, et une touche d’humour. Surprenant, n’est-ce pas ? Julio, malgré son penchant pour les aspects traditionnellement associés à la féminité, ne tombe jamais dans des manières efféminées. Sa voix, douce et posée, accompagne un regard pénétrant, presque scrutateur, qui semble sonder l’âme de ceux qu’il observe. Toujours prévenant, chaque mot qu’il prononce semble avoir été soigneusement pesé, comme s'il devinait déjà vos pensées les plus secrètes. Son aptitude à comprendre et manipuler les émotions d’autrui est fascinante et légèrement déstabilisante ; il sait exactement quoi dire pour flatter ou influencer, et ses intentions restent souvent aussi imprévisibles que ses réactions. Julio cultive une passion pour tout ce qui vient d’un autre temps. Ses tenues vintage, soigneusement choisies, et ses goûts musicaux, exprimés à travers des vinyles patiemment collectionnés, témoignent d’un amour profond pour une époque révolue. Ces mélodies d'antan l'accompagnent au quotidien, ajoutant une touche de mélancolie à ses journées. Amoureux de la littérature classique, il se plonge avec délectation dans des romans aux intrigues raffinées, évitant soigneusement les récits modernes de guerre ou de mystère. Ses soirées cinéma sont, elles aussi, un spectacle à part entière, souvent empreintes d’avant-garde, me laissant souvent perplexe alors que je m'endors, incapable de saisir les subtilités des films qu'il affectionne tant. Sur le plan relationnel, Julio est un ami fidèle, aussi solide que l'acier. Une fois que vous faites partie de son cercle restreint, vous pouvez compter sur une loyauté inébranlable. Cependant, toute trahison, même infime, entraîne une réaction froide et implacable ; il vous rayera de sa vie avec une indifférence glaciaire, comme si vous n’aviez jamais existé. En ce qui concerne ses affaires de cœur, Julio reste immaculé, aussi bien en amour qu’en expérience physique. Ses principes rigoureux et sa croyance profonde en la pureté le tiennent à l’écart de toute intimité sentimentale ou charnelle. Il prône l’abstinence jusqu’au mariage avec une conviction ardente, participant activement à des forums qui célèbrent cette voie avec une foi absolue. Pour Julio, la virginité est un trésor sacré qu'il préserve avec une détermination farouche. Chaque soir, il se livre à un rituel quasi-cérémonial : à genoux au pied de son lit, les mains jointes, il prie avec une ferveur bouleversante, demandant des bénédictions pour tous ceux qu’il aime. Ses prières sont une quête ininterrompue de rédemption, une supplication pour la grâce divine, tant pour Cédric, Ben, Yannick que pour sa propre famille. En observant Julio, on pourrait croire à un homme serein, apaisé. Pourtant, ses rituels méticuleux, ses préoccupations constantes, et sa quête obsessionnelle de pureté trahissent un esprit profondément troublé, en lutte avec une nature qu’il peine à accepter. Derrière ses manières douces se cache peut-être un cœur chargé de combats intérieurs et de regrets, un tourment qu’il cherche inlassablement à apaiser à travers ses gestes quotidiens et ses prières nocturnes. Ben Ben est l’incarnation même de la force brute et de l'assurance inébranlable. Avec sa stature imposante de géant, il avance d'un pas décidé, chaque mouvement empreint d'une détermination inflexible. Sa présence est aussi pesante que ses convictions ; lorsqu'il se forge une opinion, il se dresse tel un roc, indifférent aux arguments qui pourraient tenter de l'ébranler. C'est un homme qui n’hésite pas à taper du poing sur la table, faisant résonner ses idées avec une énergie presque tangible, sa voix tonitruante retentissant comme un marteau d’acier sur l'enclume. Mais ce qui définit véritablement Ben, c’est sa langue acérée, aussi tranchante qu’une épée. Il possède un talent unique pour la franchise brutale ; ses paroles sont un torrent impétueux de vérités sans filtre, ponctuées de grossièretés qui jaillissent comme des éclairs déchirant le ciel nocturne. Ses éclats de voix oscillent entre des cris de colère, des menaces teintées de violence, et des blagues crues qui laissent souvent son auditoire à la fois perplexe et stupéfait. Ces plaisanteries, bien loin de l'humour ordinaire, sont souvent empreintes d’une crudité qui dépasse les limites de la bienséance. Le quotidien de Ben se déroule sous une nuée de fumée de cigarettes et au rythme des gorgées de bière. Que ce soit affalé sur un banc de parc, avachi sur le canapé de son salon, ou installé dans un bar bruyant, il trouve son réconfort dans les plaisirs simples de la vie : une cigarette roulée entre les doigts, une bière fraîche à portée de main. Il est du genre à étendre ses jambes avec nonchalance, à toiser l'entourage d'un regard méprisant, ponctué de commentaires acerbes ou de sifflements destinés à attirer l’attention des passants. Ben est un personnage rugueux, dont la rudesse n’est pas sans charme. Peut-être sa grossièreté est-elle pardonnée par ses récits héroïques de guerre. Lorsqu’il se lance dans ses histoires, elles deviennent de véritables spectacles, oscillant entre drame et comédie. Il gesticule avec une frénésie contagieuse, hurlant et frappant les murs, un comportement qui lui a déjà valu quelques blessures. Malgré son tempérament explosif, Ben est un ami loyal, un protecteur farouche. Quand il est de bonne humeur, il se transforme en un défenseur inflexible, prêt à affronter n'importe quel adversaire pour protéger ceux qu'il aime. Sa colère est une tempête déchaînée, où la réflexion est balayée par une déferlante de violence brute. Dans ces moments-là, il se comporte comme un véritable titan, frappant sans se soucier des conséquences. Les passions de Ben sont aussi flamboyantes que son caractère. Il prend plaisir à dépenser son énergie dans un stand de tir avant de savourer une bière bien méritée. Les matchs de catch et les courses de voiture l’enflamment tout autant que ses séances de visionnage de films pornographiques, soigneusement dissimulés dans un disque dur. Sa passion pour le rock est également intense ; il ne peut écouter sa musique qu’à un volume assourdissant, cigarette au coin des lèvres, chaque note résonnant à travers les murs. Sur le plan sentimental, ranc et direct dans ses intentions, il n’hésite pas à exprimer ses désirs avec une honnêteté brute, mais toujours empreinte de respect. Bien qu’il se complaise dans des aventures d’un soir, il n’exclut pas la possibilité de s'engager dans une relation plus sérieuse si l’occasion se présente. Au lit, il est un dominant farouche, opposé avec véhémence à l’idée d’être dominé. Les rares tentatives en ce sens se sont soldées par des expériences désagréables pour ceux qui ont osé essayer. En somme, Ben et Yannick sont des opposés fascinants qui se complètent de manière inattendue. Leur dynamique est un mélange explosif de confrontations et de camaraderie. Ben, avec sa brutalité et son franc-parler, trouve souvent des occasions de se moquer de Yannick, le qualifiant de « lavette » et de « lâche ». Ce contraste entre leurs natures crée une tension constante, à la fois fascinante et déconcertante, illustrant la complexité de leur relation et la turbulence de leurs interactions. S'aventurer dans l'esprit complexe de Yannick et ses multiples personnalités peut sembler à première vue tout droit sorti d'un conte fantastique. Mais croyez-moi, partager leur quotidien, c'est avancer sur un fil tendu au-dessus du vide, oscillant entre des instants de tension extrême et des éclats de rire désarmants. Vous n'avez encore qu'effleuré la surface de cette fresque déroutante. Croyez-moi, les moments de folie douce et d'absurdité pure y abondent bien plus que l'on oserait l'imaginer. HistoireYannick -Monsieur... Monsieur ! Monsieur ! Je me sens comme un naufragé échoué sur une île déserte, un endroit à la fois familier et étranger. Chaque matin, je me réveille dans un monde qui semble avoir perdu ses contours précis, comme si tout autour de moi était enveloppé dans un voile brumeux. Les visages que je croise, les objets que je touche, tout est à la fois réconfortant et déroutant, comme des fragments d’un rêve dont je ne parviens pas à saisir le sens. - Monsieur... Monsieur ! Je regarde autour de moi et tout semble étrangement connu, mais sans nom ni histoire. Une tasse de thé sur la table semble m’offrir des souvenirs que je ne peux pas revendiquer, une vieille photo accrochée au mur évoque des sourires et des étreintes que je ne peux pas vraiment reconnaître. Les mots échangés avec les autres résonnent comme des murmures lointains, des fragments d’une conversation dont je suis le spectateur silencieux. Ils parlent, mais je ne sais pas si ce qu’ils disent a du sens pour moi ou s’il s’agit de l’écho d’un passé que j’ai perdu. - Bon sang, Monsieur ! Chaque choix, aussi trivial soit-il, devient un obstacle difficile à franchir. Aller à gauche ou à droite ? Manger cette chose ou celle-là ? Tout cela semble chargé d’une importance que je ne peux pas comprendre. La liberté de décider se transforme en une série de labyrinthes où chaque couloir semble me mener plus loin de ce que je suis censé être. Le futur est un brouillard devant moi, un espace où je cherche désespérément à trouver une voie, une lumière, un signe. Je me promène dans cette vie qui s’étale devant moi, comme un film dont j’ai perdu le script. Le passé, avec ses couleurs vives et ses émotions palpables, semble se dérober chaque jour davantage, comme des souvenirs qui s’effacent au fil du temps. Il y a une mélancolie persistante, un désir profond de retrouver des fragments de ce que j’étais, des pièces d’un puzzle dont les bords se sont effrités. -Monsieur vous m'entendez ? ! Dans cette quête sans fin pour retrouver une identité qui m’échappe, je fais face à l’incertitude avec une sorte de résignation mélancolique. Je suis un explorateur dans un monde incertain, cherchant dans l’obscurité une étincelle de clarté, espérant qu’un jour, je pourrai enfin retrouver le chemin vers ce que j’étais, vers ce que je suis censé devenir. -Monsieur De Luca ! -Oui... Pardon, j'étais ailleurs Ces séances ne servent à rien, j'en ai bien l'impression docteur Martin. -Bonjour, Yannick. Comment vous sentez-vous aujourd'hui ? -Bonjour, docteur. C'est un peu confus, comme d'habitude. Je… je ne sais pas vraiment comment expliquer. Tout semble flou. -Je comprends. Pouvez-vous me dire un peu plus sur ce que vous ressentez quand vous dites que tout est flou ? -C'est comme si je vivais dans un rêve éveillé. Parfois, je me regarde dans le miroir et je ne reconnais pas vraiment la personne qui me regarde. Les gens autour de moi… je ne sais pas s'ils sont réels ou si c'est juste mon imagination. C'est troublant. -Cela doit être très déstabilisant. Est-ce que vous avez l’impression que ces moments de confusion se produisent plus souvent à certains moments de la journée ou dans certaines situations ? -Oui, surtout quand je suis fatigué ou stressé. Et parfois, ça arrive sans raison apparente. Comme si d'un coup, je perdais pied avec la réalité. Je me demande souvent si ce que je fais ou ce que je dis a du sens. -D'accord. Il est important de noter ces moments et de voir si vous pouvez identifier des déclencheurs. Mais pour l'instant, pourriez-vous me parler de ce que vous ressentez lorsque vous avez ces épisodes de confusion ? - Quand ça arrive, je me sens comme si j'étais à la fois là et ailleurs, comme si je regardais ma vie à travers une vitre. Je n'ai pas l'impression d'être vraiment connecté à ce qui se passe autour de moi. C'est comme si tout était à distance, irréel. -Cette sensation de détachement peut être très inquiétante. Il est possible que cela soit lié à votre trouble dissociatif. Ces épisodes peuvent être une façon pour votre esprit de se protéger de quelque chose de trop difficile à affronter. Avez-vous remarqué des moments où vous vous sentez plus en sécurité ou plus ancré dans la réalité ? -Parfois, quand je parle avec des amis proches ou quand je fais des activités que j’aime, je me sens un peu mieux, plus connecté. Mais c'est souvent temporaire. -C’est un bon point de départ. Nous pouvons travailler ensemble pour développer des stratégies qui vous aideront à vous ancrer davantage dans la réalité. Cela pourrait inclure des techniques de pleine conscience ou des exercices de grounding, par exemple. En parallèle, il serait utile de parler de ce qui pourrait déclencher ces épisodes pour mieux comprendre ce que votre esprit essaie de gérer. -Oui, je pense que ce serait utile. J'aimerais vraiment essayer de comprendre ce qui se passe et de trouver un moyen de me sentir plus stable. -C’est une excellente approche. Nous allons travailler sur cela ensemble, étape par étape. Je vous encourage à continuer à observer et à noter vos expériences. Cela nous aidera à mieux comprendre votre situation et à élaborer un plan de traitement plus adapté à vos besoins. En attendant, n'hésitez pas à me faire part de toute difficulté ou de tout changement que vous remarquez. -D'accord, je ferai de mon mieux pour suivre vos conseils. Merci, docteur. -Vous êtes sur la bonne voie, Yannick. Merci à vous de partager tout cela avec moi. Nous allons avancer dans cette démarche ensemble. À la prochaine séance. C'était l'une de mes premières séances avec mon psychologue, et à la fin, le flou demeurait. Je n'ai toujours pas retrouvé la mémoire, même si je dois avouer avoir appris à vivre avec mes hôtes, malgré moi. Ce que je peux vous révéler sur moi est assez bref, venant d'anciennes connaissances ou de documents... Selon des sources officielles, j'ai 341 ans. Je n'ai aucun antécédent judiciaire. En tant que vampire, j'ai mené une carrière militaire, atteignant le grade de capitaine. J'ai participé à la guerre des races. On dit que j'étais brillant en tant que militaire avant d'être accusé de désertion. Mais, hélas, je n'ai aucun souvenir de cet évênement Quand je dis que je n'ai aucun souvenir de mon passé, ce n'est pas tout à fait exact j'ai des souvenirs. Mais certains ne sont que des éclats de souvenirs, des flashs qui surgissent parfois, aussi fugaces qu'incompréhensibles. Etrangement, ces fragments ne me hantent pas. Ils ne portent pas en eux la marque de mauvais souvenirs. Mais tout cela, aussi éclatant soit-il, ne m'apporte aucune clé pour comprendre qui je suis vraiment. Ces morceaux de mon passé flottent autour de moi, comme des énigmes sans réponse, laissant mon identité dans un flou persistant. Et.... Ben Rha la ferme, De Luca ! Vous voulez ma photo ou quoi, bande de tocards ?! Vous avez un problème avec moi, c’est ça ? La porte était fermée, alors j'suis passé par derrière. Et ouais, sans mauvais jeu de mots, espèce de pervers ! Mais bordel, qu’est-ce que vous foutez chez moi, putain ?! Vous êtes vraiment des petits curieux, toujours à fourrer votre nez là où faut pas. Bon, ça va, vous avez gagné, suivez-moi, ramenez vos gros cul. Allez, asseyez-vous là, fermez-la, et écoutez bien ce que j’ai à dire ! Et les autres, (alter égo) vous la bouclez aussi, c’est clair ? C'est moi qui cause ici, et y’a que moi qui ouvre sa grande gueule, compris ?! Écoute bien, parce que l’histoire de Yannick De Luca, c’est un sacré foutoir. Ce gars-là est né le 4 avril 2021 à New York et est devenu un acteur américain qu’on va pas oublier de sitôt à cette époque. Pas juste parce qu’il a du talent à revendre, mais surtout parce qu’il a un parcours de vie bordélique à souhait. Le gamin a eu une enfance et une jeunesse où il a bouffé de l’art et des emmerdes, surtout à cause de ses galères avec la dope. Yannick est né dans une famille trempée jusqu’au cou dans le cinéma. Son père, Robert De Luca, était un réalisateur, acteur et producteur de films indé, et sa mère, Elsie, une actrice. Bref, Yannick a grandi entouré de caméras et de projecteurs. À cinq ans, il faisait déjà le guignol dans un des films de son vieux. Trop mignon, tu te dis ? Attends de voir la suite, parce que c’est pas aussi rose que ça en a l’air. Chez les De Luca, c’était pas Disneyland. Le daron, Robert, était un gros camé. Et qu’est-ce qu’il a fait ? Il a foutu son gamin dans le même délire, lui filant de la weed alors qu’il était tout jeune. Tu m’étonnes que Yannick ait traîné ce boulet toute sa vie. Adolescent, Yannick se baladait dans Greenwich Village, ce coin arty et bohème de New York. Ses parents ont fini par se barrer chacun de leur côté, et il a pris la direction de la Californie avec son père. L’école ? Yannick s’en battait les couilles, alors il a vite lâché l’affaire pour se lancer à fond dans le cinéma. Quelques années plus tard, il commence à décrocher des rôles dans plusieurs films. Un de ses rôles marquants ? Un jeune camé. Un rôle de composition, tu parles, vu qu’il était déjà accro à la came depuis qu’il était gamin. La jeunesse de Yannick, c’était une putain de galère avec ses problèmes de drogue. La dope et l’alcool, il en a sifflé comme pas possible. Le mec a fait plusieurs allers-retours en centre de désintox pendant son adolescence. Et bien sûr, tout le monde le jugeait, pensant qu’il supportait pas d’être dans l’ombre de son père. Mais personne savait vraiment que son vieux, ce foutu toxico, l’avait foutu sur la weed dès six ans. Plus tard, Yannick a dit un truc du genre : « Quand mon père et moi consommions de la drogue ensemble, c’était comme s’il essayait de me montrer qu’il m’aimait. » La grosse blague. L’histoire de Yannick, c’est un putain de témoignage de résilience et de détermination. Le gars a bataillé contre ses démons, et même si c’était loin d’être facile… Écoute bien, j’vais pas te la faire à l’envers. Ce que je viens de te dire, c’est que dalle par rapport à la merde dans laquelle Yannick s’est retrouvé. Le gars, à 19 piges, il perd sa daronne dans un putain d’accident de bagnole. La vieille était défoncée jusqu’au bout des ongles, a planté la caisse dans une autre bagnole, et BAM, deux personnes qui y passent : une mère de famille et sa gamine. Ça l’a complètement fracassé, même s’il était pas responsable, tu vois le genre. Les journaleux se sont jetés là-dessus comme des vautours, et Yannick était en vrac, carrément en miettes pour cette famille en deuil. Sa mère ? Une fantôme, jamais là pour lui. Ouais, ça lui faisait mal de la perdre, mais c’est pour l’autre famille que ça lui foutait les glandes. En douce, il a filé du fric à ces gens-là, se sentant comme un gros nul, incapable de faire quoi que ce soit. Il savait bien que ça ramènerait pas la mère et la gosse, mais bon, il avait que ça. Ce bordel, ça a été un putain de déclic pour lui. Le mec se battait contre ses démons et a trouvé plusieurs façons de leur foutre sur la gueule. Le sport, à fond les manettes. La bouffe, la méditation, les réunions de soutien. Il s’est mis dans tout ça pour essayer de virer ce poids énorme qui lui écrasait le bide. À 21 ans, il a tout plaqué, sa carrière d’acteur, tout ça. Il a pigé qu’il devait se reprendre en main, pas suivre les délires de gloire à deux balles de son vieux. Cette période-là, il voulait l’envoyer direct à la benne. Il a balancé aux médias : « Toute cette époque, c’était de la pure connerie. J’ai besoin de me retrouver, de faire la paix avec moi-même. » Depuis, plus jamais il a foutu les pieds sur un plateau. Le gars est devenu aussi discret qu’une ombre. Mais tu sais comment c’est, la vie, elle arrête jamais de te foutre des coups. À 22 ans, il s’engage dans l’armée. Pour lui, c’était le bon plan : discipline, physique, valeurs morales, tout le tintouin. Un bon moyen de tenir ses démons en laisse, qu’il disait. Il a passé quatre ans, de ses 22 à ses 26, dans l’armée de terre. Ses potes disaient que Yannick, c’était un bon gars. Mais bien sûr, y a toujours un hic. Yannick a replongé dans ses vieilles habitudes. Un jour de permission, mais pas n’importe lequel. En tenue militaire, il se pointe dans une église, mate la tronche sans vie de son vieux. Ce mec qu’il avait tant aimé que détesté, il était plus là. Ça faisait deux ans et demi qu’il l’avait pas vu, mais ça l’a percuté comme un putain de train. Libéré, mais coupable en même temps. Il a balancé quelques mots ce jour-là : « C’était un putain de cinéaste hors norme et terriblement optimiste. Ma belle-mère dit qu’ils ont été mariés joyeusement pendant juste 2000 ans. Rosemary, t’es une sainte, nos pensées et prières sont avec toi. » Le soir même, Yannick se fout une mine et replonge. Lui qui croyait en avoir fini avec tout ça. Il repart dans ses vieux travers et lâche l’armée. Soirées à gogo, drogues, alcool, tout le bordel, il balance tout en l’air. Juste le fait de retourner à son passé l’avait fait vriller. Rajoutez à ça, un énième décès ! Franchement, on dirait que la faucheuse le colle aux basques comme un vieux chewing-gum sous une semelle. À croire qu’il porte la poisse à tous ceux qui l’approchent. Cette fois, c’est son meilleur pote qui y passe, foudroyé par un putain de cancer. Un truc qui l’a dévoré de l’intérieur, chaque jour un peu plus. Yannick l’a vu se transformer sous ses yeux, perdre son énergie, son sourire, sa vie, quoi. Une vraie agonie. Et lui, comme d’hab, il pouvait rien faire. Rien. Juste regarder son pote se faire bouffer par la maladie. Alors, ouais, encore une fois, il s’est senti comme une grosse merde, impuissant, inutile, incapable de changer quoi que ce soit. Forcément, après ça, Yannick, il a plongé encore plus profond que jamais. Il a touché le fond, et pas qu’un peu, je te dis. L’alcool, la dope, les cuites à répétition, c’était son quotidien. Chaque réveil, c’était la même rengaine : il se retrouvait dans des apparts abandonnés, des squats à la con, ou carrément allongé sur un trottoir, la gueule dans le caniveau. Une vraie épave, le gars. Il avait plus de repères, plus de dignité, plus rien. Une putain de loque humaine. Et ça, ça lui collait à la peau, cette impression d’être une merde, de plus pouvoir remonter à la surface. Comme si le sort s’acharnait sur lui, comme si c’était gravé dans son ADN de tout foirer. Alors, bande de petits fouineurs, vous vous demandez ce qui s’est passé après, pas vrai ? Ouais, je vois bien vos sales gueules curieuses, toujours à vouloir tout savoir. Ben asseyez-vous bien, parce que l’histoire, elle est loin d'être finie. On dit souvent qu’il y a une putain de lumière au bout du tunnel, que même quand t’es dans la merde jusqu’au cou, y’a toujours un espoir, un truc qui te dit que ça va s’arranger. Mais je vais vous dire un truc, moi : quand tu touches le fond, tu crois que tu peux pas aller plus bas, hein ? Que t’as touché le bitume, que t’es au bout du rouleau. Sauf que non, mon pote. Des fois, tu peux encore creuser, toujours plus profond. Peut-être même que tu trouves du pétrole au passage… Ou alors, tu trouves que de la merde, ça dépend de ta chance. Et Yannick, ce pauvre con, putain, s’il y en a bien un qui est capable de creuser encore plus profond, c’est lui. Ce mec, il a pas de limites, il est descendu aussi bas que possible, il a tapé le fond du fond, et il a quand même trouvé le moyen de foutre un coup de pelle pour creuser encore. Toujours à la recherche de ses démons, de ses emmerdes, comme s’il aimait ça, comme s’il savait pas vivre autrement. À croire que ce connard, il se complaisait dans la douleur, dans les galères, comme si ça lui donnait une putain de raison d’exister. Vous voyez l’genre ? Yannick, il était capable de descendre dans des profondeurs que personne oserait même imaginer, juste pour voir ce qu’il y avait en bas. Alors, ouais, préparez-vous, parce que cette histoire, elle est loin d’être finie. Bref, y a eu Harvey, un mec pas comme les autres. Un putain de fêtard, ouais, mais avec la tête bien vissée sur les épaules, un vrai paradoxe, ce gars-là. T'imagines le tableau : un mec qui sait aussi bien faire la fête qu'organiser une putain d'opération militaire. Un genre de génie du chaos, capable de picoler comme un trou et de te pondre un plan béton pour t’en sortir. Ce type, il a vu Yannick en pleine dégringolade, ce pauvre gosse paumé qui avait perdu le nord, qui se noyait dans l’alcool et la dope, qui se réveillait dans des apparts abandonnés ou sur des trottoirs, une vraie loque. Et là, Harvey, il l’a chopé par la peau du cul, l’a secoué comme un prunier, l’a réveillé à coups de pied au cul. Il lui a foutu des objectifs dans la tronche, des vrais trucs, pas des conneries de boy-scout genre “trouve-toi un taf et sois sage”. Non, Harvey, il l’a pris sous son aile, il lui a appris à se battre, à utiliser sa rage, à transformer ses faiblesses en putain de force. Et surtout, il l’a façonné, il l’a modelé en une putain de créature de la nuit, un vrai vampire prêt à tout casser, à foutre le bordel quand il le fallait, mais aussi à se maîtriser quand la situation l’exigeait. Yannick, il est devenu une version de lui-même qu’il n’aurait jamais imaginée, un type capable de déchirer n’importe quel ennemi, de survivre dans n’importe quelle condition, un vrai dur à cuire. Et franchement, heureusement qu’il a croisé Harvey, ce vieux fou. Parce que je te jure, si ce taré de Harvey n’avait pas débarqué dans sa vie, Yannick, il aurait fini dans un caniveau, ou pire, six pieds sous terre. Ce mec, il a été la lumière au bout du tunnel pour Yannick, le mec qui lui a montré qu’il pouvait être bien plus qu’un déchet humain, qu’il pouvait devenir quelqu’un, même avec le sang d’un vampire qui lui coulait dans les veines. Harvey, il lui a redonné une raison de se battre, de se relever, de pas crever comme un chien dans l’indifférence générale. Et rien que pour ça, faut bien lui reconnaître qu’il a sauvé la vie de Yannick. Harvey, malgré ses allures de mec normal, c’était en fait un TRES vieux vampire, genre vraiment ancien, un de ceux qui traînent leurs guêtres depuis des siècles. Il lui a tout appris sur le milieu, sur leur putain de nature de suceurs de sang. Une sorte de mentor, toujours là, à jouer les guides spirituels quand Yannick avait besoin d’un coup de main. Ensemble, ils ont vadrouillé, vécu des moments que personne croirait. Mais bon, comme tous les vampires, fallait se cacher, se plier aux lois des humains… et évidemment, ça collait pas toujours, hein. Harvey et Yannick, tu vois, ces deux-là, ils avaient déjà un putain de point commun avant même de se croiser : ils avaient tous les deux été militaires. Des vrais, pas des chochottes . Alors, ça crée des liens, ça te file un langage commun, un truc de fraternité. Alors, quand la guerre des races a éclaté, ils se sont lancés là-dedans comme des morts de faim. Bon, faut pas croire, Yannick, il a eu une once d’hésitation, un doute, mais il a fini par suivre son mentor. Cinq putains d’années de guerre entre les humains et les vampires, ça a été le bordel, je vous raconte pas. À la fin, les vampires ont eu ce qu’ils voulaient, leurs foutus droits, et pouvaient enfin remodeler ce monde à leur image. Super nouvelle pour Yannick, qui s’était fait les crocs, mais maintenant, il savait plus trop quoi foutre de sa vie. Le gamin avait baroudé avec Harvey, ils vécus des années ensemble, et ils s’étaient frottés à de chose que l’humanité avait à offrir. Ils avaient fait la guerre ensemble, hein, pas des petites escarmouches de merde, non, des vraies batailles où ça saignait de partout. Yannick avait appris à défoncer des portes et des crânes avec Harvey à ses côtés, toujours là pour le guider, un peu comme un père de substitution, tu vois. Mais voilà, ça pouvait pas durer éternellement. Peut-être qu’il était temps pour Yannick de s’en sortir tout seul, de se construire sans avoir Harvey toujours dans ses pattes. Parce qu’il faut se le dire, Harvey, il commençait à lui sortir par les trous de nez. La guerre des races, là, ça avait monté à la tête de ce vieux con de Harvey. Il s’était pris pour Napoléon, avec des putains de délires de grandeur complètement flippants. Le gars voulait refaçonner le monde, comme si c’était une putain de boule de pâte à modeler. Il parlait de régner, de dominer, de transformer ce foutu monde à l’image des vampires, comme si c’était des dieux sur terre ou je sais pas quoi. Yannick, lui, il regardait ça d’un œil de plus en plus méfiant. Il voyait bien que ces vampires, là, ces nouveaux rois de la nuit, ils se mettaient à oublier qu’ils avaient été humains un jour, qu’ils avaient eu un cœur qui battait avant de se prendre pour des immortels intouchables. Ça le foutait en rogne, vous voyez, de voir ces types se la raconter comme ça. Et forcément, ça a foutu un froid entre eux. Trop de tensions, trop de désaccords, trop de merde accumulée. Ils se sont engueulés, une vraie grosse embrouille. Yannick, il pouvait plus supporter les délires d’Harvey, ce vieux vampire qui se croyait sorti de la cuisse de Jupiter. Harvey, de son côté, il pigeait pas pourquoi Yannick voulait pas se la couler douce dans ce nouveau monde qu’ils avaient gagné à coups de canines. Au final, ça a pété. Harvey a décidé de se tirer, de laisser Yannick se démerder tout seul. Et voilà, basta. Terminé les leçons de vie et les conseils à deux balles. Yannick, il se retrouvait là, seul comme un con, à devoir se débrouiller dans ce monde qu’il reconnaissait à peine. C’était le début d’une nouvelle vie, sans mentor pour lui tenir la main. Et quelque part, c’était peut-être mieux comme ça. Yannick, lui, il a décidé de rester dans l’armée, mais pas comme avant. Il est entré dans les forces d’investigation, plus précisément les services secrets. Pas le genre de truc que tu décroches en claquant des doigts, tu vois. Il a bossé dur, a sué sang et eau pour se faire une place. Il a jamais voulu aller plus loin que capitaine, ça lui suffisait bien. Et ce qu’il a fait toutes ces années-là ? Ah, mes petits, ça, c’est top secret. Mais croyez-moi, il a fini par s’épanouir dans ce milieu. Comme quoi, même après avoir bouffé la poussière, tu peux toujours te relever… si t’as les couilles de le faire. il s'est reconstruit une nouvelle famille dans ce foutu milieu militaire. Il a tissé des liens serrés avec Franck, un autre militaire, qui est devenu son meilleur pote. Franck, c'était le genre de mec qui te filait le sourire juste en le voyant, toujours en train de déconner, mais dès qu'il s'agissait de bosser, il se mettait sérieusement au boulot. Un vrai paradoxe, ce gars-là. Toujours là pour rigoler, mais capable de passer au mode sérieux quand il le fallait. Puis, il y avait aussi Pablo, un autre militaire. Lui, c'était le gars posé, toujours de bon conseil. Avec Pablo, c’était différent. Yannick le trouvait plutôt à son goût, pour dire les choses comme elles sont. Et franchement, il était bien plus qu'intéressé. Le mec était carrément en love sur lui, je n’ai jamais compris pourquoi il ne s’était jamais déclaré. Peut-être que le fait qu'ils soient collègues de travail a joué un rôle là-dedans, ou alors il avait peur de foutre en l'air leur amitié en exprimant ses sentiments. En tout cas, c’était un sacré trio, une amitié bien soudeuse, aussi dur que du fer, comme on dit. Mais... Eh ouais, avec Yannick, y a toujours un putain de mais ! Faut s’y faire, mes petits loups, c’est comme ça ! Alors voilà, un jour, lors d'une mission à l'étranger, tout a merdé dans le genre de bordel que même un film d’action ne pourrait pas décrire. Yannick, avec ses deux potes aussi débiles que lui, s’est retrouvé dans un piège tellement bien foutu qu’il aurait fallu être un génie pour s’en sortir. Il se souvient encore des balles qui sifflaient, des hurlements étouffés, et de ses deux amis qui se faisaient éclater comme des sacs de pommes de terre. Puis, bim, le néant. L’obscurité totale, le silence qui fait mal. Deux mois plus tard, il se réveille comme un putain de zombie, en découvrant qu’il est enfermé dans une cellule de sa propre caserne. Pas si surprenant que ça, en fait. À ce moment-là, une autre partie de lui a décidé de se montrer, comme un mauvais tour de magie. Nous ses alter ego, ces facettes qu’il cachait, avaient pris le relais pour gérer le merdier et protéger ce qui restait de lui. Sans nous, il serait resté là, perdu comme une âme en peine. Les supérieurs de Yannick, complètement paumés et enragés, l’ont accusé de désertion. Ils lui balançaient des questions comme des grenades, essayant de comprendre ce qu'il avait foutu pendant ces mois de silence. Ils se demandaient même s'il n'était pas un putain de traître, étant le seul survivant de cette mission foireuse. Leur confusion était telle qu’ils cherchaient à savoir pourquoi il était revenu à Dornia et pourquoi il avait changé de manière aussi radicale. Pour eux, Yannick n’était plus qu’un étron perdu. Ils ont eu la mauvaise idée de croiser ses autres personnalités, sans comprendre le bordel derrière cette transformation. Heureusement, des spécialistes, ces gars qui aiment mettre des étiquettes sur tout, ont finalement mis un nom sur ce qu'il vivait : trouble dissociatif de l’identité. Un diagnostic qui a foutu Yannick en l’air. Les experts ont examiné les causes possibles : traumatismes précoces, négligence, stress extrême, mécanisme de défense, vulnérabilité psychologique… Peut-être un peu de tout ça, vu la vie de merde qu’il a eue. Son existence était une série de tempêtes émotionnelles, chacune laissant une marque indélébile sur son âme déjà bien cabossée. Il est resté un bon mois à se faire observer comme un putain de poisson dans un aquarium, scruté sous toutes les coutures. On l’a vite jugé incapable de foutre quoi que ce soit pour son pays. En gros, ils l’ont déclaré obsolète, un putain de déchet. Et là, encore une fois, il a eu ce sentiment de toucher le fond, comme s’il devait tout recommencer à zéro. La vie, c’est vraiment une putain de merde ! Faut bien avouer un truc à ce foutu Yannick : le gars a toujours eu un talent pour rebondir. Comme un putain de ballon de basket, il tombe mais il remonte toujours, même si parfois il s’y prend un peu tard. Il a ce truc en lui, une sorte de saloperie de résilience, tu vois. Je suis prêt à parier ma dernière bouteille de gnôle que s’il y avait une apocalypse demain, les seuls qui survivraient, ce seraient les cafards et Yannick de Luca. Ouais, c’est pas une blague ! Ce mec-là, il pourrait s’accrocher à un rocher glissant en pleine tempête et trouverait quand même le moyen de s’en sortir avec un sourire de merde sur la tronche. Et il a pas fait que se sortir du bourbier, non, il a transformé sa passion en gagne-pain. C’est un peu son super pouvoir, ça. Ça a commencé avec Carl, tu sais, ce vieux pompier avec sa tronche cabossée et son œil de verre. Ils se sont croisés par hasard, et de fil en aiguille, c’est devenu une bromance, un partenariat. Ils ont monté ensemble un putain de club de boxe, taillé à l’image de Yannick : brut, sans concession, avec une sacrée gueule. Là-bas, les types qui taffent, c’est pas des enfants de chœur. C’est des mecs qui ont touché le fond de la bouteille, qui ont dormi sous les ponts, ou qui se battent avec leurs propres démons, que ce soit des conneries de jeunesse qui les ont foutus de côté. Yannick, lui, il veut leur offrir une seconde chance, mais attention, c’est pas le pays des Bisounours ici. Y’a des règles, des conditions à respecter. T’arrives pas avec tes sales habitudes sans en payer le prix. Lui-même, il en a eu des chances, des mains tendues quand il était au bout du rouleau. Il en remercie ceux qui l’ont aidé, même s’il a flingué une partie de ses souvenirs. Maintenant, c’est à lui de tendre la main, de renvoyer l’ascenseur à ceux qui sont assez fous pour croire qu’ils peuvent encore se relever, même après avoir bouffé la poussière. J'crois que j'ai fait le tour, mes petits cons. *se sort une clope et la coince entre les chicots* Bon, ça vous branche qu’on se matte des pornos, là ? *sort un disque dur de sous le canap' et le brandit avec un sourire débile collé à la tronche* Ah merde, j'avais zappé que cet enfoiré de Cédric a gribouillé des bites dessus... Derrière l'ordinateur Je suis Lili, la joueuse de Jun. Rien de nouveau à ajouter depuis la dernière fois, si ce n'est le plaisir de créer un nouveau personnage.Recensements J'ai écrit trop de choses pour tout inclure ici, donc je les publierai dans mon prochain message.
| Yannick De Luca Race : Vampire
Age : 341 ans
Statut : Civil
Métier : Gérant d'un club de boxe française, anglaise et thaïlandaise
Créateur : Harvey Custer
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Re bienvenue à toi ! Ce nouveau personnage promet dois-je le dire ? J'adoooore les divers caractères ! surtout Ben J'ai hâte de lire la suite et d'en apprendre plus sur ce qui est arrivé à ce petit loup | Whisper Gif : Age : 10 000 ans
Métier : Chieur
Âme & Légende : [url=lien vers ton fiche]Ma fiche[/url] & [url=lien vers tes relations]mes liens[/url]
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Bon courage pour continuer ta fiche! Quelle magnifique arc-en-ciel de personnalités On voit les profils si différents et vraiment envie de connaître l'histoire d'apparition de chacun J'imagine un jour un beau conciliabule entre eux dans la petite tête de Yannick, ça serait un échange épique! | Gildarts Bobby Moriarty Race : Vampire
Age : 5 348 ans
Statut : Franc-Maçon
Métier : Architecte
Créateur : Dor Ni Ahongus
Progéniture(s) : Duncan Kennedy (PJ), Medjas, Tendaji, Harald, Cimba, Alvaro et Siegfried (PNJs)
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Je pense que tout est en ordre. Espérons que ça fonctionne ! *croise les doigts* Fiche finie ! --> Recensements- click sur moi:
Bottin des avatars - Code:
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<b>Jujutsu Kaisen</b> // Geto Suguru // @"Yanncik De Luca" Situation maîtres/esclaves - Code:
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Ne souhaite pas d'esclave @"Yannick de Luca" Comptes multiplesAîné : #CC0033 / Armée : #666600 / Civil : #8259BD / Esclave : #C1BCAF - Code:
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[color=#8259BD][b]Jun Voss :[/b][/color] [color=#8259BD]Yannick de Luca[/color] Famille/foyerLister ici lien famille, maître/esclave, si compatible utérus/conversion adn/incompatible pour la reproduction (préciser pour les humains/hybrides ne sait-on jamais / Pour rappel, vous pouvez n'avoir que la moitié de vos personnages compatibles aux utérus) - Code:
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Compatibilité ADN/Compatibilité utérus/Compatibilité totale/Incompatibilité (ne garder que la mention choisie) @"pseudo" - Code:
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Les [nom de famille] - @"pseudo" - @"pseudo" et @"pseudo" (si couple) <blockquote>=>@"pseudo"</blockquote> (si enfant d'un couple pnj ou pj) Progéniture - Code:
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Si créateur <b>@"Harvey Custer" :</b> [list][*]@"Yannick De Luca" [/list]
Métier (pour les vampires) - Code:
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Gérant d'un club de boxe française, anglaise et thaïlandaise - @"Yannick De Luca" Pouvoir (pour les vampires) [code]Aucune utilisation particulière - @"Yannick De Lucas"
| Yannick De Luca Race : Vampire
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Statut : Civil
Métier : Gérant d'un club de boxe française, anglaise et thaïlandaise
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Félicitations ! Pffff... Non mais voilà, moi après je suis obligée de te valider ! Chacune des facettes de ce petit bout est alléchante et réclame d'être cueillie, la tristesse qui se dégage de Yannick me fend le coeur. Je te jetterais bien un ou deux célibataires dessus mais je n'en ai plus sous la main, ils sont tous capturés ou en passe de l'être Je vais être obligée aussi de faire Alain à ce rythme, ce sera ta faute et voilà tout ! C'est parfait pour moi, tu peux aller t'amuser (et je te réserve un rp direct, là, comme ça, par'que chuis un guedin). Avant de te lancer- Tu dois remplir ton profil au maximum (avec des parties obligatoires). - Faire une demande de maître ou d'esclave (ou pas si ton perso n'est pas intéressé) ici ou là. - Faire une demande de RP ou répondre à une demande ici. - Créer ton journal de bord là. - Nous rejoindre sur Discord pour qu'on fasse connaissance par là ! Hâte de te voir jouer ! | Whisper Gif : Age : 10 000 ans
Métier : Chieur
Âme & Légende : [url=lien vers ton fiche]Ma fiche[/url] & [url=lien vers tes relations]mes liens[/url]
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