Olympe Louis De Bourbon [Terminée] 1zey
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Olympe Louis De Bourbon [Terminée]
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Olympe Bourbon Romanov

Olympe Louis De Bourbon

Tous ces hommes qui devaient nous donner la liberté l'ont assassinée
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Surnom


Seul ses vrais amis peuvent se permettre cette familiarité

Origine


France

Race


Vampire

Âge


424 ans ( 32 ans )

Naissance


Né le 14 juillet 1936

Groupe


Civil

Statut


Résistance

Métier


Pianiste

Sexualité


Hétérosexuel, buté mais s’il serait forcé de choisir, tout sauf le rôle de la « femme » qu’il dit xD

Avatar


Jinguji Ren d’Uta No Prince Sama

Apparence


Signes Particuliers:  Souvent avec une canne par esthétisme et soucis de pieds creux.

Olympe porte bien son prénom, il est un vrai mont ! Il mesure 2 m 03. Grand mais pas non plus à écraser d’une large silhouette. Au contraire, elle va avec l’idée d’une personne raffinée. Une silhouette élancée avec un poids de 90 kilos. Tout en finesse et en couleur aussi. A commencer par sa chevelure, descendant un peu en-dessous des épaules et d’un blond vénitien lumineux. Il en prend grand soin, y trouvant de la douceur en y passant ses doigts, les gardant lisses le plus possibles, et à varier les coiffures à rechercher toujours une certaine originalité. Ses yeux sont bleus comme un ciel d’été en pleine canicule. Le visage est allongé, le menton fin et un peu pointu, les joues un peu émaciées mais lui apportant un air  fier naturel avec ses sourcils bien dessinés et son nez concave. Ses lèvres sont fines et étirées, d’un rose légèrement foncé. Un ensemble allant si bien avec le charme dont il fait preuve. Il dégage une beauté lumineuse, mais en réalité, impossible de la croquer, il faut juste regarder.

Il y a aussi ce qui est caché sous les vêtements, révélant au grand jour plus clairement la silhouette fine, avec une musculature légèrement présente, dû à l’équitation. Les traits des muscles se dessinant sans prétention sous la peau mais à ne pas donner de réel volume autrement. Les épaules sont droites, la clavicule ressortant un peu plus n’étant pas en réalité bien remplumé. Les hanches sont discrètes, un bassin peu large et des fesses arrondies modérément par les muscles travaillés là aussi par l’équitation. Ses jambes sont longues, et il a les pieds bien creux, rendant toujours douloureuse la position debout prolongée ou à piétiner et nécessitant des chaussures de qualité, bien confortables pour ne pas en souffrir. Il a une peau d’un rosé respirant la bonne santé, peu pâle. Il a ci et là quelques grains de beauté dont un plus foncé juste à droite du nombril. Il est un homme, et même si poils blonds roux ne se voient pas à des kilomètres, ils sont présents, légèrement sur les jambes et les bras, un peu au milieu du torse, et un peu plus généreux au niveau du pubis.

Il n’est pas le stéréotype de l’homme musclé mais cela ne l’a pas empêché d’avoir ses conquêtes en bon coureur de jupons. Il est beau dans son genre, et son charme s’y ajoute, dans son visage mais aussi dans son style vestimentaire. Il allie élégance, séduction portant souvent des costumes avec un manteau par dessus rappelant tant la noblesse. Il a une canne par esthétisme, pour le personnage en public, et qui aide un tant soit peu à soulager l’appui sur ses pieds quand il est amené à rester longtemps debout et à peu bouger. Il n’hésite pas à mettre des couleurs, un costumes à la veste rouge par exemple. Il joue clairement sur le côté prince lors de ses apparitions mondaines, et parfois il ressort la chevalière aux armoiries des Bourbons. En privé, tranquille chez lui, il adopte plus un côté confort et simple, mais gardant une certaine élégance malgré tout. Pour dormir, il opte pour une large chemise confortable, juste fermée d’un bouton, sans rien en-dessous ou un boxer si jamais il n’est pas tout seul à la maison.

Personnalité


Deux facettes, depuis si longtemps, même de quand il était humain. Voilà ce qu’est Olympe. Il y a le lui pour le public, l’irréprochable qui se fond dans ce costume que veut tailler pour lui la société, ou encore ses parents il fut un temps. Et il y a le juste lui, qui ne trouve pas sa place dans cette société, qui veut la changer et qui a des convictions, des valeurs engagées.

Le Bourbon, qui affiche clairement ses origines si nobles, des manières de prince, délicat et assuré à la fois. Il sait attirer les regards, une voix à l’accent français prononcée et chaude. Il charme et il séduit naturellement, plaire semble si important pour lui. Comment pourrait-il en être autrement quand on a sa lignée et une image à tenir aussi en tant que pianiste de renommée ? Avenant, il dégage quelque chose de solaire. Comme son ancêtre. Un astre qui veut être le centre de ce petit monde qui l’entoure. Il est bavard, habile de ses mots, et à savoir éviter d’apporter des réponses précises, à détourner subtilement l’attention quand certains sujets sont abordés, et qu’il sait qu’au fond de lui, il pourrait finir par avoir des difficultés à ne pas s’emporter. Il n’hésite pas à mentir quand il le faut, un mensonge peut tant sauver des vies, après tout, mais il a conscience qu’il faut que cela reste avec modération. Quelques pointes de taquineries, il semblerait que l’humour soit aussi une arme parfaite, avec doigté, ou un peu moins pour un côté bien plus familier quand il s’agit de personnes plus proches, des amis en face. On pourrait le penser superficiel, il n’en est rien, il a de la culture et un amour profond de la musique qu’il n’a nullement de cacher au moins en public. Il aime les débats, l’air de rien un moment pour se faire une opinion de potentiels alliés, à contacter plus tard. Il peut avec tout cela paraître bien hautain, malgré ses sourires et cette ouverture aux autres, et il est hors de question de le ridiculiser. Il a une fierté, forcément, à défendre, on ne tâche pas son image impunément. Il peut se montrer bien cassant pour cela, et a une fâcheuse tendance à s’agacer assez vite et à tourner les talons quand la situation ne semble pas lui convenir. Tout comme il tourne vite les talons quand son charme se retourne contre lui et que certains, souvent, finissent par penser qu’il serait intéressé pour faire plus amples connaissances en privé, ce qui n’est en fait, absolument pas le cas.

Et il y a Olympe. Qui regrette tant les femmes, un hétérosexuel qui refuse de changer pour cette société d’hommes. Qui regrette l’humanité débordante de liberté, d’opinions, de diversité. Qui regrette les Républiques, complexes et si belles dans une égalité si difficile à obtenir et à choyer. Quand il a décidé de défendre des valeurs, d’agir, il ne le fait jamais à moitié. Il est extrême même. Après tout, les vampires l’ont été contre les humains, pourquoi ne pas l’être pour leur faire une bonne leçon ? Pour lui, tous les moyens sont justifiés pour arriver à son but. Il est inutile de se mentir sur ça, il est impossible de faire bouger les choses sans faire de la casse, ou de la cendre. Et le plus vite sera toujours le mieux pour les opprimés et victimes de l’Histoire. Il aime certes son confort mais il souhaite être proche de la nature, un écologiste à avoir une maison respectant son environnement, la moins polluante possible. Il a l’âme d’un révolutionnaire, et il ne demande qu’à se retrouver à nouveau derrière des barricades, cette fois, un pavé n’aurait pas raison de lui. Il vit ses passions pleinement. La musique et le piano, un talent pour y déverser une âme quand ses doigts courent sur le clavier. Un grand fan de Mickaël Jackson, pour l'artiste en tout cas et ses chansons engagées. L’équitation, à faire des longues balades en campagne, il n’hésite pas à mettre de côté son costume et de se salir les mains en travaillant la terre, couper du bois, ou encore la cuisine, un bon français régalant les papilles. Plus humble ? Peut-être bien que oui. Et enfin, les bombes, les explosions, des petites œuvres aussi porteuses d’un message percutant.

On pourrait penser qu’il aurait de quoi se perdre par moment, mais non, il sait qui il est réellement, il sait les risques et les accepte pleinement, une seule chose compte, se rendre utile à la Résistance et au genre humain. Bien sûr qu’il ne prend pas d’esclave, préférant embaucher des vampires pour le ménage et l’entretien de sa demeure. Et qu’il a une vie plus de solitaire derrière les apparences si chaleureuses et attractives.

Histoire


Vous savez, une histoire, ça commence toujours par une naissance, une enfance, certaines sont heureuses, d’autres avec leurs lots d’épreuves. Cette histoire commence dans une belle demeure française, dans la ville de Versailles en 1936. Le premier enfant de Monsieur De Bourbon et sa délicate épouse issue de la noblesse grecque. Des parents qui tenaient énormément à leur arbre généalogique, à rêver du retour de la noblesse en force et même de monarchie. Alors leur fils, leur aîné, leur héritier, il devait bien veiller à lui trouver un nom à la hauteur de leurs espérances. Olympe (un prénom original et à le démarquer) Louis (comme ses ancêtres rois) De Bourbon. Leur petit rayon de soleil, avec son blond vénitien et ses grands sourires. Olympe ne manqua de rien, matériellement parlant mais plus il grandissait, plus les parents veillaient à garder une distance digne, là où lui ne voulait pas de protocole, pas de manière, pour leur sauter dans les bras pour un câlin. Il ne pouvait faire ça qu’avec ses sœurs. Même s’il y eut la seconde guerre mondiale durant son enfance, sa famille ne fut pas la plus à plaindre, son père réussissant à jouer de ses contacts pour éviter d’aller combattre au front, un planqué, et même un collabo pendant l’occupation allemande. Non vraiment, rien à redire, il vivait dans un luxe, il avait un précepteur à la maison pour une éducation parfaite, en connaissances mais en terme de comportement aussi, cultiver les valeurs et les bonnes manières de cette noblesse passée qui manquait à ses parents.

La crise d’adolescence, ça existait même à son époque et pour ses parents, il en eut une belle. Oh pas parce qu’il se serait transformé en quelqu’un de vulgaire. Loin de là, une attitude toujours impeccable mais clairement un désaccord franc sur plusieurs points, et une tête de mule. On voulait le voir faire du droit, être un notaire, ou même diriger une entreprise, ou réussir dans les sciences, quelque chose dit de valorisant et utile. Et bien non, clairement, l’Olympe ne voulait passer sa vie à faire des calculs, il aimait bien par contre les sciences, mais plus pour une certaine fascination pour la pyrotechnique, surtout les explosifs plus que les feux d’artifice, l’ayant découvert en discutant avec un cousin qui était devenu artificier dans l’armée. Une passion mais pas un avenir concret pour lui, et clairement, ses parents préféreraient le retenir à jamais enchaîné chez eux que de le laisser entrer dans l’armée. Non, il voulait faire ce qu’il aimait, ce qui avait un sens pour lui. De l’équitation ? Pour être au contact de la nature ? Ses parents auraient pu l’accepter avec le temps, mais non, il décida de perfectionner un don qu’il avait, le piano. Il entra au conservatoire de Paris, sous une franche réprobation mais qui fut calmée quand il se plia à leur choix d’une fiancée qu’il veillerait à côtoyer honorablement vu que cette dernière se trouvait également sur la Capitale.

Les années suivantes l’amenèrent à prendre de la distance, se construire lui-même, à voyager une fois devenu pianiste, se faisant une renommée, rejoignant divers grands orchestres et finissant par donner même des représentations en solo. Il avait laissé sa fiancée derrière lui, et ne manqua pas de profiter de la vie, il était un véritable coureur de jupons. Ah les femmes. Doux parfums, passion dévorante, les femmes… Un Don Juan qui profitait de cette liberté retrouvée pour ses aventures. Mais il n’y avait pas que cela. Olympe vivait par la musique mais s’engageait aussi dans d’autres domaines, rencontrant du monde, développant loin du foyer étouffant familial enfin ses valeurs et propres pensées. République, liberté et égalité, un fervent défenseur qui en ferait se retourner ses ancêtres dans leurs tombes, et un écologiste. Il se faisait attendre, et au cap de ses trente ans, il revint définitivement en France. Ça grondait du côté de la famille De Bourbon et de sa fiancée, il allait falloir penser au mariage. Il avait promis. Mais à faire traîner encore les choses, voulant d’abord assurer son train de vie, devenant professeur au Conservatoire de Paris.

Deux ans passèrent et enfin, le mariage était prévu pour septembre, et pas n’importe quel septembre, celui de 1968. Ah 1968, une année marquante en France, Olympe avait pu déjà sentir les élans de contestations, surtout ceux de la jeunesse, côtoyant le milieu étudiant de l’époque, et évidemment qu’il les approuva, à même se montrer actif. Réunions en université, il était présent, à prendre même la parole, ce qui ne manqua d’arriver aux oreilles de sa famille, mais il ignora leurs appels à ne pas s’en mêler, de quitter Paris pour venir rester au calme d’une de leur propriétés en campagne au sud  de la France. Il refusa. Il préféra descendre dans la rue, battre le pavé, clamer des revendications tenant à coeur derrière les barricades. Un Bourbon derrière les barricades, une petite révolution. Mai 1968 fit couler de l’encre, fit s’élever des chansons, fit ralentir la France, un soulèvement. Un soir, la nuit tombée, les forces de l’Ordre finissant par repousser tardivement une position des manifestants, Olympe se retrouva blessé, recevant un pavé brutalement sur la tête. Il arriva à s’isoler dans une ruelle, s’effondrant. Il ne le savait pas, les dégâts du choc violent, internes, une hémorragie qui aurait été mortelle s’il n’y avait pas eu Jules. Il l’avait trouvé lui, ramenait dans l’appartement en sous-sol qu’il avait à Paris. Ils se connaissaient. Un barman travaillant de nuit dans un bar non loin du Conservatoire. Il aurait pu juste le soigner de son sang mais Jules fit le choix de le transformer.

Jules voulait de la compagnie, dans cette vie en décalage par rapport aux humains, à se cacher, ne pas pouvoir rester tout le temps au même endroit. Pourquoi donc Olympe ? Parce qu’il avait des valeurs pouvant l’aider à faire face à sa nouvelle condition, et parce qu’il en avait eu l’occasion sans avoir à trop culpabiliser de le mener aux portes de la mort. Olympe se réveilla avec une soif sans nom, une colère animale et il fallut que Jules fasse appel à l’influence de créateur pour le cantonner dans ce sous-sol. Une année à rester là, le temps de se contrôler, Jules avait des contacts avec d’autres vampires, dont un travaillant dans un hôpital, permettant de fournir en poches de sang. Ce fut une période difficile, il ne fallait pas le cacher, découvrir l’existence de ces êtres mythiques, en être un, la soif, les pertes de contrôle, être cloîtré, et enfin à pouvoir sortir. Seulement, ça faisait un an que l’héritier Bourbon était disparu, et les parents ne manquaient pas d’y mettre les moyens, financiers et en usant de leurs contacts pour le rechercher. Que ce soit par la police ou des enquêteurs privés. Alors s’il réapparaissait… il ne pourrait jamais justifier de ne plus pouvoir sortir de jour, de reprendre une vie normale. Non, le mieux était de quitter le plus discrètement possible la France. Tout abandonner derrière lui.

Un long périple par train, plus facile de passer inaperçu, pour traverser l’Europe, direction la Russie où ils restèrent plusieurs années. Vivre de nuit, ne pas s’attacher de trop pour éviter les questions, et faire si attention lors de ses aventures avec les femmes de ne pas les mordre. Jeune vampire, il était vite tenaillé par l’envie de sang lors de ces moments-là. Le piano faisait toujours parti de sa vie, à travailler dans les mêmes bars que Jules, une amitié franche établie entre eux. Jules à servir en boisson, lui à dorloter les clients de sa musique. Combien de fois avait-il eu droit à la question « Pourquoi un pianiste comme toi reste que dans un bar ? Tu devrais être dans un orchestre » Ce n’était plus possible, un regret peut-être mais il avait finit par s’habituer à cette vie dans l’ombre. A observer l’humanité s’élever, puis chuter au gré de son Histoire. Il échangeait souvent son avis sur cette évolution mondiale avec Jules ou même au comptoir avec un verre en compagnie de clients ouverts à ce genre de discussion. Il regrettait de voir certaines valeurs républicaines se perdre… Et sa famille, et bien Olympe avait écrit depuis l’étranger, un signe de vie, restant toujours vague envers ses parents mais il était en vie et à ne pas les laisser se tourmenter à le chercher encore et encore. Ils lui pardonnèrent avec le temps, ils le supplièrent de revenir. Il ne passa que quelques jours en France suite à l’annonce de leur mort, visitant le caveau familial de nuit, et utilisant d’un intermédiaire légal pour les papiers de notaires, récupérant son héritage.

2056, Olympe et Jules se trouvaient à cette période au Caire, toujours aussi soudés, quand la guerre éclata. Ça commença aux Etats-Unis, à Dornia plus exactement, un nom qui vint vite aux oreilles des vampires, et tout s’embrasa. Même ici. Ce ne fut pas beau à voir, absolument pas. Olympe ressentit une horreur sans nom pour ses congénères, et à plusieurs fois, il essaya de s’interposer et de sauver plusieurs humains. Mais il fut impuissant, mal vu, injurié et même blessé par les autres vampires, le repoussant. Il avait beau hurlé les valeurs essentielles, les traiter d’animaux… Rien put faire. Et le pire dans tout cela, ce fut qu’il avait attiré l’attention de militaires humains, qui le suivirent rejoignant la maison dans laquelle lui et Jules se cachaient. Olympe avait décidé de quitter quelques jours le Caire, s’isoler et se faire un peu oublié, rejoignant un village déserté. Loin de la guerre et il la ressentit, alors qu’il dormait en plein jour sur un canapé, la mort de Jules. Des soldats avaient mis le feu à la maison au Caire de jour, aucune issue de sortie. Oui, cette guerre avait été une véritable horreur pour lui.

Tout cessa, un nouvel ordre et une humanité enchaînée et écrasée par la dominance des vampires. Olympe ne se retrouvait pas dans ce nouveau monde. Il essaya encore d’aider, comme cette femme touareg qui se faisait poursuivre, s’interposant mais cette fois, le message fut claire, il risquait une condamnation. Impuissant encore une fois. Et un véritable enfer, les femmes étant capturées et enfermées dans des centre, lui le coureur de jupon allait en connaître une longue et grande frustration. Que faire ? Il quitta l’Afrique pour revenir en France, il vendit plusieurs propriétés qu’il avait hérité de la lignée des Bourbons, ne gardant qu’un château champêtre dans le Languedoc-Roussillon. Il y resta un long moment, reprenant sa vie de pianiste, voyageant beaucoup et retrouvant même une plus grande renommée qu’avant, s’exprimant si bien dans la musique, entre reprises de classique, de chansons, de thèmes cinématiques ou des compositions personnelles.
Ce n’était cependant sa seule occupation, là où il allait, il essayait toujours d’aider les libres en toute discrétion, retrouvant la chaleur d’une femme deux fois depuis sa vie de vampire, tout comme à rechercher lors de sorties mondaines des vampires pensant comme lui, contre ce système d’esclavagisme, sachant avec doigté aborder des sujets sans s’impliquer et voir s’il y avait une possible entente. Les mots, c’étaient une arme et le Bourbon les maniaient aussi bien que son clavier de piano ou des bombes. Oui, des bombes. Olympe avait renoué avec cette passion pour les explosifs et la pyrotechnique de son temps humain, ayant bien du temps pour exceller dans cet art. Il n’était pas un combattant physiquement parlant, si son corps ne pouvait pas frapper, ça serait ses créations. Mais qui viser ? Comment ne pas se faire prendre ? Il en créait, mais il n’en utilisait aucune, à ne pas s’assurer de leur bon fonctionnement. Il travaillait juste à les confectionner dans le sous-sol du château champêtre, passant par l’intermédiaire du marché noir, se familiarisant avec les rouages de ce dernier pour se procurer ce qu’il lui fallait. Puis vint la création de l’EHVH, suite à cette loi de l’Océanie. Enfin un rayon de soleil dans ce monde sans aucun sens. Une résistance prenant naissance un peu partout mais si étouffée.

Naturellement qu’Olympe la rejoignit, en France tout d’abord, leur permettant de commettre trois-quatre attentats à l’aide de ses bombes efficaces finalement mais la répression fut terrible, et lui quitta le pays pour une longue tournée en temps que pianiste, réussissant à échapper aux mailles de la milice, non suspecté. Ce fut ainsi qu’il fit une rencontre, en Corée, avec Roderick, un des bras droits de Hyun Shel-Darynn, après avoir échangé avec le noyau de résistance là-bas. Un messager de résistance à résistance, délivrant ci et là ses bombes dans l’ombre, et à la vue de tous un pianiste hors-pair et un noble séduisant et solaire. Voilà ce qu’il était. Et Dornia devint une cible particulière de l’EHVH, Dornia où la guerre avait commencé. C’était là qu’il y avait plus à faire d’après lui. Olympe décida de se rendre alors sur place, présentant un dossier pour obtenir la nationalité américaine, son casier vierge, il réussit à passer malgré la vigilance plus grande donnée depuis les attentats. Il fit cependant une halte auparavant à New-York. Il avait reçu un message. Pas de Roderick qui avait payé le prix fort pour son combat mené, mais son acolyte Wallace. Aux pieds des deux grandes tours de Manhattan reconstruites, il échangea enfin face à face avec Hyun Shel’Darynn. Oh il savait faire la part des choses entre la Résistance et ce terroriste mais il approuvait le besoin d’actions marquantes et extrêmes. Les vampires le méritaient tant. Il accepta volontiers de délivrer un message au fils de ce dernier qui avait visiblement de grands projets en tête, à quitter les Etats-Unis. Il allait prendre le relais ici pour apporter autant que possible à l’EHVH. Il loua sur Dornia dans un premier temps un appartement, mettant en parenthèse ses tournées mondiales, se cantonnant aux environs pour sa vie de pianiste. Il prit contact avec la Résistance, qui avait pu pour certains entendre parler de lui. Il distribuait les messages sous le nom de Sunrise. Il rejoint les rangs, en tant que messager et confectionneur de bombes. Il acheta une magnifique maison en abord de la forêt, et depuis les quelques mois où il était là, il n’oubliait pas une chose, il devait retrouver Ange Shel’Darynn, quelques mots à lui livrer de son paternel…
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Derrière l'ordinateur


Comment as-tu découvert le forum ?  Par la volonté du Saint Esprit o/
Es-tu un DC ? De qui ? Seth & co
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Commentaire(s):
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Olympe Bourbon Romanov
Olympe Bourbon Romanov
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Lun 17 Fév 2020 - 20:46
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Vice Alexander
Bienvenue à toi ! Petit français :3 Notre milice sera ra-vie de te cueillir Olympe Louis De Bourbon [Terminée] 974483246


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Vice Alexander
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Lun 17 Fév 2020 - 21:53
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Olympe Bourbon Romanov
Et voilà, fiche terminée et le petit français va adorer se faire attendre longtemps : p


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Olympe Bourbon Romanov
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Mer 19 Fév 2020 - 22:57
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Whisper

Bienvenue sur le forum


Félicitations!

Un copain de canne et de boitage pour Markus ! Et un copain de bombes pour Ange ! Quel cocktail : Olympe Louis De Bourbon [Terminée] 875491976 Olympe Louis De Bourbon [Terminée] 1619526248

Avant de te lancer, tu dois :

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Jeu 20 Fév 2020 - 16:17
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