Le loup borgne - Wolfram 1zey
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Le loup borgne - Wolfram
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Wolfram Feuerwald

Wolfram Freuerwald

Le travail c'est la santé
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Surnom


Wolf, le borgne, blondinet,etc

Origine


Allemande

Race


Vampire

Âge


462 ans pour l'âge réel et 30 ans pour celui qu'il avait à la transformation

Naissance


03/04/1902

Groupe


Armée

Statut


Célibataire

Métier


Militaire - Sergent

Sexualité


Plus donneur que receveur, mais il peut se plier sous certaines conditions

Avatar


Dimitri - Fire Emblem : Three houses

Apparence


Il est blond, il a toujours été blond. Il ne voit pas pourquoi il se teindrait les cheveux. Il trouve ça un peu ridicule. Il ne juge pas trop ses colaborateurs, mais il a ce regard qui vous fixe un bon moment quand vous sortez des trucs habituels. Il aime être bien habillé, le style à son importance. Il porte des habits de marques la plupart du temps. Mais la mode lui passe un peu au dessus. Il est trop classique. Des habits classe en toute ciconstance. Son oeil est bleu, le second? Il n'existe plus. Il l'a perdu avant sa transformation. Il porte un cache-oeil ou un bandeau pour ne pas trop choqué. Il est plutôt musclé de part son entrainement strict. Il ne doit pas éviter sa période d'entrainement. Il est assez grand, pas trop non plus pour un allemand de sa période. Il mesure 1 m 76, pour son poids, vu sa musculature, il est assez épais et lourd. Mais aucun gramme de grasse. Il a quelques cicatrices de son passé. Mais rien qui l'enladi que du contraire. Il ne les exposera pas pour le plaisir, mais il en a aucune honte. C'est là. C'est tout.
Avec des cheveux mi-longs, son oeil unique, et sa musculature avec son uniforme de l'armée. il ne passe pas inaperçu. Et ça lui va, la plupart du temps.

Personnalité


Je ne ferai pas dans la dentelle, ne vous attendez pas à me voir plier pour un oui ou un non. Intransigeant, je ne laisse rien passer. J'aime que les choses soient faites bien et vite. Si c'est mal fait. Je vous inviterai à le refaire dans l'instant. Je n'aime pas les bons à rien. Les abrutis ne sont guerre mieux à mon avis. Mais il faut bien des gens un peu stupide pour suivre les ordres et rester dans les rangs. C'est un moindre mal. Assez routinier, j'aime prendre mon café à heure fixe, commener mon entraînement à une telle période et de vérifier tel jour les lits de paresseux. Je n'ai rien contre eux, tant qu'ils font leur travail. Je préfère vous prévenir, je suis un adepte du bondage. Si bien que c'est rentré dans ma vie sexuelle. Cela n'a presque plus de secrets pour moi. Je domine la plupart du temps. Celui qui tentera de me forcer risque de voir son contrat brisé, parce je serai vraiment mal placé pour être un maître tel qu'on l'entends. Je suis très inventif en terme de punition, tout ça dans l'échange consenti. Le Bdsm est pour moi, une relation de respect. Au moins on sait quoi s'attendre avec moi, car tout ou presque est prévu. Des sentiments ? J'en ai sûrement. Mais ces derniers sont bien enfouis. Ils peuvent gâcher le travail. Et ça, c'est hors de question. Je n'aime pas les retardataires. J'aime particulièrement les canidés, très obéissants, pas besoin de se prendre la tête à le rappeler cent fois. Les désobéissants, se retrouve avec des punitions, plus ou moins corporelle. Les esclaves, ils seront que sous mon talon. Un rebelle finira par plier ou être retourné dans un état pitoyable comme leur misérable vie. Qu'ils y restent.
Dès que je possède un contrat, je le suis à la lettre, au point que ça frise l'obsession. Je n'aime pas partager mes soumis parfois. C'est que certains sont plus appétissant si seulement moi peut en profiter. Possessif ? Juste assez pour savoir qu'un soumis à moi le sera pendant un bon moment. Puis viendra le moment où je me lasse. Espérer à plus de sentiments pour que je garde l'exclusivité. Je partagerai à personne. Sauf accord avec d'autres. Si trouve ça équitable. Pour moi en tout cas. Les relations en V, c'est moi qui relie les deux. C'est tout.

Histoire



Les enfants ne savent que peu de choses d’avant leurs naissances, moi aussi dans un certain sens. J’ai appris de mon père et de ma mère comment les choses étaient, se nourrir, marcher et écrire. J'avais beaucoup de choses à apprendre, d'avant ma naissance par exemple. Ma mère à insister dessus. Je devais être un bon garçon et bien écrire. Mais pour le petit garçon que j’étais, tout ça était un peu flou. Je voulais faire plaisir à mère et père. C’était tout ce qui comptait à mes yeux. Leur faire plaisir. J’étais un enfant si obéissant, un parfait petit soldat en devenir. Quand le conflit se mit à gronder dans le pays, j’étais trop jeune. Douze années. J’avais bien grandi, je pouvais faire un tas de choses pour aider mes parents. Mais pas assez allé au front avec mon père. Il n’était pas en colère. Je n'étais qu’un enfant, je devais jouer avec les autres enfants, allemands de préférence. Heureusement, ils étaient nombreux. C’est une très belle langue, l’allemand, et je ne veux pas savoir le reste. Pas pour cette période. J’étais jeune et si influençable. Tous les enfants le sont. Mais ça, je n'en avais pas conscience à l’époque. Comme ces fuyards que je rejoindrai bien des années plus tard. Pas pour les mêmes raisons. Mais j'ai mes raisons. Ils ont les leurs, ça ne regarde que leur derrière. C'était une autre époque.

Tous mes amis étaient un peu tristes de ne pas avoir pu aider. Mais aussi apeurés pour beaucoup. Moi, ça ne faisait pas peur. On pouvait attaquer sans se faire toucher si on était malin. Malin, je pensais l’être à cet âge. Parce que j’avais des capacités pour jouer à ces jeux d’enfants. Comme si ce savoir pouvait aider. Naïf, je l’étais. Mais à douze ans, tout dans sa tête est possible.

Le conflit a continué quatre années presque. Ces années où je me suis vu grandir, mais aussi apprendre de nombreuses choses. Alors que l’inquiétude pour la santé de mon père ne faisait que grandir à chaque mois sans lui. Comment reviendrait-il ? Car pour moi, il était certain qu’il reviendrait.

Alors quand il revint avec une jambe de moins, ça fut comme un coup de massue. Je ne pouvais que voir à quel point la guerre pouvait être impitoyable. Mais ça ne sera pas elle qui aurait la vie de mon cher père. Maintenant, je serai assez grand pour y aller à sa place.

Certaines personnes me demanderont ce qui s’est passé durant ce temps entre-deux ? J’ai grandi en autre. J’étais grand frère deux fois. L’écart d’âge entre les plus petits et moi-même ne m’a pas tant dérangé. Mais ils étaient moins bons que moi-même. Ma petite sœur avait du mal à courir vite et mon frère écrivait comme un petit cochon. Une véritable catastrophe.

Pourtant une rencontre, tout changeait tout. Une personne qui tout emportait avec lui. Un jeune homme comme lui qui avait des capacités. Parfois, qui dépassaient même toutes mes espérances ? Tout ce que je croyais. Par quelle sorcellerie était-ce possible ? Je n’en savais rien. Mais cette personne en savait beaucoup. En plus d’avoir un bon Allemand. Tout pour m’intriguer. C'était sa façon à lui de m'attirer sûrement. Mais je ne suis pas de ces hommes qui deviennent amateurs de corps d'hommes. J'aime le mien, ça me suffit amplement. Je n'ai pas besoin de me comparer. Je ne suis plus un enfant. J'ai grandi.

Son mystère s'épaississait avec le temps. Parce qu'il avait ce truc qui faisait qu'il ne changeait vraiment pas avec le temps. Le fait qu'il n'apparaisse que la nuit par exemple. Je sais qu'en tant qu'adulte, certaines choses peuvent se soigner. Si bien qu'occasionnellement, je me demandais quel était son barbier, parce qu'il ne laissait aucune trace. Ça lui arrivait parfois de se couper. Même s'il était habitué. Les bonnes adresses étaient tenues par des gens étranges en majorité. Comme si ça ne suffisait pas dans cette période si compliquée mentalement que celle-là. Tout remettre en doute. Tout ça parce que ce sale con a du charisme. Excusez-moi, mais c'est fort de café. Je ne suis pas comme ça. Mais il est vraiment très suspect.

Je dois vous parler de cette investigation, de cette enquête qui me coûta, un peu plus tard, mon œil. Si j'étais connu pour ma férocité. Le fait que je me mêle de choses occasionnellement secrètes n'était pas bien vu. Et c'est en me mêlant plus ou moins à ce groupe dont la haine de certaines personnes grandissait que se passait cette perte. Les nazis... J'étais trop curieux. Je ne comprenais pas tout ce qui se disait. Pourquoi certains parlaient-ils une autre langue ? Quels liens pouvait-il avoir avec cette méfiance qu'avait mon père ? Je n'avais pas le temps de savoir. Car une personne me prit à part pour me punir. Moi et ma curiosité. Chose que je regrette. Je serais moins intrigué après ça. Perdre mon œil était douloureux. Le sourire de celui qui me le retirait alors que je me retenais du mieux que je le pouvais de hurler la douleur. Alors que mon champ de vision se brouillait de mes larmes. Depuis ma tendre enfance, je n'avais pas autant pleuré que ce jour. Il me disait que ça me servirait de leçon, que je devais continuer mon travail. Celui de militaire au sein de la nation. Comme si un œil en moins me rendait moins capable. Il faudrait s'adapter. Ce n'est pas ça qui va m'empêcher de vivre. Mais je gardais dans un coin de mon esprit que ce type aurait droit à ma vengeance.

Que ce type étrange revienne après des années, frais comme un gardon, était quelque chose d'étrange. Il n'avait pas changé d'un pouce, alors que j'approchais de la trentaine et que mon œil ôté était caché derrière un bandeau noir. J'aime les choses simples. Les belles choses, et ce bandeau, qui cachait mon œil, étaient parfaits. Taillé pour moi. Je ne mérite que le meilleur après tout. Je suis un bon soldat allemand. J'obéis à mon devoir. Alors, je fais ce qu'on me dit de faire. Le laisser venir. Il est trop parfait pour ne pas cacher quelque chose de louche. Vraiment. Puis, il a des manières parfois particulières. Il part avec un type et on le voit le lendemain différemment, en positif comme en négatif. La joie, la fatigue. Et cette lueur d'une partie de sexe, sûrement, dans le regard. Le sexe entre hommes. Vraiment, je ne comprenais pas à l'époque. J'étais à des lieues de ça. Pourtant, une nuit, alors que j'allais chercher de quoi me restaurer. Je me suis retrouvé malgré moi à me cacher. Une femme pensait que j'étais son fiancé. Alors que les femmes dans mon lit ne ressemblaient pas à cette mégère. Une dame certainement très respectable. Mais je ne fais pas dans les vieux de ce genre. Même maintenant. Ce que je ne savais pas, ce que ma planque improvisée était son territoire. Cet endroit était une taverne, comme on en voyait parfois. Il vint à moi. Son sourire ne me disait rien de bon. Alors, je me suis reculé. Longtemps, jusqu'au mur.

Il a ri, il m'a demandé si j'avais peur. J'ai refusé de le laisser gagner. Je me suis avancé. Son sourire s'est agrandi. Il commençait donc à me toucher. Je lui ai saisi les doigts pour les tordre. Il avait mal. Mais il ne hurlait pas. Il ne bronchait pas. Il semblait avoir cette étincelle dans son regard. Il était complétement fou. Aimer la douleur comme ça. Il faut être complètement dérangé. Il s'est approché, il m'a dit que je lui plaisais. Mais pour jouer les maîtres, j'avais à apprendre. Les maîtres ? De quoi il parlait. Pas le temps de comprendre ce que se passait que je me retrouvais avec ses dents dans mon cou. Cela faisait un peu mal. Pourquoi j'avais l'impression qu'il me volait toute mon énergie ? Pourquoi je me sentais excité quand il me touchait. Quand ses mains flattaient mes flans. Quand ses lèvres ont fini par quitter mon cou pour me dévorer. Entièrement. Purement et simplement. Cette nuit-là, je suis devenu son amant, sa progéniture et sa victime. Victime de ses travers. Mais je suis un homme. Il savait comment faire lever les drapeaux. Le filou.

Je ne sais pas quelle magie il m'a attaché à lui. Maintenant, je comprends un peu mieux. Parce que j'étais sa progéniture. Celui qu'il a transformé. J'ai passé de longs jours à souffrir de ce changement sans le comprendre. Pourquoi tant de douleur. Je suis sadique, pas masochiste. Je laisse ça à d'autres. À ce crétin aux cheveux bruns et regard trop intense pour être vrai. Je ne sais pas combien d'années ont passé entre la douleur et le soulagement. Mais je me souviens parfaitement du jour où je me suis levé loin de cette torture. Je jure sur tout ce que j'ai que je vais lui faire regretter de me mettre dans cette situation. Mais je ne sais pas pourquoi je me dirige vers lui. Pourquoi je me suis installé sur ses genoux. Son sourire lorsque je l'ai laissé me caresser les cheveux. Quand j'ai laissé cet homme regarder toutes les traces que l'autre enfoiré m'avait laissées.

Il a parlé doucement, il m'a dit qu'il regrettait la perte terrible de mon saphir. Que même sans lui, j'étais beau. Que j'étais à son goût que je deviendrai comme lui. Un amoureux de toutes sortes de corps, mais surtout des corps masculins. Que c'était lui qui m'avait conduit si loin. Qui m'avait aidé indirectement à monter en grade. Que je devais le récompenser en le laissant faire de moi ce qu'il désirait tant. Qu'il finirait par l'obtenir à force. Qu'il n'aurait pas à utiliser tous les subterfuges habituels. Que j'étais déjà en chemin. Drôle de type. Comme si j'allais changer comme ça. Et ses mains sur certaines parties ne feront pas changer si facilement. Il en faudrait plus que ça. Je ne me laisserais pas faire.

Je sais que le temps est passé entre nous. Je me refusais à lui, mais je revenais toujours sur ses genoux sans me l'expliquer. Sans que je ne comprenne vraiment le pourquoi du comment. Mais sa caresse me faisait du bien. Ce liquide rouge qu'il m'apportait était bon, pas le meilleur en soi. Mais bon assez pour que la soif qui me tenaille s'apaise un peu. Ce liquide rouge, je ne suis pas stupide, je sais que c'est du sang. Je sais qu'à chaque fois que je bois, je me sens un peu mieux. Il profite de ces instants pour ravir souvent mes lèvres alors que ses mains se glissent toujours sur ma peau. Il me préfère nu. Il ne me laisse aucun vêtement. Je me méfie. Pourtant, le liquide rouge est vicié. Il est contaminé par des substances étranges. Je perds doucement pied. Je ne sais pas ce qui se passe. Mais quand je reprends conscience, il est là. Au-dessus de moi. Alors que son corps s'est fondu sur le mien. Sans vraiment savoir comment c'est arrivé. Mais j'entends sa voix. Sa voix qui me pousse à bouger. À gémir. À le dominer. Ce que je finis par faire. Quelque chose à craquer dans mon esprit à ce moment-là. J'ai fait de lui mon premier amant.

Je ne sais pas combien de temps s'est passé dans cet endroit. Peut-être trop longtemps. Car j'avais entendu des choses étranges dehors quand j'étais libre de mes mouvements. J'ai vite compris que sortir en plein jour était quelque chose de pas possible à moins de souffrir le martyre ou de mourir. Pas que j'avais peur des soldats. Loin de là. Je voulais les rejoindre. Montrer la supériorité des Allemands face aux autres. Après tout, j'étais l'homme parfait pour illustrer l'allemand modèle. Mon œil manquant. Un détail. Alors j'ai commencé à réfléchir à un plan pour sortir un soir. Quand il sera satisfait. Il finit toujours par s'épuiser. Puis ce n'était pas un amant que j'aimais. Je ne l'aimerai jamais. 

Je suis sorti de ses griffes. Je sais que c'est lui qui a fait de moi le vampire que je suis. Je ne suis pas complétement idiot. Le soleil est pour moi pas vraiment un allié. Je pouvais aider mes camarades soldats en faisant un peu de ménage dans ce pays. Peut-être se débarrasser de ce sale type qui m'a retenu avant ça. Pas sûr que je puisse le tuer. Il arrivera à me retourner le cerveau. Le fourbe. J'ai profité de cette liberté pour être le pire des chiens. Ceux qui laissait ces pauvres envahisseurs aux portes des soldats qui les retrouvaient. J'aurai pu changer de nom. Mais je ne l'ai pas fait. Et je ne ferais probablement jamais. Parce que je suis un être fier. Sûrement de trop. Car même pas le temps d'amasser de l'argent de mes petites descentes chez les envahisseurs qu'il m'a retrouvé. Ça n'avait duré que quelques mois. Des mois de liesse où je pouvais profiter des beautés allemandes. Gardant parfois certains soumis obéissant. Ils étaient mes agents. Ceux qui pouvaient agir à la lumière du jour. Ah, j'étais au sommet de mon art. Mon pouvoir, je crois que je l'ai découvert lors de cette période dorée. Mais les choses finissent toujours trop vite avec un amant comme l'était mon créateur. Il a débarqué, massacrant quelques soumis au passage. Du gâchis. Bien sûr, mes goûts ne lui allaient pas. J'aime les blonds, comme moi. Les roux parfois. Mais les bruns comme lui, hors de question. J'en avais assez vu avec ce soumis qui veut trop faire sa loi. Les rebelles, il faut les mater. Je le sais, mais à chaque fois, il me retourne le cerveau. Il vient se glisser dans ma tête pour me manipuler. Pour ne faire de moi que son pantin. Alors je me retrouve à le voir au-dessus de moi pour me chevaucher. Tentant de me marquer. Mais les traces finissent par partir. J'ai compris que je peux guérir plus vite à force. Au point que l'idée de m'attacher avait fini par le lasser. Je finissais toujours par me détacher. Il fit mal les nœuds en plus. Aucun ne me résiste. Puis je peux les perfectionner. Parfois, je me suis demandé s'il n'avait pas exprès. Il adore être attaché. Il aime me voir le dominer. Moins quand je pars après l'avoir fait. Il a fini par comprendre que me manipuler est nécessaire, puis je le laisse espérer à mon attachement. Il n'est pas mon type de soumis. Trop rebelle. Trop chiant. Trop exigeant. Trop tout. Oui, car même sa beauté, je ne peux pas y rester insensible.

Le bateau, ce n'est pas un moyen de transport que je porte dans mon cœur. Je me suis senti un peu à l'étroit dans ma cabine. Seconde Classe. Moi ? Ai-je vraiment le standing pour aller avec le reste de la plèbe ? Apparemment, il m'avait manqué de certains moyens pour accéder à la première classe. Et puis je partais sans l'appui de celui m'avait créer. Je partais avec ce que j'avais gagné. Sous mon nom, ou plutôt un surnom que je m'affuble. Celui qu'il ne connaît pas encore. Mais il est tellement partout qu'il pourrait me retrouver. Espérons que je serai loin quand il aura remonté la piste. Puis c'était la terre de nouveaux espoirs, l'amérique, comme ils le disaient.

Cette nouvelle terre était un nouveau départ. C'était moi l'envahisseur. C'était moi de me faire plus ou moins discret. Plus ou moins, c'est le principe. Mais j'aime être au service du gouvernement. Bien sûr le fait que je suis venu d'ailleurs, que je doive apprendre une nouvelle langue me dérangeait un peu sur le moment. Mais comme je n'étais qu'un étranger. Je devais m'y plier. Je crois que j'ai été le pire des élèves du lot de gens qui sont venus avec moi. Mais j'ai fini par rentrer dans ma tête que ça fonctionnait comme ça. Que je pourrai parler allemand ailleurs. Que ça resterait une part de moi. Je crois que j'ai sympathisé avec un jaune, du moins, il semblait l'être, un asiatique. Preuve que je fais des efforts. Je suis quelqu'un de bien au fond. Allez dites-le.

Le jaune m'a appris à parler sa langue en plus de celle de ces terres. Je crois que ça l'amusait. Je suis un soldat, de la chair à canon. Mais je ne dois pas sortir le jour. On me dit parfois que je suis un enfant de la lune. La lune ? Comme si je venais d'aussi loin. Je suis étranger certes, mais je peux être utile pour la nation. Je pouvais aussi vivre correctement dans mon poste en tant que personne à l'intérieur. Ce qui ne m'empêchait pas de garder de l'entraînement physique quand tout le monde dormait. Je n'allais pas me laisser aller. J'ai du quitter les ordres. Mais j'ai gardé un œil dessus. Parce qu'au moindre signe. Je sortirai de ma retraite. Je crois que j'ai pu voir le monde d'autres yeux. Ceux de mes soumis. Je me construis un petit de soumis. Qui me rapporte de l'argent. Accueillant un brun. Un seul.

Ces années loin de lui ont été si plaisantes. Je crois que j'ai un petit lieu rien qu'à moi. Ou tous les soumis et maîtres peuvent venir sans être jugés. Tout ce que je demande, c'est un peu d'ordre et que les soumis et maîtres sont heureux. Et au passage, je trouve quelques minets à mater. Je dois me faire une raison. Les femmes sont de moins en moins à mon goût. Elles n'ont pas ce truc qui me fait vibrer souvent. Je ne me revendique pas de l'autre bord pourtant. Je suis à des lieues de ça. Je suis bien plus élégant et distingué que ces folles. Mais à croire que le brun a remis sur la piste mon créateur. Le soumis rebelle par excellence. Il est content. J'ai mon propre endroit pour faire ces choses. Il me complimente. Il veut voir de quoi je suis capable. Mais je ne plie pas facilement. Il arrive à nouveau à avoir de l'emprise sur moi. Je comprendrai jamais cet homme. Un soumis qui dirige comme ça. Il est un paradoxe à lui seul. Il fait en sorte d'avoir ce qu'il veut de moi. Et puis, je peux lui donner des amants. Alors, il me laisse plus ou moins tranquille. J'espère qu'il n'en pas transformé un autre tant qu'il revient régulièrement, aucun risque n'est-ce pas ?

Faire semblant pendant tout ce temps, c'était quelque chose. Beaucoup de rumeurs sur moi. Sur ce que je suis. Mais peu osaient me dire les choses en face. C'était un mal comme un bien. Pourtant, je me souviens de certaines personnes qui ont passé la porte de ce petit club. De cet endroit que je gérais d'une main de fer. Un peu comme si j'étais le commandant de mon armée. Si au départ, je ne laissais pas trop entrer les personnes de couleur, je dois avouer qu'un d'entre eux a su me marquer de manière positive. Pas chiant pour un sou. Un bon soumis qui se laissait dominer avec un grand plaisir. Alors que d'autres personnes de couleurs voulaient se jouer les maîtres. Pas lui. C'était début des années 2000, un jeune homme qui ne payait pas de mine. Un jeune homme au teint si foncé que j'ai eu tut le mal du monde à le laisser rentrer, même si les personnes de couleurs avaient des accès à mon donjon, de par la loi de ce pays. C'est lui, de par sa présence a su me convaincre que dans toutes les ethnies, il y a du bon comme du moins bon. Même si certains de ses amis m'ont mis parfois dans le mal par les protestations vulgaires et impies. Lui, tout changeait en sa présence. Il se pliait à mes ordres, moi qui n'avais pas voulu le toucher tout ce temps. Mais lui, il a tenu bon. Il a su glisser en moi la graine du doute et de l'amour. J'étais à des lieues de me douter que mon inquiétude pour lui était due à ça. C'est au retour de celui qui a fait de moi un vampire que ça m'éclatait en pleine face. Je l'aimais. Je ne voulais pas qu'un autre dominant vampire me le prenne. Et surtout que ce soumis rebelle ne le touche pas plus. Il l'avait trop fait. Tout ça pour voir à quel point, il pouvait se plier à l'exigence de ses ordres. Parfois, je me demande s'il n'est pas ambivalent ce sale type.

Savoir que je l'aimais était déjà un gros point, mais lui dire, c'était autre chose. J'ai bataillé contre moi-même. J'ai fait pénitence et abstinence pendant de longs mois. Et bon sang que c'était compliqué. Compliqué de résister à ses tendres caresses. À son regard, à chaque fois que je venais de m'approcher de lui. Ce qui dit sans le dire qu'il se plaît à moi seul. Signer un contrat d'exclusivité était ma solution. La meilleure des solutions. Car elle éloignerait les autres de ce qui m'appartenait

Ce contrat a fonctionné, le temps de sa vie. Le transformer ? J'y avais pensé. Très fort. Mais je n'aurai pas pu lui dire. Même si ce mensonge me consommait de l'intérieur. Voulant simplement vivre sa vie d'humain. Je ne pouvais pas lui imposer ça. Je respecte mon soumis comme il me respecte. Puis il est devenu vieux. Plus plissé. Il me trouvait toujours beau. je l'étaiss, je le suis encore. Ils s'est pas plus posé de question que ça. je crois qu'il m'a pris pour une sorte de créature d'un autre monde. Ou que c'était ses yeux fatigué qui me voyait si jeune et lui si âgé. Le consentement a toujours été quelque chose qui m'a guidé dans cette existence. Je peux dire que je l'ai laissé partir. Que je l'ai aimé. Cette personne dont la gentillesse était à mille lieues de ma personnalité. Je ne saurai jamais ce qui la mèner à vouloir de moi comme dominant, forcer me donne que peu de plaisir en fin de compte. Je crois que ce contrôle était peut-être ce qu'il avait besoin pour se défaire de tout. De ces responsabilités qui pouvait le peser. Alors, comme étant l'homme que j'ai aimé. Je respecterai plus ces gens à la teinte de peau différente si elle me respecte aussi. Après tout ça va dans les deux sens. Je n'oublie pas que c'est moi l'étranger. Moi la personne qui vient d'ailleurs.

Je ne sais pas combien de temps s'est passé depuis cette aventure. Mais je me souviens que j'ai passé un moment à rester à ma place. Dans les ombres. À me méfier. Puis vint le moment où les vampires furent plus présents. Bien plus. Menant une guerre. J'aime les guerres, c'est connu. Je suis un ancien soldat. Et cette fois, je serai aux côtés de gens de mon espèce, des vampires, contre les humains. Même si différents de peaux. Ce sont les miens.Ceux à qui j’appartiens. Je devais me battre pour eux. Pour obtenir ce que je désirai. Ainsi, je deviens à nouveau, un combattant. Ce qui n'était pas pour me déplaire. Vraiment pas. Je serai de ceux qui construiront l'avenir. Et je me suis battu. J'ai obéi aux ordres. Je suis un soldat. J'y suis habitué. Pour ce qui est de monter en grade, ça viendra avec le temps. Je ne suis pas pressé. Tant que je peux avoir des soumis sous ma coupe. Je peux me contenter de ça.

J'en ai eu des soumis. Certains sont restés, d'autres sont partis. Mais à chaque fois. Je me retrouvais. Parce que je pouvais les mener avec ou sans hypnose. Leur laissant le choix. Ils ont le choix. Le mot de sécurité. Différent à chaque soumis. Et c'était ce qui comptait. Je restais du côté des vampires. Lequel ? Celui que je trouvais le plus juste. Celui sous lequel je suis attaché, ma vie de soldat en dépendait. Mes missions. Je ne les brise pas. Si je devais faire la guerre à nouveau pour ça. Je n'hésiterai pas à le refaire. Encore et encore. Si je dois devenir un criminel en faisant mon devoir. Je le ferai. Mais je ne dois dire que cette fois. J'ai bien choisi mon camp. J'ai vu nombreux vampires se faire condamner. J'y ai échappé de peu. Parce que j'avais suivi mon devoir. Je suis dans cette armée depuis un bon moment. Mais à part faire ce qu'on m'a dit. Je n'ai rien fait de mal. Ce sont mes supérieurs qu'il faudra blâmer. Je sais que si un jour, je suis au-dessus hiérarchiquement. Je ferai l'amende honorable. Mais je n'étais pas encore là.

Je me suis encore battu. Pour l'armée. Les combats ne me manqueraient plus. Finis cette petite vie tranquille. Elle ne me manquera que peu. Très peu. Des soumis, je peux en avoir. Alors qu'être soldat, c'était bien mieux. Se retrouver à être utile pour les miens. Et je le saurai quand bien même si certains diront que je suis trop zélé. Je m'en fiche. Car j'ai retrouvé ma place en tant que vampire dans cette institution. Dans cette situation. Oui, je chasserai les sauvages, la rébellion et d'autres choses. Mais c'était un peu le sel de ce qui faisait les Missions. Je les aime comme ça.

Si j'ai aimé pendant ces temps ? Peut-être, je ne laisserai pas quelqu'un s'immiscer dans ma vie sans le contrat, donc cherchez parmi mes soumis. Et il a bien changé ce morceau de papier, pour devenir électronique, depuis sa première création. J'ajoute ou retire des choses avec mes expériences passées. C'est elles qui me guident pour être un meilleur dominant. Un meilleur maître pour ces petits soumis qui ne demande que d'être sous moi. Seulement, ils passeront après mon travail à l'armée. C'est non-négociable.
 
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Derrière l'ordinateur


Vous me conaissez sous le personnage de Junfeng, l'immense nounours qu'il est n'est que douceur, celui-ci sera bien plus nuancé.

Recensements


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Wolfram Feuerwald
Wolfram Feuerwald
Vampires Supérieurs
Race : Vampire
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Métier : Militaire
Don particulier : Peinture, violon et faire des noeuds en tout genre
Créateur : Sergio (Pnj)
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Âme & Légende : Ma fiche
Mer 24 Jan 2024 - 12:57
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Markus Bourbon Romanov
Bienvenue petit DC Le loup borgne - Wolfram 704484513


Markus Bourbon Romanov
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Mer 24 Jan 2024 - 14:09
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Wolfram Feuerwald
J'ai flash panique XDD

Du coup, j'ai peut-être fini trop rapidement l'histoire et mes corrections. désolé pour l'attente.

Je crois que je suis paré à me faire taper sur les doigts. Un maître c'est parfois puni ptdr.
Wolfram Feuerwald
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Âme & Légende : Ma fiche
Sam 20 Avr 2024 - 10:49
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Hopper

Félicitations !

Et te voilà validé! Un maître en quête de petits soumis, va, un grand terrain de chasse s'ouvre à toi! Le loup borgne - Wolfram 1208725972

Avant de te lancer


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Hopper
Hopper
Staff de Vampire World
Gif : Le loup borgne - Wolfram Giphy
Race : Lièvre (de Mars)
Amour(s) : Thé ! **
Âme & Légende : [url=lien vers ton âme]Ton texte ici[/url]
Dim 21 Avr 2024 - 21:03
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