Apparence

Que dires, tu es un humain ? réellement ? Bon d’accord, tu es un vampire. Tu as toujours été étonné de voir que les gênes de ton père avaient aider ton physique à devenir si imposant. Quand on voyait ta mère qui était de petite taille. Après tout en tant que japonaise, celle-ci n’était pas bien grande.  Tu es devenu aussi baraqué que ton paternel. Un bon mètre quatre-vingt-quinze pour un poids de cent dix kilos. La balance annonçait un chiffre haut, mais que voulez-vous, les muscles sa pèsent lourd. Et quand on te regard, on voit tout de suite que c’est cent dix kilos de muscle et non de gras. Tu possèdes de larges épaules, des clavicules apparentes, des bras pouvant soulever cent kilos. Un torse composé de pectoraux bien dessinés, des abdominaux présent, Ya pas de doute là-dessus. Vous voulez que je lève mon teeshirt peut être ? *Oh oui ! * En descendant au niveau de tes hanches, on remarque que tes muscles sont tout autant développé en haut qu’en bas de ton buste. Ton membre est plutôt épais et mesure vingt centimètres. Tes fesses sont rebondies et incite à la fessée. Tes jambes musclées sont longues. Pour finir sur des pieds chaussant du quarante-quatre.  Aurais-tu oublié de parler de ton visage ? Bien-sûr, mais on ne dit pas le meilleur pour la fin ? Tu possèdes un visage à la mâchoire carrée. Un menton légèrement prononcé. Une bouche aux lèvres fines, cachant une dentition normale où l’on peut voir des crocs sortir de temps en temps.  Tes yeux sont deux lacs noirs. En amant et ils savent parfaitement retranscrire tes émotions. Tes cheveux sont bruns limite noire, tu fais toujours une coupe mi longue. Une frange vient balayer quelques fois ton visage, sur le côté, tu raccourcis souvent. En terme bref, on a toujours l’impression que tu viens de sortir d’une partie torride de jambes en l’air.

Personnalité

Pardon ? tu dois vraiment dévoiler ta personnalité comme ça ? Même pas vous m’apportez un petit verre histoire qu’on puisse te dérider un peu… Monsieur le maitre de son monde. Tu es une personne droite et qui a toujours obéi aux ordres. Du moins quand c’était un supérieur qui te parlait. Tu fais rarement de l’insubordination. Tu es quelqu’un d’assez sur de toi. Tu ne prends pas des pincettes pour dire ce que tu penses. Tu as tellement vu et tellement vécu. Tu aimes la musique, la sculpture… ça te rappelle ton petit frère que tu as accompagné sur son lit de mort. Tu as vu mourir toute ta famille et à laisser une place vide lors de ta mort. Tu ne penses qu’au bien être d’autrui et a tendance à t’oublier par moment. Tu es du genre a donner et a recevoir. Le monde te parait bien fade sans une bonne partie de baise. Tu as un énorme sang froid pour gérer les personnes un peu trop capricieuses. Tu adores les cas les plus complexe. Peut être que tu es finalement un peu maso sur les bords. L’adrénaline du combat, te rend euphorique. Tu apprécies dépenser toutes ton énergie dans le sport ou dans une pratique te faisant transpirer. Tu aimes la sensation de bien être qui t’envahi après une séance intense. On pourrait dire que tu es un accro à l’endorphine que secrète ton corps après de gros effort.  Tu détestes te retrouver acculer sans moyens de sorties. Tu n’as pas peur de mouillé ta chemise pour arriver à tes fins. Tu ne supportes pas les vampires qui profitent de leur statut pour maltraiter les humains. Tu aimes particulièrement le sang frais, mais te cantonne à des poches pour éviter de te sentir dans l’obligation de surveiller la personne que tu aurais eu l’audace de mordre. T’assurer que celle-ci, retrouve bien le chemin de son chez soi. Il t’arrive de prendre du temps pour toi, afin de te poser dans une clairière et de lire un livre passionnant. Tu restes une sentimentale qui ne peut s’empêcher d’aller chaque année sur la tombe de tes proches. Même si ça fait bien très longtemps qu’ils se sont éteins.  Tu es du genre a gérer ton argent avec une main de maitre. Tu ne vis pas comme un riche, tu aimes profiter des choses simples et profiter d’un bon verre de whisky quand tu en trouves un bon.

Histoire

Il faisait un temps pluvieux, on aurait dit que le ciel comprenait ta tristesse en cet instant. Vêtu de ton uniforme de soldat, tu observais encore la dernière pierre tombale qui trônait dans ce cimetière.  On pouvait lire à présent – Ci gît Carl Lewis avec ses dates de vie et mort. 1970-2056. Cet homme, tu l’avais aimé de tout ton âme, c’était le dernier membre de ta famille encore vivant jusqu’à la semaine dernière encore. La guerre venait d’éclater, les vampires dont tu faisais partie depuis maintenant cinquante et un ans, en avaient marre de se cacher et de respecter la loi des hommes. Pour en revenir à ton frère, celui-ci avait reçu un choc en apprenant ta mort alors que tu n’avais que trente-cinq ans et de te revoir un soir lors d’une sortie avec d’autres vampires…#Flashback - Lui avait pris de l’âge et toi, tu n’avais pas changé. Tu avais toujours cette allure de jeune homme. Il aurait pu croire à une hallucination, mais quand il avait prononcé ton prénom, tu n’avais pas pu faire autrement que de te retourner. Sur le moment tu fus choqué de recroiser ton petit frère, après tout, tu avais tout fait pour que ta famille ne se rend pas compte que tu faisais encore partie de ce monde. Ton créateur t’avait expliqué que ce n’était pas une bonne idée… Que ta famille aurait du mal à comprendre pourquoi le temps n’avait pas d’effet sur toi. Pourquoi tu avais besoin de sang pour vivre.  Comme un lâche tu t’étais détourné de lui et avait continuer ton chemin, mais quand il avait tenté de te rattraper pour te demander des explications. L’un de tes camarades vampires l’avaient plaqué contre un mur pour lui demander ce que tu voulais à leur chef. Car oui, tu étais le chef de ce petit groupe de soldat. Du moins tu étais haut gradé par rapport à eux.

- Lars… lâche le de suite… attendez moi plus loin, je dois parler avec lui.

Le soldat avait relâché sa prise et avait rouspéter dans sa barbe avant de suivre le reste du groupe direction le bar ou vous comptiez faire la fête.  Une fois seule dans cette ruelle, ton frère âgé de cinquante ans te regardait choqué, étonné et se mit à crier.

- TU ES MORT ! Comment ça se fait que tu te tiens devant moi… regard toi… tu ne sembles pas avoir vieilli… Je suis censé être le plus jeune !

Avec un soupire, tu avais tenté de lui prendre le bras pour le conduire ailleurs, mais ton frère avait fait un mouvement de recul. Esquivant ton mouvement. Tu avais donc râlé avant de dire.

- Tu n’aurais jamais dû me voir… et je pense que tu vas oublier… ça de suite.

Tu ne maitrisais pas encore bien la capacité pour le perturber mentalement, mais tu essayerais... tu le devais… Il allait te créer des problèmes. Il recule et dit de suite.

- Non Noah ! Non…qu’est-ce que tu fais, approche pas. J’ai entendu des rumeurs…On parle de corps retrouvé sans une goutte de sang… est-ce que tu serais un …euh

- Dit le Carl… car c’est tout à fait ça. Donc soit tu oublies l’idée de m’avoir vu… ou alors je t’aide à m’oublier.

Tu lisais la stupeur dans le regard de ton frère, tu voyais des larmes couler le long de ses joues… il semblait heureux de te revoir mais effrayer également de penser que tu étais un buveur de sang. Il t’avait perdu quand il avait encore que vingt-sept ans. Il t’avait pleuré avec tes parents. Il était un peu perdu. Mais il finit par te dire qu’il ne voulait pas que tu disparaisses de sa vie. Qu’il devait en parler aux parents. Mais tu avais vite réagi en disant.

- Non Carl, tu ne diras rien aux parents… ils ne comprendraient pas. Si tu tiens vraiment à rester en contact avec moi… Tiens… appel moi.

Ton frère attrapa la carte de visite en tremblant et la serra contre son cœur. Il approcha et te prit dans ses bras. Tu resserras ton étreinte et disparu de sa vision… rejoignant tes potes… Après ces retrouvailles imprévues, tu gardas contact avec ton frère. Il ne dévoila jamais ta condition de vampire. Tes parents ne surent jamais que tu étais encore « vivant ». #finFlashback - Tu veillas sur ton frère jusqu’à son dernier souffle. Il avait été un sculpteur de bois connu, il pouvait sculpter tout et n’importe quoi. Il n’eut que des aventures masculines, n’appréciant pas la gente féminine. Tu l’avais regarder pousser son dernier souffle. Il t’avait appelé une heure avant, se sentant faiblir. La guerre venait d’éclater. Tu n’avais pas beaucoup de temps pour penser à autre chose que les ordres que tu recevais. Mais tu te devais d’aller vers ton petit frère.

Tu te rappelles encore de ce jour où tu avais aussi lâcher ton dernière souffle... Tu venais de te prendre une balle perdu lors d'une fusillade... Tu avais liée à l'époque une grande amitié avec un homme sombre. Tu le rejoignais souvent lors des soirées mondaines qu'il donnait. ll s'était pris d'affection pour toi et était venu sur ton lit d'hôpital pour faire de toi un vampire. Dans les premiers instants, tu avais été désorienté et complètement perdu. Mais son visage familier et l'éducation qu'il t'apporta, te permis de gérer la situation au mieux. Il t'informa que ta famille t'avait enterrer. Le cercueil avait été scellé et personne n'avait pu voir que ton corps n'était pas à l'intérieur. Donc tu faisais en sorte de veiller sur ta famille de loin, prenant des nouvelles et restant loin. Sauf quand ton frère te retrouva par hasard un soir.

Quand la monde sombra dans les ténèbres, tu découvris que tu n’avais plus besoin de te cacher. Vers la fin de la guerre, les vampires furent mieux traités. On t’attribua un logement, tu ne mis pas longtemps à mettre à contribution tes compétences. Tu étais un homme fort, le combat rapprocher n’avait pas de secret pour toi. Tu étais bon dans le domaine de l’escorte. Tu suivais les ordres et te mis rapidement au service des premiers groupes de ce qu’il appelait la « Milice ».  Pour trouver du sang, c’était plus simple. Les humains se retrouvaient parquer comme des animaux. Les centres de reproductions virent le jour. Les femmes n’en parlons pas, elles devenaient juste bonne pour enfantés dans les centres. Avant d’être éradiquer quelques années plus tard.  Toi, tu vivais une vie de vampire classique. Tu passais beaucoup de temps à remplir des missions. Tu suivais depuis un moment les ordres du capitaine des forces maritimes. Il avait demandé à ce qu’on enquête sur des vampires qui osant profiter de l’innocence des enfants. Qui formait des esclaves sexuelles.  Tu avais débarqué un groupe d’élite pour mettre fin a ce commerce des plus horribles à tes yeux. Vous étiez un groupe armé. Tu pus voir de tes propres yeux des esclaves vivant dans tes conditions affreuses. D’ailleurs en pénétrant dans l’une des chambres, vous virent un homme assis sur un lit, des fluides coulant encore sur lui. Tu observais la scène, ça hurlait, sa cherchait à connaitre le nom de cet homme. Il avait seulement répondu un numéro. *Qu’est-ce que c’était que ce bordel… ! * Comment des vampires avaient pu profiter de leurs positions pour faire ce genre de chose. Le chef demanda à ce qu’on cherche partout. Toi, tu restas dans la pièce avec le chef pour assurer la sécurité au cas où. L’esclave s’était approcher du grand blond pour lui faire une proposition déplacée.  D’ailleurs Stanford fut choqué, toi aussi intérieurement. Rapidement on le conduisit à l’hôpital… Après tu ne le revis pas de sitôt. La vie suivie son cours, tu continuas longtemps à servir ton pays, avant de finir par laisser tomber les forces armées. Tu avais vu trop de fait marquant. Tu donnas ta démission et fut tout de même remercier pour tes loyaux services dans la milice. Tu avais quand même vécu pas mal de guerre. Ça laissait des souvenirs que tu voulais effacer. Mais ils resteraient a jamais graver dans ta mémoire. Tu gardas tout de même des contacts dans le milieu militaire. Tu avais eu le temps depuis toutes ces années pour réunir du fric. Tu vivais dans un logement plutôt modeste. La vie était devenue un peu plus calme. Tu restas bien cinq ans sans prendre de nouveau travail. Tu avais repris une vie plus simple. Baise… Sport…Tu te redécouvris une passion pour la sculpture, un moyen de penser à ton frère malgré qu’il était mort depuis très très longtemps maintenant.

Quand l’ennuie vient te trouver, tu repris contact avec une agence pour reprendre du service dans la protection de personne. Au vu de ton dossier, on ne tarderait pas à te donner du boulot. Même si tu ne manquais pas d’argent, tu avais su placer et la jouer fine pour vivre correctement. Il t’arrivait d’ouvrir cette mallette qui trainait au fond ta penderie… Dedans on pouvait trouver de vieilles photos de ta famille maintenant éteintes. Tu n’avais pas eu de vie triste, excepter de les voir s’éteindre. Tu avais eu des parents… Tu n’avais pas connu cette sensation d’être élevé en centre et vendu au plus offrant. Tu avais vécu sereinement ta vie humaine, même si celle-ci s’effaçait un peu de ta mémoire à force. Les photos restaient, légèrement cornées et tes souvenirs laissaient place aux nouveaux.