Adam Tremblay [Terminé] 1zey
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Adam Tremblay [Terminé]
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Adam Tremblay

Tremblay Adam

L e silence est le dernier refuge de la liberté

Surnom


Aspic

Origine


Canada (Québec)

Race


Vampire

Âge


812 ans, transformé à l’âge de 40 ans

Naissance


26 octobre 1551 - Scorpion ascendant Poisson, signe lunaire Vierge

Groupe


Civil

Statut


Résistant

Métier


Fait des bouquets pour un fleuriste... Oui bon, est un fleuriste maintenant

Sexualité


Donneur

Avatar


OC trouvé sur pinterest

Apparence


Je suis arme. Je suis intimidant. Culminant le sol d’1m91, mon pas est d’une assurance pesante, d’un charisme qui éveille le désir. J’ai été forgé d’une musculature d’acier montant mon poids à 103 kilos. Je n’ai aucun geste superflus, et je suis dangereux, derrière ce calme, le sentez-vous ? Non, vous ne pouvez le sentir que si vous me voyez à nu, combien tout de mon être, de mes pieds à mes oreilles peut me servir à vous ôter la vie. Ceci a été mon premier emploi, devenu gravure dans ma chair. Ma peau est pâle comme un rayon de lune, et pourtant si vous y faites attention, mes cheveux sont bruns, épais, si lisses comme ceux des amérindiens, je les ai porté longs pendant un temps pour les garder actuellement mi-longs. Des sourcils sévères surplombent des yeux noirs, accentuant mon visage aux fossettes marquées, une mâchoire fine, anguleuse, j’ai le nez de mon grand-père. Mes fines lèvres ne sont pas habitués à s’étirer en un sourire, les rides au coin de mes yeux ne viennent que de ma quarantaine signant la fin de ma mortalité. Je ne suis pas imberbe, les poils courent sur ma peau ci et là sans que je ne cherche à les dompter et sans qu’ils ne m’incommodent, ces derniers ayant opté pour la modération. Je suis taillé de façon solide, hanches étroites, corps musclés mais carrés, je ne suis pas dans les formes rondes. Je suis anguleux de la tête aux pieds, je ne suis pas dans une volupté. J’en impose, tout simplement.

Le noir, c’est ma couleur, ce n’est pas surprenant et c’est très bien. Le noir, c’est passe partout, c’est neutre, ou accentue mon côté ténébreux. Je ne porte pas de couleur. Je me passe autant que possible des costumes, je préfère le moulant d’un jean en cuir, ou d’une combinaison tout terrain, la simplicité d’un tee-shirt ou d’une chemise. Je ne m’encombre pas de bijoux ou autre accessoire superflus, je respecte mon corps qui est indemne de piercing ou de tatouage. Je peux même donner un côté particulièrement austère, si je n’ouvrais pas quelques boutons de chemise. Une cicatrice orne mon aine gauche, vestige d’une erreur de ma jeunesse parmi les iroquois sévèrement puni par le meilleur guerrier de la tribu. Ah et je déteste le gel dans les cheveux, ou de sentir le collant de crème sur mes doigts, ou d’une quelconque matière, un index et pouce qui collent l’un contre l’autre ? J’abandonne tout pour aller me laver les mains. J’ai un petit secret, j’adore les chaussettes québécoise en laine aux divers motifs dignes d’un pull de noël, j’en ai une collection, noires, grises et blanches dans mes tiroirs, ou plus exactement… J’avais.

Personnalité


Le silence est le dernier refuge de la liberté. Et ô combien j’y tiens à cette liberté chérie. Mais suis-je réellement libre ? Oui. Je suis seul maître des chaînes qui m’entourent, et de qui peut penser un temps les tenir. Je ne dis rien mais je pense beaucoup, j’anticipe, je planifie. En soit, je suis très efficace dans bien des domaines, je n’apprécie pas le travail bâclé et je n’abandonne pas face à la difficulté. Je suis de silence. En suis-je d’or aussi ? Je n’en sais rien, peu m’importe. Je savoure d’être la présence ténébreuse et qui avance sur l’eau d’une opaque noirceur sans faire la moindre vaguelette. L’invisible en est mon monde. Et si l’attention vient sur moi, je me fortifie, je ne laisse rien transparaître. Je suis l’inconnu dans l’équation, difficile à trouver, à percer à jour et pourtant d’une importance cruciale. Si je suis dans le jeu, il est rare que l’énigme se résolve sans moi. Je suis sur l’échiquier non pas la Reine mais cette Tour, souvent oubliée, ou crainte, et qui ne s’écroule pas si facilement. J’intimide, consciemment ou pas, je m’en arrange pleinement. Pour me connaître, toquer à la porte ne suffit pas, il faut résoudre un lot d’équations, je vous offre une pièce de moi, de ma vie, à découvrir pour vous mettre à nouveau face à une autre porte blindée avec ses nouvelles épreuves. A ce jour, personne n’a atteint mes dernières portes blindées, pas même mon Créateur. Je suis l’Enigme, détentrice de tant d’informations et de secrets, aux raisonnements intelligents et redoutables. Oui je crois pouvoir le dire. Je suis de silence. Je suis d’or.

L’or qui se fait désirer, caché dans les fonds sous-marins vieillissant de tant de millénaires, faunes et flores changeantes, bien enfermé dans ce coffre dans cette épave qu’est devenue ma dernière vie que j’ai sabordé moi-même. Traître ? Mon coeur se déchire de ma traîtrise, ce n’est pas ce que je suis derrière les apparences trompeuses, et dans cette disgrâce, je veille à protéger mes proches, abandonnés sous les vestiges d’un symbole de force d’ordre et d’autorité. Abusif ? D’un point de vue oui. Ne le suis-je pas aussi ? J’ai l’oeil partout, je vois, j’écoute, je m’approche le plus possible de cet état de « Je sais tout ». Je cultive ma valeur, et sans lui en donner la moindre utilité, j’accumule comme certaines personnes vivent au milieu de leurs collections et objets divers encombrants leur quotidien. Je suis obsession pour ce qui dénote de  ce film noir et blanc, parfois légèrement teinté de gris, qu’est ce monde. Je cherche ces couleurs virulentes, passions et âmes tumultueuses, je le cherche Lui. Ma proie. Il est à moi. Mes proches sont à moi. Mes motivations sont miennes et ce que je touche loin de mon impassibilité apparente n’est qu’à moi. Possessif. Je suis un stalker et un espion qui excelle dans l’art d’ôter la vie sans état d’âme.

Gardez donc vos guerres de pouvoir, vos ambitions futiles, je n’en ai cure. Elles ne sont que passagères, tout finit par tomber un jour, et rien ne vous protège de finir empalé sur un pieu à avoir trop cherché à jouer aux dieux. Je suis le bouclier de ceux qui ont montré un éclat rempli de couleur, au goût d’un nouveau mélange de saveur ou ce souvenir ancien et doux de la tire d’érable. Rien n’est plus efficace que mon blindage pour cela, je suis constant et fidèle, je ne me détourne pas de mes proches pour un oui ou pour un non. Et ce même si je suis loin d’eux, je suis la présence qui, résidente des ténèbres, est là, prête à les en faire sortir s’ils y tombent contre leur volonté. Je suis de loyauté. Je le sais, je n’ai pas à le justifier. Le doute glisse sur moi, sur ma présence qui malgré moi d’une passion sombre, qui attire le regard et tout en paraissant toujours de mauvaise humeur, je m’impose et je plais. Surtout, ne faites pas l’erreur de croire que je vous snobe, ou que vos propos m’indiffèrent, je vous entend, je vous écoute, et je ne suis pas celui qui vous coupe la parole, et qui d’un regard sait vous faire vider votre sac.

Je suis le gris, j’oscille au gré des secousses donnant tel élan à ma vie puis plus tard un autre à l’opposé. Mitigé ? Oui, je l’ai toujours été. Je ne suis pas pour autant fade, à ceux qui ont connu mes mains parcourant leurs formes et mon regard saisissant savent à quel moment mon indifférence laisse place à un été caniculaire de sensations. Rappelez-vous de ma possessivité, ce qui est mien doit le rester. Ce que j’offre, sans compter, sans raison, c’est à vous. Et jamais je ne viendrai vous le reprendre sous aucun prétexte. La main qui ôte la vie peut très bien être sur le coeur, en toute générosité.

Histoire




Chaque homme a ses origines, on peut les renier autant que l’on veut, elles sont ancrées en nous et ce ne serait que déni que d’affirmer qu’elles n’ont plus rien à voir avec ce que nous sommes devenus. Rien que par notre décision de s’évader loin de nos origines, elles nous définissent en conséquence par ce choix. Je n’échappe pas à la règle. J’ai connu mes premiers pas sur l’île de Montreal, plus exactement à Hochelaga, parmi les Iroquois. Mon père était le neveu de Jacques Cartier, resté sur place en échange des deux fils du Chef Iroquois amenés en France par l’explorateur. La fille du Chef avait craqué pour lui, et au grand damne de son père, le mien l’a mise en cloque. Mon père en perdit son scalpe et la vie, et moi, on peut dire que j’ai eu de la chance de voir le jour. J’aurais pu finir jeter au gré du courant ddu fleuve Saint-Laurent comme un vulgaire chaton dont on ne voulait pas. Les larmes de ma mère attendrirent son père, c’était l’histoire qu’elle me racontait. De la tendresse ? Je n’en connus pas par la suite. J’étais petit-fils du Chef mais enfant d’un blanc et de ma peau, aucune trace de l’héritage de peau rouge, mais mon air sévère rappelait grandement mon grand-père tout comme mon nez et ma mâchoire. Mes yeux étaient ceux de ma mère. J’ai grandi en vivant dans leurs coutumes, la moindre de mes erreurs étaient bien plus vivement réprimandés, je ne pouvais espérer avoir une haute place dans la tribu mais je devais me surpasser bien plus que les autres papooses. Je n’avais pas le choix si je voulais survivre. J’ai endossé ce visage d’Hilokoa selon les pêcheurs basques de Cartier, devenant plus tard Iroquois en plus francisé. Hilokoa veut dire « les tueurs ». J’en suis devenu un, forgé à la dure et à l’exigence, à ne montrer aucune pitié pour ceux qu’on me désignait comme l’ennemi. Je n’étais plus qu’une arme, un assassin pour soutenir ceux reconnus comme valeureux guerriers de la tribu, et je contemplais le temps me durcir, faire apparaître mes premières rides. Pour récompense de mes actes, on me proposa plusieurs fois la couche d’une des femmes volontaires de la tribu, je n’y prenais aucun plaisir, la récompense était corvée pour moi pour faire valoir les apparences là où je chérissais dans mes pensées des formes bien plus masculines, et des corps à corps bien plus musclés.

Vint cette nuit où avec les chasseurs, je retrouvais un homme mort vidé de son sang. D’autres suivirent. Les guerriers se joignirent aux chasseurs pour trouver la menace, et ils trouvèrent ces deux hommes. Puissants, dangereux, de véritables prédateurs. J’étais resté dans l’ombre car la sagesse de ma quarantaine d’années, de mes rides au coin des yeux et de mes fossettes marquées me dicta de montrer du respect à cet être sans sourciller devant la vision de ma famille adoptive empalée sur des pics. La mort m’étreignit sous ses crocs, pourtant loin d’être définitive, elle devint éternelle et m’offrit une autre perspective de la vie, une forme de liberté où seul le soleil m’imposait une cage le jour. J’obtins une nouvelle famille adoptive, mon créateur du nom de Vladimir Tepes et son compagnon Mathias, des grands noms que j’appris à connaître, je les ai suivi pendant une cinquantaine d’années avant de revenir sur mes terres natales. Ce n’était pas par nostalgie des Iroquois, c’était pour les paysages, ce rythme de vie au fil des humeurs du Saint-Laurent, et cette nouvelle ville Montréal. Je l’ai découverte et je l’ai adopté me faisant ma place dans son ombre nocturne, un prédateur qui se mélangeait à ce moment-là au milieu des mortels et sévissait là où les index, y mettant l’argent, pointaient. Au service du plus puissant chef de gang, j’ai continué d’être forgé, dans divers styles de combats. Une arme, on en prend soin et on y ajoute des améliorations, je n’échappais pas à cette règle. De cette vie, j’aimais mes balades nocturnes entre le calme d’endroits isolées ou dans la foule entêtante et bruyante, festive ou enragée, dans lesquels je tournais tel un vautour autour de mes cibles avant de m’abattre sur eux. Leurs points communs ? Personne ne faisait attention à moi. J’aspirais à avoir ma paix, exigeant dans mes relations ? Certainement. J’ai toujours eu un cercle restreint, quelques contacts dans le marché noir, loyaux et avec une certaine confiance, une toute petite poignée d’amis, et un amant ci et là. Tous des humains, je n’aspirais à en transformer aucun. Je me plaisais à être seul dans l’ombre, jusqu’à cette Guerre des Races que j’ai observée de loin aux côtés de mon créateur, pour finir par rejoindre cette Ombre qui fit son nid à Dornia.

J’étais curieux, et j’avais une mission. Oui, depuis cette guerre, j’étais devenu un observateur de ce monde, changeant. Prit-il véritablement une autre apparence ce monde ? En bien ou en mal ? Ce n’était pas à moi de juger, je commençais à le faire pourtant au fond de moi mais je le taisais, faisant ma place en bras droit du premier chef des Black Riders. Ce dernier ne fit pas long feu. Ah la trahison, je n’en ai jamais aimé le parfum et pourtant, au fil des années, je me suis retrouvé dans une situation quelque peu inconfortable, à teinter ma chère loyauté de quelques éclats de traîtrise. Reprendre la tête des Black Riders ? J’ai refusé. Je n’aspirais pas à être en pleine lumière, et elle existait bel et bien dans le marché noir. L’Ombre avait beau se surnommer ainsi elle était en plein dedans. J’ai servi, autant comme assassin redoutable que comme émissaire avec les gangs canadiens et québécois. Et un jour, il vint à moi, un autre messager d’une autre ombre menaçante de ce monde, Smugler. Je le connaissais et il me connaissait, enfin que de nom. Notre discussion, elle a embrasé les braises que je gardais au fond de moi, je ne dirais pas que j’en avais un feu ardent quand je me suis retrouvé à rencontrer Aedhan Taylor avec ses histoires de résistance mais j’étais plutôt pour. Un tantinet mitigé ? Bon, d’accord. Si quelque chose m’a fait basculé ? Le sang sur mes poings de Captain Australia, son corps frémissant sous moi le surplombant, et ce que j’ai pu entrevoir derrière sa rage de chien hargneux, derrière sa peur d’avoir trouvé un grand prédateur, les couleurs de son âme. J’en avais léché le sang sur ma main, un sang que j’ai décidé dès lors de chasser, silhouette sombre et invisible faisant son chemin entre les buissons jusqu’au jour où je cesserai la traque pour bondir sur ma proie, dans son dos. J’en ai abandonné l’air de rien mon contrat sur la tête d’Aedhan Taylor, oui je comptais le tuer quand Urian Lawrence s’est interposé, je comptais même proposer de mettre Smugler à la place de Taylor. J’ai rejoins la résistance. Non par grande conviction, mais pour en connaître bien plus sur mon obsession naissante. Et pour en savoir toujours plus sur ce qui se tramais en ce monde.

On peut le dire, j’ai mangé à tout les râteliers, le marché noir, la résistance, et un jour, sur un coup de tête inexplicable comme le diraient beaucoup de membres du royaume de l’Ombre, j’ai quitté ma vie d’assassin, ma grande réputation durement acquise, et à prendre le risque de payer le prix fort. On ne quitte pas impunément le marché noir. Pourtant, je l’ai fait, pour me retrouver maintenant au sein des Forces d’Investigations. Si je devais donner une raison ? Je voulais en savoir plus. J’ai tant d’autres motivations, je pourrais prendre mon temps de les expliquer, peut-être le ferais-je un jour, elles ont presque toutes le même aboutissement. L’information. Je m’attendais à de la méfiance, étais-je si doué d’être ainsi intégré soigneusement par le général Alexander ? Il a été ma première surprise, agréable, ce dernier ne s’est jamais contenté de mes apparences sombres, je n’ai jamais écouté les on-dits sur lui. Surveillant ce qui se passait avec l’Océanie, la résistance, et particulièrement Captain Australia, la découverte d’un secret liant les deux Captain m’a amené à tenir encore plus à Antony, il était une part de mon obsession, indirectement. Elle est là, profonde cette pensée que ce dernier ferait un grand résistant s’il n’avait pas tant de principes et une sainte horreur des attentats touchant ces citoyens. Je n’ai plus croisé de personnes avec un tel tempérament depuis tant de siècles, ce jeune vampire a l’âme chevaleresque d’un vieux vampire. La seconde surprise, j’ai du me la coltiner et la surveiller, et d’un genre si différent. Smith. Jess Kennedy. Par la force des choses, et j’ai décidément tendance à m’attendrir avec les mauvais tempéraments, j’ai finit par trouver amusant les emportements, parfois violents, de mon coéquipier. Sa paranoïa ? Je l’ai trouvé vite touchante. Je n’étais pas idiot, je me suis toujours douté que Smith me surveillait. Je n’ai jamais lâché le morceau de comment j’ai pu quitté le marché noir, je n’ai jamais cherché à savoir ce qu’Achille avait pu exiger pour le départ de Smith. Je veillais sur ces deux phénomènes, deux étoiles filantes pas aussi divergentes que j’aurai pu le croire et dont j’ai pu assisté de loin et de prêt aux collisions.

Maintenant, tout ceci est bel et bien finit. Qu’il est âpre le goût de ce chemin qui se dessine devant mes pieds, ces années passées dans l’armée me donnent l’impression de marcher sur un lac acide m’attaquant peu à peu la plante des pieds à chaque pas me rapprochant de ce marionnettiste hors pair, ce joker qui m’a laissé temporairement le luxe de découvrir une vie douce loin des assassinats, et qui m’appelle à ses côtés. Je dois payer mon dû. A la résistance. A Warren.
Ai-je songé de tenter le fait que je n’avais aucune obligation ? Oui, jusqu’à sa capture. Urian est là. Et je sais où. Je sais qui l’a en charge, ce roublard d’Honey. Non, ce n’est pas un hasard si j’ai croisé son chemin lors de l’attentat du Pentagone, et si je leur ai faussé compagnie, à lui et à l’Ange de Warren, non pas sur un coup de tête mais pour une raison précise pour laquelle je suis le seul détenteur.
Je suis mort, rien de nouveau, disons plutôt que je ne suis que cendres. Je marche pourtant, main dans les poches, droit vers cette vie de fantôme qui n’attend qu’une chose, en dehors de l’utilité qu’attend de moi Warren, de voir un Captain Australia accompagné Sneaky. Le mercenaire flirte ouvertement avec la résistance, ou plus précisément ce volatile au sombre plumage que j’ai mis à défaut dans sa mission, il viendra le moment où Captain Australia sera amené à rencontrer Warren. Et ce jour venu, je serai là.


Derrière l'ordinateur


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Adam Tremblay
Adam Tremblay
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Dim 15 Oct 2023 - 22:19
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Whisper

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Félicitations!

Quelle belle fiche et quel beau personnage Adam Tremblay [Terminé] 875491976 Il y en a un qui va avoir peur de se faire tabasser encore Adam Tremblay [Terminé] 823732230 Ou il craint peut-être la fessée Adam Tremblay [Terminé] 704484513
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Jeu 19 Oct 2023 - 13:25
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