Blaidd Sullivans, le loup aux yeux noirs  1zey
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Blaidd Sullivans, le loup aux yeux noirs
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Blaidd Sullivans

Blaidd Sullivans

La liberté est un mensonge, l'amour une illusion.

Surnom


L'Empereur.

Origine


Irlandaise.

Race


Vampire.

Âge


224 ans, transformé à 25 ans.

Naissance


15 avril 2 139 à 8h58 à Cork, Irlande. Bélier ascendant Cancer, signe lunaire Poissons.

Groupe


Civil.

Statut


Maître.

Métier


Acteur / Princesse.

Sexualité


Receveur.

Avatar


Jin Cheong Woo / Under the grenlight

Quel enfant étais-tu ?


- Numéro Trois ?
- Oui Monsieur !
- Quelle est ta couleur préférée ?
- Le jaune !
- Mauvaise réponse. Mettez-le en isolement. Amenez Numéro Quatre.

- Numéro Sept ?
- Oui Monsieur ?
- Préfères-tu cette petite voiture ou la moto ?
- Heuuu... La moto !
- Mettez-le en isolement. Amenez Numéro Neuf.

- Numéro Un ?
- Oui Monsieur... ?
- Tu aimerais qu'il fasse quel temps demain ?
- Oh... J'aimerais qu'il y ait du soleil, Monsieur ! J'adore le sol-
- Isolement. Amenez Numéro Cinq.

- Numéro Six ?
- Oui Monsieur...
- J'ai envie d'une bonne pizza, pas toi ?
- Non merci, Monsieur...
- Tu es sûr ?
- Hum... Alors je veux bien une pizza aux-
- Enfermez-le. Numéro Deux, viens là !

- Numéro Dix ?
- Monsieur.
- Si tu devais choisir, tu serais plutôt le loup ou l'agneau ?
- Je ne sais pas Monsieur.
- Allons, je t'ai posé une question alors réponds, Dix. Loup ou agneau.
- Loup, Monsieur ?
- Isolement. Il en reste combien ?
- Seulement Numéro Huit et Numéro Onze !
- Amenez-moi Huit.

Numéro Onze, c'est toi. Tu es petit, faible, rachitique, et terrorisé. Tu as entendu les numéros s'égrener au fil du temps, tu as vu tes clones passer cette porte en se succédant. Parfois ils ont la bonne réponse, parfois ils ne l'ont pas. Tu ne sais pas quelle est la bonne réponse, tu ne sais pas non plus quelles sont les mauvaises. La seule chose que tu sais, c'est que ceux qui ont la bonne réponse reviennent pour manger ou jouer avec vous autres, et ceux qui ont la mauvaise réponse sont envoyés directement en isolement. On ne les revoit jamais. Vous étiez quinze, il ne reste plus que toi. Petit à petit le dortoir s'est vidé, il y avait de moins en moins de tes clones à manger ou jouer avec toi. Peut-on vraiment dire que vous avez joué ? Non, vous vous contentiez de déplacer des pions d'échec sur le plateau sans en connaître les règles, d'ouvrir des livres sans savoir en lire les mots, de faire des boules avec la pâte à modeler sans imagination pour créer autre chose. Tu n'étais qu'un petit corps qui attendait d'entendre son nom pour savoir s'il allait rejoindre ou pas les autres dans cette fameuse cellule.

Le regard du vampire se pose sur toi, te transperce de part en part et tu retiens un sanglot paniqué. Il n'aime pas les pleurs. Il n'aime pas non plus les bruits de mastication, les pets et les rots malencontreusement échappés. Il n'aime pas que l'on tousse, que l'on renifle, que l'on chante et que l'on rit. Il n'aime pas qu'on se gratte la tête, qu'on mette le doigt dans le nez ou dans l'oreille, qu'on se frotte les yeux ou qu'on bâille. Il n'aime que le silence, et ne supporte que l'odeur âpre et prenante de la fumée épaisse se glissant tel un serpent sinueux sous la porte blindée de la cellule d'isolement.
- Assieds-toi, Onze. Je vais te poser quelques questions, et tu as le droit à une seule réponse. Je veux que tu te concentres et que tu me répondes ce qu'il te passe par la tête. Il n'y a pas de mauvaise réponse, d'accord ?
Tu ne sais pas quoi répondre qui ne le mettrait pas en colère, mais tu ne veux pas aller en cellule même pour retrouver tes frères. Alors tu hoches simplement la tête, en silence, et le vampire esquisse un sourire.
- Très bien. Alors, Onze. Comment vas-tu aujourd'hui ?
Tu as neuf ans et tu ne sais pas lire, tu ne sais pas écrire, tu ne sais pas compter. Tu ne sais pas jouer aux échecs et tu connais mal tes couleurs. Tu ne saurais dire la date de ta naissance, ou le nom de l'homme qui dirige le pays dans lequel tu te trouves. Tu ne sais rien, ou peu s'en faut, mais tu as hérité d'un don : tu cogites. Tu cogites vite et bien. Et puisque cet homme n'aime rien, alors pour lui plaire, tu n'as pas d'autre choix que de ne rien aimer non plus. Voyons donc s'il peut échouer si tu le laisses faire ses propres réponses.
- Est-ce important, Monsieur ?
Tu remarques aussitôt son sourire réapparaître, un peu plus franc.
- As-tu une envie particulière aujourd'hui ?
- Souhaitez-vous que je désire quelque chose, Monsieur ?
Son sourire stagne, s'élargit même à mesure que votre conversation avance mais toi, pauvre enfant, tu caches tellement tes tremblements que des gouttes de sueur trempent ta chemise pouilleuse. Les questions se succèdent de plus en plus vite, et son sourire est plus terrifiant encore. Alors qu'il te contemple, le regard brûlant et pétillant, tu te sens ignominieusement sale.
- Préfères-tu le bleu ou le rouge, Onze ?
- Votre couleur est la mienne, Monsieur.
- Lit ou canapé ?
- L'important est votre confort, Monsieur.
- Chat ou chien ?
- Seriez-vous heureux que je vous offre l'un ou l'autre, Monsieur ?
- Putain, tu me fais bander petit merdeux. Tu es fier de toi ?
- Êtes-vous fier de moi, Monsieur ?
- Je vais te montrer combien je suis fier de toi, petite merde.
Ses mains épaisses et caleuses se posent sur toi et déchirent avec hâte la moindre petite parcelle d'innocence que tu avais miraculeusement protégée jusqu'à maintenant. Tu as vaincu, mais à quel prix...

Quel humain étais-tu ?



Le clonage d'êtres humains est interdit, pour des raisons évidentes de morale. Pourtant tu as vu le jour, avec tes nombreux frères jumeaux, et te voilà aujourd'hui. Le scientifique qui t'a gardé sous sa coupe exploite au maximum le petit bijou que tu es : il puise ton sang, tes molécules, tes neurones. Il tente plusieurs fois de faire des clones à partir de toi. Il tente même des versions hybrides : toi en loup, toi en lion, toi en chat ou en tigre. Refoulant tes larmes au plus profond de ton être, de ta conscience, tu vois ces miroirs venir au monde et s'éteindre aussi vite qu'ils sont arrivés. Ce n'est que lorsque tu es seul dans ton lit, regard rivé au plafond, que tu te rappelles de toutes ces morts, de toutes ces pertes, et que tu pleures. Mais au fil du temps, alors que les humiliations et la peur se succèdent, tu as de moins en moins de larmes à verser.
- Onze ?
- Monsieur.
- Des amis viennent te voir aujourd'hui. Tu vas être gentil avec eux ?
- Voulez-vous que je sois gentil, Monsieur ?

Ces amis tu les connais bien, pauvre petit. Tu les connais sous toutes les coutures, d'ailleurs. Avant ils étaient simplement curieux de voir l'extérieur de la créature, ensuite ils sont devenus curieux d'en voir l'intérieur. Ils souhaitaient savoir où tu rangeais tes larmes, dans quel état est ton cœur, ce que tu caches au fond de toi derrière ton air affable et docile et tes grands yeux bordés de longs cils noirs. Ton corps a cessé sa croissance à 1m73, les efforts particuliers qui te sont demandés au quotidien l'ont sculpté d'une façon longiligne, presque froide. Marbrée. Tu n'es pas un lutteur, oh non. Tu n'es pas une brute épaisse, tu es une prostituée : démarche chaloupée, sensuelle sans faire exprès, tes gestes sont graciles et méprisants à la fois. Ton air hautain fait des envieux malgré toi, tu as beau les fusiller du regard ils semblent toujours excités simplement parce que tu poses les yeux sur eux. Le méritent-ils ? Si ça ne dépendait que de toi, certainement pas. Mais as-tu vraiment le droit d'avoir un avis sur la question ?
- Onze ! John a bien envie de tenter une partouze, il va venir avec ses potes. Fais le bonhomme et baise-les bien comme il faut surtout, il paie un supplément si t'arrives à tous les faire jouir !
C'est ce que tu es, mon agneau. Un corps nu posé dans un lit qui doit contenter ces messieurs sans donner son avis. Est-ce que tu aimes ça ? Tu n'en sais rien. Tu n'as plus d'avis depuis longtemps.

Tu as 24 ans lorsque des hommes armés déboulent dans ta prison et tirent sur tout ce qui bouge. Tu te contentes de rester assis sur le lit souillé de sperme, observant les soldats pénétrer la pièce et t'entourer en hurlant. Tu n'aimes pas les gens qui hurlent, mais en même temps ce son étranger à tes habitudes comble une part de toi. Monsieur déteste qu'on hurle. Bien fait pour lui. Tout compte fait tu vas peut-être aimer ça. Pour changer.
- Toi ! Ton nom !
- Onze, Monsieur.
- On... Onze ? Ca veut dire quoi, onze ?!
- Onze, ça veut dire qu'il y en a au moins dix autres à trouver, abruti. Fouillez partout !
Ton regard noir si froid, tellement indifférent se pose sur le soldat qui te fait face et qui te toise de toute sa hauteur. Il est aussi blond que tu es brun, ses yeux sont aussi bleus que les tiens corbeau, et il dégage plus de chaleur que, même humain, tu n'en as jamais émis. Tel un papillon de nuit attiré par la lumière, tu veux t'approcher de cette source de chaleur. Ta voix basse s'élève alors tranquillement, avec une indifférence claire pour le sujet.
- Tu veux que je te baise ?
Sa tête choquée et rougissante est un pur délice. Immobile tu le vois se détourner pour masquer sa gêne, il te fait signe de le suivre et il t'emmène jusqu'à l'hôpital, où tu apprends que l'un des esclaves que tu as baisés t'a refilé le sida. Décès assuré. Est-ce que cela te fait peur lorsque tu l'apprends ? Pas le moins du monde, parce que ce regard bleu posé sur toi est trop brillant pour n'être qu'indifférence à ton égard. Il fait le choix de te transformer, à ta grande surprise mais une part de toi est ravie : tu as tout le temps maintenant pour apprendre que ce marine est d'une pudeur divine.

Quel vampire es-tu ?



- Tu ne peux pas t'appeler Onze.
- Pourquoi ça ?
- Parce que c'est à chier. Il te faut un nom et un prénom.
- Alors... William Stanford.
- Mais t'es con ou t'es con ? C'est moi qui m'appelle comme ça, tu ne peux pas t'appeler comme moi !
- Pourquoi ?
- Parce que chacun doit avoir son propre nom et son propre prénom, c'est tout. C'est comme ça.
- Il y a pourtant plein de gens qui s'appellent William, non ?
- Oui, bien sûr, mais-
- Et il y a plein de gens qui s'appellent Stanford, non ?
- Sûrement, mais-
- Alors pourquoi je ne peux pas m'appeler aussi William Stanford ?
- Mais parce que je viens de te dire que ça ne se fait pas !
- Je ne veux pas d'autre nom. Je veux m'appeler comme toi.
- Tu ne t'appelleras pas comme moi.
- Je veux m'appeler William. William Stanford.
- Choisis autre chose.
- William Stanford.
- Putain, Onze ! Continue et ça va mal se finir !
- Stanford. William.
- Tu l'auras voulu. Je vais te baptiser Frosties.

- Eh Frosties, t'as vu mes flingues ?
- ... Je n'aime pas Frosties. Je veux changer de nom.
- Ah ouais ? Fallait y penser avant de me faire chier.
- Je peux te baiser ?
- Je croyais que tu n'aimais pas ça.
- Mais avec toi ça va. J'aime les petits sons que tu fais quand je te-
- Garde. Tes putains. De commentaires. Pour toi.
- Ah, j'aime aussi quand tu rougis.
- Frosties. Ta gueule.
- Tous les seals sont désagréables ?
- Ouais.
- Pourquoi ?
- Parce qu'on bouffe uniquement des grains de riz et qu'on se branle avec des brosses à chiottes.
- C'est vrai ?
- Nan Frosties. Ca s'appelle de l'ironie. Rends-moi mes flingues ou je te tabasse avec.

Ton créateur est du genre particulier. Tu ne peux pas dire avec exactitude qu'il t'aime ou te déteste, si ta compagnie le dérange ou si au contraire lui fait plaisir. Il a toujours été un mystère pour toi mais aussi celui qui t'a tout appris : la lecture, l'écriture, les chiffres et les nombres, le calcul, l'Histoire, les mathématiques et les sciences. Tu as découvert tant de choses grâce à lui, et fort heureusement aucune de ces choses n'avait de lien avec le seul domaine que tu maîtrisais : le sexe. Et puis, surtout, tu as découvert ce qui deviendrait le centre névralgique de ton existence : le théâtre.

Tu aimes le théâtre. Tu aimes ça parce qu'on ne te demande jamais de baiser quelqu'un. T'orienter vers le cinéma est devenu presque obligé lorsque tu t'es rendu compte que les gens préféraient le cinéma au théâtre. Tu as vite fait ta place, d'abord en te lançant dans ce que tu maîtrisais, le porno, puis en essayant autre chose. Ton don naturel pour savoir interpréter, incarner, et jouer un rôle te propulse rapidement sur le devant des films, des écrans, des affiches. Naturellement tu as souvent des rôles de personnages sombres, mystérieux, qui font peur et excitent en même temps, mais ça te convient. De toute façon tu ne sais pas ce que tu aimes, ce que tu n'aimes pas. Certains disent que tu n'aimes rien, d'autres assurent que tu aimes tout. Dans les deux cas tu n'as pas de préférences, et lorsqu'on n'a pas de préférences alors on ne peut pas vraiment dire qu'on a du goût. Bon ou mauvais.
- William ?
- Ouais Frosties.
- Mon agent dit qu'il me faut un prénom.
- Sans blague.
- Pourquoi pas "Loup" ?
- Pourquoi Loup ?
- Je veux être le loup, pas l'agneau. J'en ai marre qu'on me mange.
Le blond t'a regardé en arquant un sourcil mais n'a pas relevé et s'est contenté d'hocher la tête.
- Essaie une autre langue. Wolf, c'est pas fou.
- Tu connais une autre langue ?
- Pourquoi pas Blaidd ? Bon, c'est gallois mais au fond, ça reste britannique.
- Blaidd... Ca sonne bien. Blaidd Stanford.
- Ah non, tu ne vas pas recommencer !
- Mais alors quoi !
- Cherche autre chose !
- Un nom gallois ?
- Pas forcément, un truc gallois, ou écossais, ou même italien pour ce que j'en ai à faire.
- Mais je n'ai pas d'idée. Alors Stanford.
- Putain Frosties, je vais te faire bouffer tes pompes.
Finalement, ton nom de famille s'est imposé assez naturellement pour toi : pour un irlandais tu es terriblement brun, et il s'avère que justement les irlandais bruns, ça a existé : d'aucuns se sont baptisés Duff, qui signifie "sombre" lorsque d'autres ont préféré "Sullivans" qui signifie "aux yeux noirs". Une chance pour toi tu cumulais les deux, mais ton créateur avait refusé obstinément que tu t'appelles Blaidd Duff Sullivans Stanford. Alors tu n'avais gardé que Sullivans.

- William ?
- Ouais Frosties.
- C'est quoi ta couleur préférée ?
- Le bleu.
- Pourquoi ?
Ton créateur t'a regardé fixement, sans la moindre lueur moqueuse au fond des yeux, tandis que tu es apparu dans le salon vêtu d'un gros peignoir sombre et une serviette sur la tête. Même ça, ça fait détourner légèrement le regard de ton si pudique ami.
- Alors, pourquoi ? Le rouge c'est bien aussi, non ?
- Sans doute.
- Alors pourquoi tu préfères le bleu ?
- Parce que le bleu, c'est à la fois l'eau et le ciel, la mer et le ruisseau. C'est la vie et la mort, le calme et la tempête. C'est la confiance et la peur. Quand tu es en pleine mer, entouré de bleu où que tu regardes, tu es en confiance. Mais il suffit que ce bleu change un peu, juste un peu, pour que tu aies peur. Ce bleu que tu aimes devient foncé, et alors que tu croyais connaître l'océan et ses mystères tu te retrouves à te demander ce qu'il se passerait si tu tombais à l'eau. Quelle créature viendrait te dévorer. Tu sais qu'il suffit de nager pour s'en sortir, tu sais que les monstres n'existent pas et pourtant, dès que ce bleu s'agite, tu dégringoles jusqu'en bas de la chaîne alimentaire. Ce bleu il te nourrit dans un délicieux chocolat, il apaise tes blessures avec un désinfectant, il sèche tes larmes en un thé aux agrumes ou il te réchauffe et te délasse avec une bonne douche chaude. Le bleu fait du bien, tranquillise, repose et en l'espace de quelques secondes il te tue et réduit à néant tout ce que tu possédais. Voilà "pourquoi" le bleu. Et toi, c'est quoi ta couleur préférée ?

Tu as décidé que c'est le bleu. Tu n'aimes rien, tu es une capricieuse, une diva, un connard arrogant et égocentré. Oui, tu as choisit d'être comme ce bleu : tantôt calme, affectueux, et l'instant suivant tumultueux et destructeur. Tu n'étais rien, et ce jour-là avec un seul mot ton créateur a remplit une part de toi. Tes fans te connaissent sous le surnom d'Empereur, pour les services publiques tu es le Loup aux yeux noirs, et pour tous tu es tout simplement Bleu.

Derrière l'ordinateur


Je s'appelle Groot !

Recensements


click sur moi:
Blaidd Sullivans
Blaidd Sullivans
Vampires Intermédiaires
Race : Vampire
Age : 224 ans
Statut : Maître
Métier : Acteur / Princesse
Créateur : William Stanford
Progéniture(s) : Aucune
Amour(s) : Aucun
Âme & Légende : Ma fiche
Sam 14 Oct 2023 - 19:11
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Hopper

Félicitations !

Tu es validé! Alors va petit Brun à l'âme bleu et aux dents de Loup qui a besoin de découvrir les vraies saveurs de la vie. De te trouver! Blaidd Sullivans, le loup aux yeux noirs  1208725972
Personnage très original qui promet d'être haut en couleurs Blaidd Sullivans, le loup aux yeux noirs  333750639

Avant de te lancer


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Hâte de te voir jouer ! ♥

Hopper
Hopper
Staff de Vampire World
Gif : Blaidd Sullivans, le loup aux yeux noirs  Giphy
Race : Lièvre (de Mars)
Amour(s) : Thé ! **
Âme & Légende : [url=lien vers ton âme]Ton texte ici[/url]
Mar 17 Oct 2023 - 18:02
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