- 330 ans, américain né à Chicago, Lieutenant de la IV, pilote (avion de chasse, avions militaires, jets privés, avions de tourisme, hélicoptères).
- brun aux yeux bleus vifs, un regard affirmé et communicatif, des cheveux souvent repoussés en arrière et modelés en pics.
- 1m80, corps entretenu et musclé, un tatouage suivant ses clavicules, Strength & Honor avec les ailes de l'armée de l'air en-dessous soulignant les mots.
- adepte des pulls sans manche à col roulé, mettant en avant ses bras musclés et des jeans moulants.
- passionné et dévoué (pour Vice, pour son boulot, pour protéger ses "fistons").
- un passé douloureux, torturé entre vengeance et principes. Les principes gardent le dessus, droiture et justice, un coeur à la flamme ravivée par Vice.
- joue de l'harmonica et a la main verte.


   


   
- Knockin on heaven’s door : Cole le rejoint à l’aérodrome, et s’il semble sur le point de passer à autre chose que de l’amitié, ce fut un échec, Antony finissant par reculer une fois chez Cole, réalisant se tromper, et à ne pas savoir s’ouvrir à lui.

- Runnin’ cause I keep runnin’ : Une surveillance d’un possible lieu de rencontre de la Résistance, deux libres suspects suivis en forêt pour tomber sur Selm, un hybride sauvage qu’il blessa mais abandonna dans la forêt, ne pouvant le ramener avec les deux autres, les intempéries s’y mêlant. Un sentiment de culpabilité, à revenir une fois finit au QG mais l’hybride fut introuvable.

- Trouvez-moi le connard qui a volé mon tupperxare : Un appel, une mission, Antony arrive avec son équipe chez le Leader dont la cuisine a été saccagée. A tenir à faire son travail, tout ce qu’il fallait, au point qu’il se fait avoir et se retrouve avec le Leader sur les bras chez lui.

- Tu seras bienvenu chez moi : Suite avec l’arrivée chez Antony, une discussion inattendue, à cœurs ouverts, à commencer à se connaître et à apprécier la véritable facette de l’autre, et était-ce un trouble du Lieutenant avant d’aller (fuir) s’occuper de ses plantes ?

- Memorial Day : Un défilé, du monde, et un attentat, Antony a tenu bon avec ses collègues, à encaisser le choc et les blessures, détruire des lampes UV après l’explosion, organiser ensemble les secours et l’évacuation, transmettre les ordres de Vice. Et déjà, songer à retrouver les coupables.

- L’union fait la force : Antony transfère à l’AE deux sauvages interrogés à la IV dans le cadre d’une enquête sur la Résistance. Il tombe sur le Lieutenant Mikkelsen avec qui il a bien collaboré lors du Memorial. Une discussion sur le rapport transmis au Capitaine, avec la découverte d’une planque de la Résistance au Marché Noir, il savait pouvoir compter sur son collègue Lieutenant, si seulement il n’avait pas été muté.

- Wars of Faith :  Enfin, Antony a retrouvé la trace du suspect principal, Hannibal alias Ange Shel’Darynn, ni une ni deux, avec un de ses hommes, il se rend à la demeure de ce dernier. Une arrestation musclée et une tentation de tuer par vengeance le terroriste, mais non, Antony resta droit sur ses jambes et principes, l’embarquant au QG.

- L’indien, le loup et le milicien : flashback juste après l’attentat du Memorial, Antony va interroger Daïto Maikan, victime d’un tir, mais très vite à se révéler fort suspect et peu enclin à coopérer et répondre. Un proche de Markus Nikolaïevitch qui, aux yeux d’Antony, a été le parfait appât pour isoler le russe loin de la surveillance. Et un indien aux arrêts, qui pourra appeler plus tard son avocat.

- This is the end : Rp faisant suite à l’arrestation d’Ange. Antony s’occupe de l’interroger. Provocations, froideur, révélations douloureuses sont de la partie. Antony finira par user de l’hypnose, mais sortira éreinté et une blessure rouverte, le souvenir de Samuel souillé par les paroles du terroriste.

- Joyeux Noël, Monsieur le Leader : 9 mois que Vice et lui se connaissent, Antony cède à la demande de Vice pour se rendre à ce voyage pour Noël. Une parenthèse dans un château de glace, une évidence depuis quelques temps, et ce malgré l’apparition de la Bête, Antony laisse enfin libre cours à ses sentiments et cette attirance entre eux. Enfin, après 9 mois d’avances répétées de Vice.

- Photos Souvenirs : La Saint Valentin, le romantique Antony n’y est pas indifférent surtout quand il désire la partager avec Vice. Mais un appel, une menace de mort sur Vice et tout s’affole, à courir jusqu’à un hangar…. Pour retrouver celui qui savait tant l’atteindre, tous deux manipulés mais pour fêter dignement avec passion cette Saint Valentin, et un cadeau de Vice touchant fortement Antony. Vice s’abandonnant avec lui, se donnant à lui, peut-il enfin espérer que sa passion et ses sentiments soient pleinement partagés ?






- Je vous dirai tout : Flashback juste après l’interrogatoire de Daïto, Antony est donc retourné avec l’indien au QG, comptant rejoindre Gabriel qui interrogeait l’esclave Crown. C’était sans compter l’arrivée tempétueuse de Jess voulant tuer Daïto, deux lieutenants à vouloir le calmer d’une façon ou d’une autre et Louis, chauffeur de Markus, sachant mieux y faire. Le garde du corps et le chauffeur acceptent de témoigner et répondre aux questions, du boulot pour les deux Lieutenants, attention aux nerfs !

- Quand il faut y aller : Un appel, Markus qui était recherché qui montre un signe de vie, Antony qui était de service récupère donc cet appel destiné à Gabriel, de repos, et se propose pour prendre la déposition de Markus. Ils ont un proche commun, un ancien amant pour l’un, un protégé comme un fils pour l’autre, un ami pour les deux. Antony ne peut rester insensible à ce qu’à traverser Markus, à vouloir le soutenir, le faire parler et pourquoi pas changer les idées, surtout avec ces chevaux et ce cadre sublime.

- SOS écrit avec de l’air : Flashback juste après la fin de l’interrogatoire. Antony s’éclipse pour noyer sa douleur dans l’adrénaline d’acrobaties aériennes, à en faire peur à un Vice ayant reçu le rapport et inquiet pour lui. Vice qui sait trouver les mots, juste Vice, et le bien que ça lui fit. Fureur, douleur et pourtant passion et désir dans deux baisers mais Antony ne céda pas plus loin. Et pourtant, à se rapprocher considérablement, à discuter avec un café une fois le calme revenu, se connaître encore plus, sans barrière, des confessions naturelles entre eux.

- Si tu savais comme je rêve de te tuer : Un vol à l’arrache, un vol de caleçon, Antony en plein jogging intervient et rencontre ainsi la victime, William, nerveux vampire qu’il épaule finalement, prodiguant conseil sur comment se trouver et donner un but à sa vie. Et même s’il a songé à Ange Shel’Darynn sans le nommer avec ce qu’a subi William, il est loin de se douter qu’il s’agit du terroriste avec un nouveau visage, impossible à reconnaître, et à qui il vient de souffler l’idée d’entrer dans la milice pour se trouver dans la discipline et la rigueur du milieu.

- Wonder et Sinister, expédition pour les soldes : Une mission de reconnaissance avec Tuan, le Capitaine, en plein marché noir, incognitos et à tenir le rôle, suivre le dédales des rues avant d’atteindre leur objectif servant d’excuse de déplacement, un magasin d’armes sous le marché couvert. Tout se passera-t-il bien, surtout avec un détour dans un bordel ?

- Toc toc qui est là ? C’est la milice ordure! : Jasyn Ravencraft reçoit la visite de deux lieutenants de la IV, Gabriel et Tony. Tous deux se méfient de lui, et le suspectent d’être le coupable du meurtre de l’écrivain Leigh Standford. Si l’un est prêt à se faire plus charmeur pour discuter, l’autre ne compte rien laisser passer.

- Le dernier obstacle : Un entraînement pour les jeunes recrues de la milice, Antony leur fait faire un parcours de combattant et il se révèle être le dernier obstacle à affronter. Il veille particulièrement sur le furieux Maximus, des mots qui devaient être dit pour ce milicien en qui il croit, capable de devenir un bon élément de la milice.  A le faire extérioriser ce qui ne va pas, le soutenir, et prêt à l’accompagner dans l’entraînement, après avoir géré le soucis d’un stalker.

- C’est l’histoire d’un lampadaire et d’un meurtre : Un meurtre en plein centre ville, Antony est appelé et est d’équipe avec Arlen avec qui il se rend sur les lieux pour retrouver le coupable désespérément accroché à un lampadaire.

- Quoique je fasse, où que tu sois, rien ne t’efface : Un voyage avec Vice, autant professionnel que privé, Antony a réussi à le convaincre de prendre l’avion, heureux aussi de le voir enjoué de retourner déjà en Europe. Ils atterrissent à Strasbourg, pour retrouver le Leader d’Europe hébergé chez le Leader de la Ville  qui se révèle être Georges, le Créateur du Lieutenant. Une tension entre les deux, et Vice, que fait-il donc ? A faire des avances sous-entendues à son Créateur, devant lui ? Un séjour qui promet en rebondissement.