Nathan Mattias Romano 1zey

Nathan Mattias Romano
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Nathan Romano

Romano, Nathan Mattias

Je ne suis sous aucune obligation de faire du sens pour qui que ce soit

Surnom


Nate pour certain ;
Mattias pour la majorité ;
Don Romano pour le marché noir;
nom de code : Reaper

Origine


Franco-italienne

Race


Vampire

Âge


305 ans, 30 ans lors de ma transformation

Naissance


18 mai 2058

Groupe


Maître

Statut


Marché noir

Métier


Parrain de la mafia italienne

Sexualité


Indifférent

Avatar


OC de Al-art anime sur Pinterest

Apparence


Vos yeux ne vous suffisent pas, mes chers?
Eh bien, contentons votre imagination dans ce cas.
Laissez-vous bercer par ma voix.

Vous apercevez une silhouette svelte à la peau halée apparentant le 1m82. Sur le pavé résonne le cliquetis rythmé de bottillons noirs relevés de légers talons, sur lequel tombe un pantalon de la même couleur. Élégante et distinguée, elle est proprement vêtue d’un veston et d’une chemise bordeaux, abordant quelques arabesques brodées d’un fil doré. Une longue chevelure de jais s’agite au gré du vent, faisant danser par le fait même la boucle d’oreille qui orne son oreille gauche judicieusement agencée à son habit du jour. D’une démarche assurée et déterminée, le dos droit de fierté et les épaules allégées, je me présente à vous. Mes yeux marrons, d’où se diffusent une agréable note vermeille, vous sondent. Si vous osez supporter mon regard sournois, vous apercevrez une courte cicatrice au niveau de l’arcade sourcilière gauche. Un sourire poli arpente la fine ligne de mes lèvres fourbes. Sous mon oreille droite, vous observerez les prémices d’un tatouage. Il glisse le long de ma jugulaire, traçant légèrement ma mâchoire fluide, passant sur ma clavicule pour prendre forme de mon pectoral jusqu’à mes côtés. C’est un cerisier japonais qui arpente ma musculature dessinée, signifiant la contradiction que j’incarne tout comme ma renaissance : la beauté et la violence, la vie et la mort. Dans mon dos, il s’agit d’un phénix qui débute de l’omoplate gauche jusqu’à mon flan.

Mes chers, au cours de cette brève présentation, peut-être auriez-vous noté le piercing qui traverse ma langue, l’ornant d’un rubis. Parlant de piercing, un Prince Albert agrémente mon gland d’un anneau en titane rosé.

Personnalité



Soyons réaliste, je vous prie. Nous savons, vous et moi, qu’il ne suffit pas que de quelques paroles pour cerner une personnalité. Sa complexité est sinueuse. Ses détours sont hasardeux. Désirez-vous tout de même vous aventurez dans la forêt sombre de mes pensées? Est-ce que la lumière de ce palpitant dans votre cage d’os survivra aux ténèbres hadales qui nous attendent dans les tréfonds de notre voyage?

Allons le découvrir mes chers.
Suivez-moi.

Au pied de l’arbre nourricière, source de vie et d’espoir, nous plongeons dans un gouffre sans fond. Laissez-vous bercer par la chute. L’inconnu nous serre dans ses bras. Ne sentez-vous pas la froide morsure de la peur sur vos entrailles? La folie nous chante sa mélodie. N’entendez-vous pas le cri sourd du silence? Les ténèbres nous entourent de ses terrifiantes tentacules. Ne les voyez-vous pas nous engloutir?

Alors que tous vos repères vous ont quitté, vos pieds touchent enfin le sol devant une petite porte. Bien trop petite pour vous. D’un pas pressé, vous apercevez un lapin blanc qui s’agite. Nous sommes en retard, mes chéris. Oui, très en retard. Dépêchons-nous. Soyons influençable, manipulable et flexible, rapetissons notre être pouilleux pour suivre cet étrange personnage dans sa course effrénée. La poignée tourne, le battant s’ouvre. Vite, vite. Le temps manque. L’angoisse comprime ce souffle dans nos poumons. Du seuil jaillit un océan qui nous engloutie. Complètement. Il nous frappe de plein fouet. Nous sommes soumis à son courtant qui noie nos sens. Savourez ce calme olympien. L’eau engourdit tous les sens. N’est-ce pas agréable de ne rien ressentir l’espace d’un instant? La peur, l’angoisse, l’excitation, la joie, la colère, la tristesse. Tout, absolument tout, nous quitte. La béatitude s’installe. Salvatrice. Mielleuse faux de la mort qui va nous décapiter sous peu. Le repos éternel est à notre portée. L’âme est mise à nue. Scintillante. Pure. Authentique.

Abandonnez-vous, mon tendre ami.

Soudaine, surprenante, frustrante, la surprise vous éviscère. L’eau à disparut. Vous respirez toujours. Et vous êtes nus devant une forêt aux milles couleurs. Je trace un fin chemin pour vous y guider. Le talon à peine relevé de vos pas avançant avec hésitation, la trace s’efface. Le moment tant attendu n’est plus loin. Le temps file toujours. Dépêchons-nous.

Pourquoi?
Où sommes-nous?

La conscience, outil censé pour offrir un sens à ce monde. Et s’il n’avait pas de sens? Et si ce sens, c’est nous qui le lui donnions? Et si, en fin de compte, tout est vain? Sans importance, sans fondement, sans but. Inutile. Futile. Que feriez-vous mes chéris?
Voulez-vous toujours plaire à votre voisin?
Voulez-vous toujours vous battre pour vos convictions?
Voulez-vous toujours devenir quelqu’un?

Douce est la berceuse des illusions, mais cruelle est sa morsure.
Qui êtes-vous, réellement, bel ami?

Le sablier s’est écoulé. Le temps à manquer. Et vous êtes passés à côté de votre Vie. Dommage. Nous n’en avons qu’une.
Mais… La lumière est toujours là. Faible. Palpitante. Fébrile. La voilà. Ce que nous cherchions. Notre fontaine de jouvence : l’immortalité.

Qu’allez-vous faire de votre deuxième chance?
Allez-vous manquer de temps? Encore? En répétant les mêmes erreurs? En vous pliant aux volontés d’autrui, en vous battant en vain ou en devenant ce quelqu’un futile et inutile?
Permettez-moi d’être témoin de votre déchéance, pauvre âme damnée.
Voilà qui je suis.

Assurez-moi, très cher, je ne vous ai pas perdu, si? C’est impoli de poser une question quand notre intellect n’est pas en mesure de suivre notre interlocuteur. Après tout, je ne suis sous aucune obligation de faire du sens pour qui que ce soit.  

Parce que je me sens l’âme généreuse, je vous offre une simplification.

Je raffole de littérature. Cela me permet d’assouvir une partie de ma curiosité insatiable et démentielle. J’aime voyager, que ce soit le voyage de l’esprit ou le voyage d’un pays à l’autre. C’est donc avec une joie marquée que j’ai côtoyé les peuples algonquins de la région de Québec. Ils m’ont ouvert à la notion intangible et surprenante qu’est la spiritualité. Notion que j’ai développé au fils de mes voyages autour du globe. La vie, pour éviter de passer à côté, je la vis pleinement. Je savoure les plaisirs simples et m’émerveille de notre symbiose avec la Terre. Chacun d’entre nous est responsable de son propre plaisir, de son propre bonheur. Ainsi, très cher, je fais ma loi comme je l’entends. Je m’adapte. Je suis flexible. Un vrai caméléon. Vivant au gré du vent, j’apprécie ma propre compagnie, et je n’ai aucune difficulté à laisser ma pensée tangentielle méditée d’elle-même sur un monologue. S’il en vient que mon âme soit chatoyée par votre présence, alors seulement je pourrais considérer votre présence agréable. Mon être n’a rien à cacher et ne craint rien. Si on peut me trouver bavard, je suis une tombe sur les sujets qui pourrait mettre en péril les miens ou moi-même. Je tiens mes engagements d’une main de fer. Quoique je suis bon négociateur et j’aime obtenir ce que je désire. Il m’arrive de modèle la réalité à mon avantage. Après tout, cela a-t-il réellement une importance? Qu’est-ce que la réalité hormis une panoplie de connexions neuronales pour comprendre ce qui nous entoure?

Ma colère? Évitez d’y goûter. Elle est terrible et violente. En plus d’être rancunière. Il en faut beaucoup pour la déclencher, mais pour votre propre bien-être, si je commence à être énervé, laissez-moi décompresser. Andréa en connait l’étendue, si jamais cela peut vous intéresser.

Histoire


Nous, simples pions pour les dés intrépides du destin, sommes remplis de contradictions vilement implantées par les évènements qui nous avons subi.

Je fus heureux d’un printemps à Gênes, pour le plus grand malheur des géniteurs. Turbulent, rebelle, énergétique et déficitaire d’attention, j’ai exaspéré ce grand Don Giovanni Romano. Adolescent à la recherche d’une identité, je l’ai cherchée dans les tatouages et les piercings. Faute d’un utérus défectueux, la Bella n’a pas pu lui donner un autre enfant. Fils unique et seul héritier possible, il m’a transformé à mes trente ans. Dix-sept années plus tard, joyaux des fruits de la technologie, Andréa est venu agrémenter la famille. Heureux d’un automne à Marseille, pour le plus grand bonheur des géniteurs et mon plus grand malheur.

Enfant prestige à l’intelligence fourbe et précise, il a pris ma place sans préavis. J’étais devenu risée, humilié et ignoré de mes pairs. Bouffon pour leur bon divertissement, chien de poche pour leur contentement et bon à marier pour s’en débarrasser et unir deux familles. Un objet, voilà tout ce que j’étais. Aussi manipulateur que le paternel et aussi mielleux que la mère, j’ai su m’attirer les bonnes grâces de mon fiancé imposé. Il m’a aidé à orchestrer l’assassinat du chef de ma famille. Andréa, cependant, je l’ai sous-estimé. Je n’ai pas pu l’éliminer. Il a donc remplacé mon père. Devant sa cruauté et son intransigeance, j’ai emménagé temporairement dans le domaine familial pour soutenir ma mère, seul être qui me considérait un minimum. Maltraitance et abus psychologique, c’était sa façon de nous démontrer son appréciation. Incapable d’en supporter davantage, j’ai commis l’irréparable. Je l’ai menacé ouvertement avec véhémence. Résultat? Trois jours et trois nuits attachés à son trône par une laisse épaisse. J’ai essayé d’aboyer, mais je n’ai récolté que diverses formes d’humiliation publique. Pourquoi lui avoir obéit malgré ma force supérieure? Ses prunelles condescendantes et intimidantes m’ont toujours tout arrachées : mes convictions, ma foi, ma vie. La rage, pernicieux serpent qui étreint mes songes, a concocté une vengeance à la grandeur des larmes versées.

J’ai planifié un attentat sur notre famille. Tout détruire, c’était mon seul but. J’ai même tué celle qui m’a portée. Dommage collatéral. Il faut dire que j’étais obnubilé devant la jubilante détresse de mon cadet, couvrant mon âme d’une folie grandiose. Dans l’ombre, j’ai été son protecteur, j’ai été sa lanterne. Tandis qu’au grand jour, j’ai repris les affaires familiales. C’est au Québec, à Rawdon, dans un chalet, que je fuyais fréquemment mon mari et que j’ai planifié nos retrouvailles quelques années plus tard. D’une fine trace, je l’ai guidé dans ma forêt dépravée. Il serait à moi pour l’éternité. Ô mes chers, ce regard quand il m’a reconnu… ses affres infernales ont coulé dans les miennes dans une extase inoubliable. Sa docilité lorsque je l’ai transformé; d’une beauté majestueuse.

Le piano, la littérature, l’obéissance, la soumission, l’humiliation, le désespoir. Je les lui ai enseignés. À chaque opinion, réplique, claquement de langue, regard condescendant, soupire ou juste lorsque ça me plaisait, une punition l’attendait. Certaines d’entre elles furent physiques, découpant son corps en milles-et-un morceaux pour satisfaire ma curiosité de l’anatomie humaine dans sa globalité, et d’autres furent sexuelles, faisant de lui la prostitué de la famille mafieuse dans sa totalité. J’ai savouré les larmes sur ses joues, les cris stridents de ses cordes vocales et l’épuisement de son être si solide autrefois. Mon mari? Subissant ma déliquescence, il s’est suicidé, pauvre âme damnée.

Andréa a essayé de fuir à trois reprises. La première, je l’ai retrouvé aisément avec ce lien si unique qui nous relie. La deuxième, j’ai dû faire appel à de l’aide extérieur, palliant mon manque de temps et ses talents de dissimulation. J’ai tenu fermement à aller le récupérer moi-même, pour lui rappeler que je le retrouverai toujours, peu importe où il se cache. Habile penseur, la troisième fut la bonne. Il a appris. Je l’avais encore sous-estimé, et il m’avait filé entre les doigts.

Cela fait déjà 126 ans. Ma colère s’est apaisée, mais le retrouver figure toujours dans mes intentions. Je ressens toujours sa présence. Il est bien vivant. Un de mes oiseaux m’a soufflé avoir glané une élégante silhouette lui ressemblant dans la région de Dornia. J’y ai affaire justement. Disons-le, nos relations à l’étranger sont d’une importance capitale. Je ne suis pas inquiet. Avec mon consigliere, je sais ma famille entre d’excellentes mains. Il sait comment me rejoindre rapidement de toute façon.

Derrière l'ordinateur


TC o///o Toujours Jess. 29 ans. Et en forme o/
Chanson thème : Don't fear the reaper - Thom Rhodes

Recensements


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Nathan Romano
Nathan Romano
Vampires Intermédiaires
Race : Vampire
Age : 305 ans
Statut : Maître
Métier : Parrain de la mafia italienne
Don particulier : Plurilinguiste
Créateur : Giovanni Romano (décédé)
Progéniture(s) : Sethaniel Rawdon
Âme & Légende : Ma fiche
Mer 18 Oct 2023 - 3:31
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Warren Watanabe
Bienvenue à toi ! Nathan Mattias Romano 1208725972

Ne t'approche pas de Sethaniel, malotru ! :han:
Warren Watanabe
Warren Watanabe
Vampires Supérieurs
Gif : Nathan Mattias Romano F72acf05f286bcdbac31625ee4be918a35925b0c_hq
Race : Vampire supérieur
Age : 1791 longues années
Statut : Chef et fondateur de la Résistance
Métier : Fleuriste
Don particulier : Aura apaisante, aussi bien pour l'Homme que pour l'Animal (de par son statut de bouddha)
Créateur : Siddhartha Gautama, dixit Shakyamuni, ou Bouddha.
Progéniture(s) : Flipper, Dexter et Kenzo (pnjs)
Amour(s) : coeur à prendre (et à apaiser)
Âme & Légende : Mon histoire & mon intimité
Mer 18 Oct 2023 - 18:35
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Whisper

Bienvenue sur le forum


Félicitations!

Non mais voilà, mais que veux-tu que je te dise ? Fiche parfaite, évidemment ! Une histoire malheureuse qui en entraîne une autre, espérons que le serpent Romano va arrêter de se mordre la queue !

Va, file comme le vent mon petit ! Dornia n'attend plus que toi ! Nathan Mattias Romano 1619526248 Nathan Mattias Romano 1208725972

Avant de te lancer, tu dois :

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Whisper
Whisper
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Gif : Qui a été le vilain garçon ?
Age : 10 000 ans
Métier : Chieur
Mer 18 Oct 2023 - 19:11
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