Apparence

Un brun ténébreux, tu en es un assurément. Tu mesures 1m84 pour un bon poids de 87 kilos au vu de ta carrure à la musculature bien taillée. Ta peau est pâle rappelant les origines scandinaves du côté de ton géniteur, contrastant avec tes cheveux d’un noir digne du plumage d’un corbeau. Et qu’est-ce que ta chevelure est longue, les pointes venant chatouiller le haut de tes fesses ! Tu les portes que rarement détachés, principalement que dans ton intimité. Autrement tu les coiffes à vrai dire toujours de la même manière, en une longue et épaisse tresse que tu fais passer par dessus ton épaule gauche. Tes cheveux peuvent être un premier indice du sang amérindien dans ta lignée, en plus de ton nez aquilin et les traits marqués de ton visage. Tes sourcils sont naturellement plutôt bien dessinés et à amplifier un air froid et sérieux à ton regard. Parlons-en de tes yeux. Ils sont légèrement bridés, petite touche asiatique du côté de ta génitrice, peu expressifs. Pourtant, leur couleur, commande exigée par Bruce, est superbe, aux teintes très prononcées, à être qualifiée « yeux de la terre », le contour extérieur de l’iris commençant par un profond bleu, qui s’éclaircit, se dégrade en vert et passe du jaune jusqu’au marron au plus prés de la rétine ( comme ceci ). Le résultat serait d’autant plus flamboyant si tu y mettais plus d’émotions dans ton regard…
Ta pilosité corporelle est bien plus discrète que ta chevelure, à croire que tout a été mis au niveau de ton crâne. Peu présente au niveau de tes bras et de tes jambes, on la retrouve de façon modérée au niveau de tes pectoraux, puis sous ton nombril en une petite ligne rejoignant le touffu normal de ton pubis. Ta taille masculine est marquée, affirmée comparée à tes larges épaules, ton bassin lui est bien plus étroit.

Ton corps arbore des piercings, à commencer par tes oreilles, deux aux lobes et un à l’arcade, symétriquement. Ton dernier piercing est bien plus discret et intime, un guiche se trouvant naturellement au niveau du périnée, pile entre tes testicules et ton anus.
Si tu as des tatouages ? Evidemment. Un serpent gueule ouverte entoure ton bras droit tandis qu’ une araignée au corps de crâne trône sur ta fesse gauche. Peut-être un jour tu t’ouvriras assez à une personne à parler du pourquoi de tes piercings et tatouages, mais dans ta tête, c’est une chose qui n’arrivera jamais…
Oui, tu es très sombre et au look rock. Tu ne portes quasiment que du noir, des tee-shirts et débardeurs moulants avec jean ou pantalon en cuir tout aussi proches de ton corps. La ceinture, c’est toujours une obligation. Tu ne te sépares jamais de deux bracelets en cuirs, simples, à chacun de tes poignets. Tu as tes habitudes, si tu t’écoutais, tu porterais toujours la même tenue, toujours la même apparence jusqu’au moindre détail. Tu n’as aucun intérêt pour la mode et à changer ta garde-robe tous les 4 matins.

Et les autres ? Comment te voient-ils eux ? Tu t’en fiches complètement. Tu ignores tout les regards posés sur toi non par timidité, pudeur ou peur de ce qu’ils pourraient penser de toi. Juste que ça t’indiffère totalement. Mais eux, tu ne les laisses pas indifférent, beau ténébreux, ton corps, l’aura de ton physique ont joué dans tes petits succès en pornographie. Tu es alléchant, à en faire saliver plus d’un. Tu alimentes certainement quelques fantasmes. Le seul hic dans tout ça, c’est toi.   Ton tempérament. Tu broies leurs espoirs par ton indifférence et ta froideur.

La voix de Xander : https://www.youtube.com/watch?v=zpMfZPAc1kg (Chris Cornell)

Personnalité

Il y a une chose à retenir sur toi, Xander, tu es schizoïde. Longtemps, dans ta jeunesse, tu passais pour docile, effacé, timide, introverti, passif. Le vocabulaire du genre ne manque pas à la pelle. Tu n’osais pas t’exprimer qu’il disait. Ça finirait par venir qu’il disait.

La grande différence est que tu n’as rien à dire. Tu t’en moques. Tu t’en fiches. Plaisanter ou discuter avec d’autres ne t’apporte rien, tu n’y prends aucun plaisir et préfères grandement tes moments de solitude. Tu n’as pas envie de connaître leur vie, et encore moins toi d’être connu. Les échanges sociaux, c’est un poids conséquent pour toi qui a du mal à les comprendre. Au mieux, tu peux faire l’effort d’un mimétisme ou d’user des réactions ou codes sociaux au mauvais moment et mauvais endroit. Le plus souvent, tu ne fais rien, ça te donne plus mal à la tête qu’autre chose. Si tu te débrouilles dans le domaine professionnel, en dehors de ce cadre, tu bottes en touche ou offre cette froideur dont tu as le secret et snobes les questions et intérêts des gens.

Snobe ! Tu ne fais que les ignorer. Arrogant ! S’ils veulent. Tu ne te préoccupes absolument pas de ce que l’on peut penser de toi que ce soit en bien ou en mal, ça ne t’atteint pas le moins du monde. Froid ! Oui, tu es une âme froide jusqu’au bout des ongles, amplifiant ton indifférence. La froideur, au moins, c’est quelque chose qui arrive à percer dans ton regard, tes rares expressions. Tu en as fort peu, d’une neutralité froide la majorité du temps. Tes émotions, si tu n’en es pas exempt, elles n’ont pas la même intensité chez toi et surtout tu ne les exprimes à personne. Tu ne t’attardes pas à savoir ce que tu ressens. Tu as un si grand détachement de tout…

Alors oui, tu as ton côté fataliste, tu te résignes sans broncher aux imprévus et aléas de la vie. Tu n’aimes pas avoir d’emmerdes, tu ne les cherches pas et si les ennuis arrivent quand même, c’est comme ça. Il n’y a vraiment pas de quoi pousser papy dans les orties. Ouais, tu ne comprends décidément rien à tout le bordel et l’énergie que peuvent dépenser les autres dans leurs problèmes.
Et parfois, lors de tes bons jours, tu laisses entrevoir ton âme de blasé. A offrir autre chose que ta poker face qui te suit au quotidien. Histoire de faire passer le message en face que oui, ils ont vraiment réussi à te dépiter.

Te mettre en colère, voilà une chose rare, miraculeuse et que tu ne manifestes pas comme le commun des mortels. Tu ne hausses pas la voix. Tu ne claques pas de porte. Tu ne boudes pas. Tu ne frappes pas. Tu ne tapes pas du pied. Tu as une mimique étrange, ressemblant à une sorte de sourire grimaçant, comme si tu avais du mal à savoir comment vraiment sourire, et pourquoi. Un sourire flippant et à refroidir le coupable sans un mot avant que tu ne replonges dans ton indifférence.

Silencieux, tu n’engages jamais une conversation de toi-même, tu n’es pas exubérant d’onomatopées. Quand tu es seul, par contre, tu apprécies de chanter, souvent sans aucun fond musical. Il n’y avait que pour Brad que tu avais fait l’effort, à ton sens juste obéi et chanter sur scène. Et tu as tout du gars qui entre sans être entendu, à être remarqué que par pur hasard, et faire un peu peur au passage, c’est vrai. Mais tu t’en moques.

Avec ton détachement plus que marqué, tu as nourri un tempérament si calme, tu ne cours pas dans tous les sens, tu ne t’éparpilles pas, tu peux même être ailleurs, dans tes pensées, sur ton petit nuage, au milieu du tumulte citadin. Tu as cependant une attitude concrète et brève dans tes échanges dits professionnels ou pour passer les messages du marché noir. En fait, tu vas toujours droit au but sans détour. Ça écourte les échanges et tu n’as aucune passion à partager tes pensées.  Plus quelqu’un va te parler et plus ton indifférence s’en fait ressentir. Tu es un grand utilisateur de « Hm-hm » et « si tu le dis ».

L’effort ne t’est pas inconnu, il te vient pour tes rares proches. Brad. Tu as fait beaucoup d’effort pour lui. Tu as repris ce qui était à Brad. N’est-ce pas là une forme inconsciente d’exprimer ton affection et ta reconnaissance envers lui. Même si on te le demande, tu ne sauras pas toi-même pourquoi tu es reconnaissant. Tu n’as pas d’amis, ce qui s’en approche le plus, c’est Nikita. Alors des amants, petits amis ? Absolument pas. Tu en es totalement désintéressé.

Dans tout cela, est-il donc surprenant que tu sois créatif ? Dans tes tatouages, tes croquis multipliant les onglets de ta tablette graphique, et aussi dans ta voix chantante. Ça se ressent également dans les mises en scène de tes films pornographiques. Si les scénarios sont aux bons soin de Nikita, ce dernier ne manque pas de dire que tu finis toujours par y apporter ta touche, ta signature propre à toi. S’il le dit…

Histoire

C’est ta pause, et qu’est-ce qu’elle est bienvenue. Tes clients d’habitude ne parlent pas des masses pendant que tu t’occupes de les tatouer. Ils vont au pire pour les moins douillets et habitués raconter leur vie en quelques phrases ci et là. Il y a ceux qui s’endormiraient sur ta table et ceux qui préfèrent se focus à gérer la sensation de brûlure s’étendant et se mêlant aux piqûres répétées de ton dermographe. Et il y a les plus douillets qui chouinent rapidement, tu peux deviner qu’ils inspirent l’air profondément et bloquent le tout pour contenir leurs plaintes, qu’ils luttent pour ne pas bondir hors d’atteinte de ton engin de torture. Ces douillets n’ont pas le temps de papoter et leurs émois t’indiffèrent au plus haut point pour continuer ta tâche. Mais ce Peter qui passe ta porte, il n’avait pas sa langue dans sa poche, même quand il geignait, et il t’a harcelé de questions. Ce n’est pas un habitué, sinon il saurait que ça ne sert à rien de t’en poser. Tu n’y réponds pas. Et lui il n’a pas arrêté de se répéter. Tu n’es pas énervé, tu es fatigué, et un peu tendu d’accord, tu n’es pas à l’aise quand on veut t’imposer un échange. Ça ne t’intéresse pas. Peu de choses t’intéressent à vrai dire. Tu sors pour ta part par l’arrière de ta petite boutique, un vieux banc rénové par toi-même accueille ton postérieur et la flamme de ton briquet illumine ton pâle visage et allume le tube de nicotine juché entre tes lèvres. La ruelle arrière est de silence, sombre, et ça te va très bien. Etendant tes jambes devant toi, tu bascules la tête en arrière, contre le mur et lâche vers le ciel un nuage de fumée, le fixant d’un regard vide.

- Et d’où venez-vous, Monsieur Costner ? Votre nom, c’est vous qui l’avez choisi ? Vous savez que c’était le nom d’un célèbre acteur et producteur d’avant la guerre ? Ah mais vous avez quel âge ? Peut-être que vous n’en avez jamais entendu parler !

Tsss, tu ne lui avais donné que ton silence et un regard des plus froids. Ta vie est ta vie, pourquoi les gens ont besoin de connaître la vie des autres ? C’est quelque chose que tu ne comprends pas du tout. Maintenant que tu es avec toi-même, daigneras-tu faire cette petite promenade mentale ? Aller, et tu passeras à autre chose.
Donc, d’où tu viens ? De Dornia. Rien de passionnant de prime abord, tu n’as jamais songé à t’installer autre part qu’ici. Tu n’as aucune idée de quel acteur il parlait, ton nom, tu l’as eu de ton créateur, Brad. Il n’y a pas de signification ou d’histoire rocambolesque. Xander, c’est le prénom qui t’a été donné par Bruce, le riche vampire qui, en passant commande, t’a foutu dans ce monde. Sûrement un peu comme pas mal d’autres types, tu ne vois rien qui ne vaut d’être souligné et raconté autour de toi.

- Il est super chouette votre salon, c’est vous qui l’avez créé ? Qu’est-ce qu’il faut faire pour devenir tatoueur ? Vous faîtes des piercings aussi ? J’ai la progéniture de mon voisin qui cherche quoi faire, vous acceptez les stagiaires ?

Hm-hm.
Voilà. La réponse que tu lui as donné. Brève et très explicite n’est-ce pas ?
Ce n’est pas ton salon, enfin maintenant si. Avant, il était à Brad qui a décidé depuis de se la couler douce avec son compagnon en s’installant aux Bahamas. Il t’a refilé son ancien gagne-pain et tu en as fait ton propre petit bijou. Tu as appris aux côtés de Brad, gagné un peu de sous en tournant dans des pornos et tu t’es payé ta formation de tatouer perceur toi-même histoire d’être dans les règles. Tu es le successeur de Brad. Rien de plus. Les stagiaires, tu en as déjà eu, c’est une formation par la pratique, mais tu es sceptique, tirant sur ta cigarette. Etre tatoueur-perceur, ce n’est pas comme chercher un petit job comme serveur ou caissier, faut tout de même avoir du talent pour dessiner. Personne ne veut d’un homme bâton tatoué sur la peau. Si tu ne l’avais pas été, tu aurais continué dans le porno. Et si tu ne t’en sortais pas non plus là, et bien, tu aurais fait éboueur, tiens. Personne ne fait attention aux éboueurs.

- ...Et je lui ai dit qu’il pouvait bien m’amener avec lui, après tout ce que j’ai fait pour lui et ses beaux yeux. Vous savez, Monsieur Costner, vous avez des yeux canons, ils vous viennent d’où ? J’ai l’impression de vous avoir déjà vu quelque part… et votre serpent sur votre bras, mais où était-ce ? Ah ça ne me revi… Aoutch !
- J’ai bientôt fini.

Il avait fallu que tu arrives au moment d’accroître l’intensité de ton dermographe pour obtenir que des plaintes.
Ton index tapote sur ta cigarette et ton regard se perd sur les cendres chutant au sol. Tes yeux, c’est Bruce qui les a voulu. Tu as été sa première commande. Grand gagnant à la loterie Powerball, en plus d’une belle maison, d’un beau bolide, Bruce devait avoir un esclave qui a un petit quelque chose. Il voulait un mélange ethnique et des yeux très rares. Ton adn est majoritairement américain avec un peu d’amérindien, de chinois et scandinave. Il t’a récupéré à l’approche de tes 11 ans, te payant des cours de taekwondo et te balançant dans les arènes de combat par la suite. Bruce aimait les jeux, les paris, tu étais son faire-valoir à exhiber mais aussi une source de profit. C’était ce qu’il escomptait. Le Taekwondo ne fait pas tout et ton indifférence pouvait certes déstabiliser ou fasciner, tu n’avais pas la passion d’autres combattants. Tes défaites ont été plus que nombreuses face aux hargneux. Et Bruce avait dilapidé sa fortune, il se noyait dans les paris. Sa villa en Floride ? Vendue. Sa collection de voiture, plus qu’une. Il ne pouvait pas en venir à finir sans voiture et dans un appartement merdique. Alors, toi, non rentable à l’arène, tu le devins grâce à Brad.  
Peut-être est-ce là que ce Peter a vu ton tatouage mais il aurait vu l’autre sur tes fesses. Ou ton piercing.
Brad et les films pornographiques. Bruce t’envoyait à lui pour tourner dans ses films, tu te branlais devant une caméra en répondant à des questions, et en retour une liasse de billets pour ton maître. Tu t’occupais du cul d’un autre acteur ou donnais le tien, plusieurs liasses de billets plus juteuses pour Bruce. Il y avait d’autres esclaves dans une situation similaire, ou alors des vampires cherchant à gagner de l’argent rapidement ou à s’amuser, ou enfin qui avaient décidé d’être là et qui avaient eux le privilège de pouvoir en plus dire « hé je veux tourner avec un tel, il a l’air trop bon ».  Les esclaves, eux, ils obéissaient juste. Ce n’était pas gagné au début avec ton manque d’entrain évident, tu as connu toutes premières fois là-bas, rien de faramineux. Puis tu as appris à un angle différent, c’est juste un boulot comme un autre. Tu es serveur, on te demande un verre de vin, tu l’amènes. On te dit de faire le plombier fâché de ne pas avoir été payé, tu mets une fessée au vilain client et tu lui écartes les jambes pour prendre un paiement en nature. Tu es devenu habile de réponses toutes faites, ton physique de brun ténébreux peu expressif et bien taillé ayant son petit succès.
Tu reprends une taffe et tapote de ton pied contre le sol, tes jambes se secouant.
Bruce a finit encore plus dans la panade, il a perdu un gros pari dans tu ne sais plus quoi et s’en plaignant à Brad, à votre surprise à lui et toi, le tatoueur et producteur a proposé de te racheter à tes 30 ans comme son esclave pour une coquette somme d’argent. Brad, il t’a vu passer le temps à dessiner, il a vu quelque chose en toi que tu ne voyais pas. Il t’a fait entrer dans son monde. Tu l’aidais toujours en jouant dans ses films pornographiques, mais il ne te mettait plus avec n’importe qui, et tu participais à l’envers du décor, à voir ce qui se passait derrière la caméra. A tes 34 ans, tu es transformé par Brad, tu deviens officiellement son successeur et il prévoit déjà de convoler dans quelques années loin de Dornia. Tu t’es payé ta formation de tatoueur-perceur, tu as dis adieu au toi acteur dans les pornographiques pour être le bras droit côté production et tournage de Brad. Ton créateur voulait te bousculer, il t’entraîna dans les courses de voiture. Tu en fais toujours, derrière le volant, juste la route et toi, et personne à t’embêter à vouloir sympathiser.

- Et sinon, Monsieur Costner, vous faîtes quoi de votre vie ?

Oui, en dehors de tes deux métiers, il y a la course de voiture. Et la musique. Brad t’a fait rejoindre son petit groupe de potes, The Blackholes,  et tu es devenu chanteur de rock. Tu aimes chanter, bien plus quand tu es seul. Quand Brad est parti, tu as arrêté le groupe, à provoquer une grande déception dans le monde du rock et metal. Tu ne vois toujours pas pourquoi. Des chanteurs, il y en a à la pelle. Peut-être que Peter a vu une photo d’un concert donné à Dornia avec ton bras au tatouage de serpent et au bout ta main tenant un micro.
Et il y a aussi le marché noir.
Tu jettes à terre ta cigarette et l’écrase sous ton talon après t’être remis debout.
Un tatoueur-perceur, un salon dans le quartier pauvre, l’activité secondaire de production de pornographique, ça amène des liens avec le marché noir. Et toi, désintéressé, peu bavard, tu fais un bon messager entre les gangs et image neutre pour refiler des petits colis ci et là. Aussi, tu ne veux pas d’ennuis. Ainsi, les gangs et surtout la Rose Noire te laisse mener les petites affaires que tu as reprises.
Autrement, tu rénoves des meubles, tu as un véritable talent pour ça, tous les meubles de ton salon sont de la récupération. Une activité que tu peux mener dans ton garage, seul, peinard. Oui, tu penses que tu viens de résumer en gros tes seuls intérêts, tenir à flot tes affaires, gagner de l’argent pour tes petits loisirs individuels.

- Dîtes, si ça reste entre nous, ça vous dirait de boire un verre ensemble un de ces quatre ?
- Non.

Tu es un célibataire endurci, tu n’as plus été intime avec qui que ce soit depuis ton dernier film pornographique. C’était avec qui déjà ? Sullivans non ? Ton télé^hone vibre et tu l’extirpes de ta poche pour décrocher.
- Nikita…
- J’ai réussi à avoir Ross, il accepte le tournage pour demain soir avec Paxie. Mais il aurait préféré que ça soit avec toi à faire ton grand retour devant la caméra tu sais. Ou avec Blaidd Sullivans, j’en suis à ma vingtaine réclamation ce mois-ci de le faire tourner à nouveau dans le porno. Je crois que c’est son dernier film. On ferait un carton si on fait un film avec Ross, Sullivans et toi !
- Contacte Paxie qu’il soit là à l’heure cette fois.
Tu entends le soupir de Nikita qui n’insiste pas. Ton assistant, secrétaire et manager te connaît depuis le temps. Toi, il peut faire une croix dessus mais pour Sullivans, qui sait, ça n’est peut-être pas une si mauvaise idée. Mais tu y réfléchiras plus tard, ton prochain rendez-vous attend déjà quand tu retournes dans le salon. Et cette fois, tu sers ton outillage de perceurs.

- C’est pour le piercing septum cette fois ?

Ce n'est pas parfait, t'as qu'à pas être arrogant et snobe :han:
Mais je te valide quand-même parce que la glace c'est toujours rigodrôle à faire fondre

Va, mon petit, va ne pas te faire d'amis !

Avant de te lancer

- Tu dois remplir ton profil au maximum (avec des parties obligatoires).
- Faire une demande de maître ou d'esclave (ou pas si ton perso n'est pas intéressé) ici ou là.
- Faire une demande de RP ou répondre à une demande ici.
- Créer ton journal de bord là.
- Nous rejoindre sur Discord pour qu'on fasse connaissance par là !

Hâte de te voir jouer !