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<div class="fichePredefMTitle">Armand</div>
<div class="fichePredef">
<table width="100%" cellspacing="8px" cellpadding="0px"><tr><td colspan=width="50%"><div class="fichePredefimg">[img]https://i62.servimg.com/u/f62/13/93/89/38/rp__av11.png[/img]</div><td colspan=width="50%"><div class="fichePredefInfos">
[center]<div class="fichePredefSubTitle">Identité</div>[/center]
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[b]Age:[/b] 34 ans
[b]Surnom:[/b] [i]Le vampire sans quenottes?[/i] // [i]Armand l'amant?[/i] (votez dans les commentaires)
[b]Groupe:[/b] Esclave docile
[b]Nationalité/Origine:[/b] Canadien
[b]Orientation:[/b] Clairement dominant.
[b]Métier:[/b] //
[b]Race :[/b] //
[b]Signes Particuliers:[/b] Rien et pas une cicatrice à son compteur. Le talent.
[center]<div class="fichePredefSubTitle">Derrière l'écran</div>[/center]
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[b]Comment as-tu découvert le forum ?[/b] Guess?
[b]Es-tu un DC ? De qui ?[/b] La réponse D. (De Sobek & Ilya sinon!)
[b]Age:[/b] 22 ans.
[b]Votre avatar provient de :[/b] Fanart de [i]Mo-Dao-Jue-Chen[/i] du jeu Pili [漠刀绝尘 – 霹雳] [size=9]Désolé, j'ai encore été fouillé sur mon site chinois...[/size]
[b]As-tu lu le règlement ? Si oui, écris-en-nous la preuve ici :[/b] [hide]Once upon a time, vampires only were a legend.[/hide]
[b]Commentaire(s):[/b] //
</div></td></table>
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<div class="fichePredefSubTitle">Apparence</div><div class="fichePredefContenuText">
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<blockquote>[spoiler=Pour un résumé et des détails inutiles]<div style="line-height:1.5;">[b]• Taille :[/b] 1m91
[b]• Poids :[/b] 86kg
[b]• Yeux :[/b] Bleus
[b]• Peau :[/b] En manque de soleil
[b]• Cheveux :[/b] Longs & très épais / Ondulés / Blonds
[b]• Corpulence :[/b] Bien dessinée.</div>[/spoiler]
S'il est plaisant à regarder, Armand ne peut pour autant être qualifié de 8ème merveille du monde, bien qu'il adorerait certainement détenir ce titre. Bel homme, il ne doit pas tant sa notoriété à un physique avantageux qu'à un charme suintant dans lequel il aime noyer qui oserait l'approcher. Un excès de confiance en lui à l'adolescence aura très certainement été la clé de sa trop grande assurance aujourd'hui. Les faits sont irrévocables: l'homme est séduisant est le [i]sait[/i] parfaitement.
Bien évidemment, il aime en jouer et a bien raison de s'adonner à la chose. Après de trop nombreux matins à s'admirer avec trop de fierté, Armand maîtrise à présent à merveille l'art de la séduction. Il [i]sait[/i] quand croiser les bras pour donner plus de forme encore à sa carrure naturellement imposante, quand pencher de la tête pour que ses épaisses vagues blondes ne se déversent avec sensualité le long de ses épaules. Quand sourire. Quand se courber pour plonger l'immensité bleuté de son regard dans les yeux de son vis à vis. Quand soupirer pour attirer l'attention de son interlocuteur sur des lèvres presque un peu trop... obscènes.
C'est un magicien qui rend fou par un physique alléchant et une attitude insolente. Si l'arrogance est un défaut, lui en a fait son arme de prédilection, et une foutrement tentante qui plus est! De ses postures supérieures et à ses mimiques condescendantes, la tête blonde vit pour la provocation. Vice encore plus alimenté depuis qu'il a officiellement dépassé le mètre quatre-vingt-dix à ses 19 ans, petite fierté personnelle qui ne manque jamais de lui faire adorer regarder les gens de haut.
Il est encore plus surprenant de constater que malgré une personnalité impertinente, aucune cicatrice ou marque de correction n'est jamais venu ternir la souplesse de sa peau pourtant fine et un peu pâlotte. A croire qu'il sait assez bien battre des cils pour convaincre ses bourreaux que laisser une trace sur un corps si particulier serait un crime que même eux ne pourraient se résoudre à commettre.
Mais il y a autre chose aussi. Quelque chose d'intimidant. De dominant. C'est son air presque trop ferme, ses traits indéniablement masculins qui fascinent autant qu'ils n'impressionnent. Des sourcils bien fournis, un nez droit, des mâchoires un peu sèches, des mains étonnamment rugueuses. Bref. Des détails qui ne sauraient le dessiner que comme un homme [i]sous[/i] lequel on se couche plutôt que sur lequel on aimerait se pencher.
</blockquote>
</div>
<div class="fichePredefSubTitle">Personnalité</div><div class="fichePredefContenuText">
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<blockquote>[spoiler=Quelques adjectifs]
[center]<table cellspacing="15px;" cellpadding="15x;"><tr><td style="width:100px;font-family:Exo;font-size:14px;">• Arrogant
• Impertinent
• Supérieur
• Buté
• Loyal</td>
<td style="font-family:Exo;font-size:14px;width:130px;">• Franc
• Méticuleux
• Calculateur
• Intéressé
• Egoïste</td></tr></table>[/center]
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Armand, c'est un mélange surprenant d'insolence et de simplicité. Un génie des mots, orateur surdoué, charmeur certifié. Difficile à sonder, ses aspirations dans la vie sont pourtant d'une banalité effarante: vivre bien et vivre longtemps.
Irrévocablement arrogante, la tête blonde charme son monde tant par son acidité addictive que par sa docilité indéniable. Il est de ces hommes qu'on ne saurait jamais complètement soumettre, malgré des traitements physiques douloureux pour y tenter. Même dans la douleur, victime des pires tortures, il vous donnera cette impression que c'est [i]lui[/i] qui contrôle tout. Qui décide tout.
Dans son dos, certains le traitent de masochiste. Il y a sans doute un peu de ça, en tout cas n'aurait-il pas honte de confirmer ces affirmations. Maintenant, ce n'est pas tant la douleur qu'il apprécie que la frustration qu'il créé de ne jamais pouvoir être brisé sous les mains d'un bourreau. Est-ce le signe caractéristique d'un esprit désaxé ou simplement la preuve d'un mental de fer? Les deux sont envisageables.
Il n'en reste pas moins que le canadien est un sacré numéro. Une douceur loyale vite transformée en railleur condescendant à la moindre inconvenance. Et pourtant l'on lui pardonnerait tous ses caprices tant il sait se montrer d'une serviabilité attachante et d'une fidélité évidente. Son penchant pour l'honnêteté en fait également quelqu'un de respectable à qui il est facile de s'ouvrir. C'est ce contraste qui étonne toujours: malgré une attitude supérieure en tout point, l'on ne peut s'empêcher de l'apprécier pour ce qu'il est.
Il est intéressé, égoïste, moqueur et cynique mais finalement, c'est ça qui plaît.
Cependant toute cette arrogance ne serait-elle pas juste un merveilleux moyen de se protéger du monde? De dissimuler ses peurs et ses blessures? Sous cet excès de confiance en lui, Armand cache bien quelque chose. Une crainte. Celle de mourir humain. Celle de mourir, en somme.
Oh tout le monde le dit, le blond est fait pour être maître. A un certain niveau, il l'est déjà, pourrions-nous dire. Mais désormais il est question de faire de ces dires une réalité. Lui en a besoin. Pas pour être jeune éternellement, quoiqu'il préfèrerait évidemment rejoindre les êtres de la nuit avant ses 40 ans. Non. Comprenez plutôt que la perspective d'obtenir tout ce pouvoir sur autrui l'excite au plus haut point. S'il prend d'immenses risques à regarder les gens de haut à l'heure actuelle, rendez-vous compte que cela serait son [i]droit[/i] une fois noctambule. Pas la plus louable des motivations pour obtenir sa transformation, nous sommes d'accord, mais elle a le mérite d'être honnête. </blockquote>
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<div class="fichePredefSubTitle">Histoire</div><div class="fichePredefContenuText">
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[right][i][b]2324[/b] — Foetus[/i][/right]
[i]Un vampire sans quenottes.[/i] Le surnom parfait pour un homme qui de l'esclave n'a jamais rien eu mais qui du maître a tout hérité.
Déjà bambin, toujours accroché à une jambe de sa mère, l'on s'excusait auprès de lui d'avoir commit une faute de grammaire ou de liaison l'ayant amené, même du haut de ses 4 ans, à nous corriger du ton le plus sérieux qu'il soit donné à un enfant de posséder. [i]Cet enfant là, c'est un petit prince né à la mauvaise époque. Il aura vite fait de perdre sa couronne.[/i] Des promesses que le personnel du centre de reproduction de Montréal s'égosillait à se répéter pour se consoler entre eux d'avoir été houspillé par un marmot chétif, toujours prêt et enclin à personnifié de la plus horripilante des manières l'irritante expression: [i]savoir tout mieux que tout le monde.[/i]
Nuls n'étaient étonnés à Montréal d'apprendre qu'à son transfert au centre de dressage d'Ottawa, Armand s'attirait dès la première semaine les foudres de ses éducateurs pour un problème incontestable d'attitude. La réputation pourtant bien établie des canadiens et de leurs méthodes douces d'éducation en prit un sacré coup quand il fût évident qu'à moins d'user de corrections sévères, jamais rien ne pourrait canaliser l'énergie débordante de l'adolescent turbulent qui leur avait été confié.
Mais à force de punitions, d'entrainements drastique au sport pour le faire se défouler et d'inlassables sessions de lecture pour le faire taire, Armand s'était calmé. Relativement.
Il s'était montré assez coopératif et agréable en tout cas pour être envoyé à ses 16 ans dans une boutique plus huppée que la moyenne, toujours à la capitale. Bien sûr pouvait-il remercié son physique avantageux, son droit de porter les cheveux-longs lui octroyant ainsi un charme indiscutable ou juste son exceptionnelle mémoire le promulguant dans la catégorie des esclaves surdoués, pour avoir eu la chance d'être [i]exposé[/i] à la prestigieuse [i][u]Them & You[/u][/i] des beaux quartiers d'Ottawa.
S'était-il attendu à être repéré dès son deuxième jour en boutique par le conservateur de l'Institut d'Art Contemporain de Boston, exceptionnellement en voyage d'affaires malgré un emploi du temps surchargé? Non. Mais quelle aubaine fut-ce là pour lui! Il n'eu qu'à battre trois fois des cils sous le regard charmé du cinquantenaire grassouillet pour obtenir sa signature en bas de son contrat de vente.
[center]• • •[/center]
[right][i][b]2340[/b] — 16 ans[/i][/right]
S'habituer à sa nouvelle vie aux Etats-Unis ne l'aura pas déboussolé outre mesure, malgré un âge encore jeune, tant son maître le combla d'attention et de richesse dès son arrivée au manoir [i]Peterson[/i]. Là apprit-il que son cher propriétaire, Georges Peterson, vivait en ménage avec son charmant époux de 12 ans son aîné, [i]Anatol[/i]. Un mari qui ne put caché son étonnement lorsque son bienaimé lui confia, presque timidement, qu'Armand devait simplement être considéré comme un petit caprice de sa part pour raviver la flamme passionnelle qui ne les unissait plus depuis quelques années.
Les consignes étaient donc simples: en échange d'une vie confortable et pleine d'avantages, Armand se devait de s'entretenir correctement, de se laisser admirer par deux reliques éteintes et de quitter la chambre sitôt les festivités lancées entre les deux amourachés.
La vie coula alors sans aucun accro pour le canadien qui au fil des années, renversa sans plus d'efforts la situation de sa maisonnée. D'esclave appétissant il se transforma en homme charmant, un peu trop séduisant pour que les deux hommes de la maison ne se lient vraiment avec lui. A défaut d'en faire un amant, ils en faire un ami, capricieux et orgueilleux, certes, mais franc et intègre. Il fallu s'adapter au tempérament bien trempé du canadien mais après dix années en sa compagnie, Georges et Anatol ne s'en étaient toujours pas lassés.
[center]• • •[/center]
[right][i][b]2353[/b] — La trentaine. Cette chienne.[/i][/right]
Un chamboulement certain survint lorsqu'à 29 ans, Armand expérimenta la plus terrible et bruyante crise de la trentaine qu'il fût jamais donné aux Peterson d'observer.
Nombreuses portes se mirent à claquer dans un manoir mit sans dessus-dessous par un homme effrayé à l'idée de vieillir. Commencèrent à cette époque les suppliques incessantes de la tête blonde pour obtenir le titre officiel de rejeton de la nuit des deux reliques mariées. Il se heurta à chaque fois au refus catégorique des deux hommes qui, ni l'un ni l'autre, ne désirait avoir de l'emprise sur un nouveau-né. Les nuits s'agitèrent alors d'innombrables débats et plaidoyers, où Armand chouina à de nombreuses reprises que coincé au manoir, jamais ne pourrait-il un jour se dénicher une créature plus vile que les deux vampires, prête elle à faire de lui sa chose personnelle.
Fatigué de l'entendre se plaindre à longueur de journée, Georges finit par craquer et amena Armand à l'Institut d'Art Contemporain, dès le lendemain d'une dispute fort houleuse, pour commencer à le faire travailler et lui donner de quoi s'occuper. Chacun y trouva son compte: Armand rencontrait du monde, Georges et Anatol purent à nouveau lire en silence dans leur chemise de nuit accordées.
[center]• • •[/center]
Jésus Marie Thérèse, s'étaient-ils attendu à une telle catastrophe.
Elle arriva sous le nom de Troy, milicien de carrière, homme magnifique quoique dangereux, à la réputation certaine d'être un grand féru d'art et surtout, foutrement marié. Un détail très vite oublié quand Armand, au détour de nombreuses rencontres à l'Institut, finit par écraser le policier contre un mur pour mettre un terme à ce jeu horripilant du chat et de la souris auquel les deux hommes s'adonnaient depuis trop longtemps déjà. Inutile de préciser qu'aucun des deux ne fut très discret lorsque mutuellement, ils se marquèrent comme propriété l'un de l'autre.
L'idylle réussit néanmoins à durer plusieurs années, s'achevant évidemment lorsque le mari-cocu découvrit un malheureux jour son bien-aimé entre claquements de hanches et soupirs obscènes. La situation dérapa rapidement, obligeant Georges et Anatol à intervenir plusieurs fois dans le mois qui suivit le scandal, pour éviter de justesse qu'Armand ne perde la tête sous les griffes d'un mari bafoué, rancunier et foutrement déterminé à le vider de ses tripes.
Si les attaques dudit époux inquiétèrent relativement le canadien, le silence indifférent de Troy termina d'achever son moral. Il se noircit encore plus lorsque les Peterson, ses maîtres et amis, prirent la décision de l'éloigner de Boston, [i]pour sa propre sécurité[/i] qu'ils lui dirent.
[center]• • •[/center]
[right][i][b]2358[/b] — Dornia.[/i][/right]
Ainsi Armand était donc bon pour une nouvelle vie. Sans que cela ne lui plaise, il dû quitter son travail, sa maison, ses chats, ses chers amis et fût envoyé sans larmes à Dornia, confié à un ami des Peterson, propriétaire d'une petite-boutique d'esclaves haut-de-gammes. Si la situation semblait relativement coquette pour lui sur le papier, il n'en restait pas moins qu'à 34 ans, sans jamais avoir vécu en boutique, Armand se retrouvait désormais dépouillé de son confort et incertain de son sort. Sans mentionner les coups de fils dorénavant récurrents que turent les Peterson, d'un certain mari rancunier, bien décidé à le retrouver..
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